Les éditeurs de logiciels font désormais évoluer leurs offres pour répondre à la demande exponentielle de solutions exploitant le Cloud, et plus particulièrement le SaaS (Software as a Service) et le BPaaS (Business Process as a Service).
Mais, cette conversion vers le SaaS et le BPaaS pose des défis aux éditeurs traditionnels qui proposent habituellement des licences perpétuelles, installées par le client sur leurs infrastructures propres (chez le client ou chez un hébergeur) :
Modèles de Business et Profitabilité
Développement et Formalisation de l’Offre
Exploitation et Hébergement
Go to Market et Diffusion de l’Offre
De leur côté, les Pure Players du SaaS et du BPaaS se heurtent également aux difficultés du packaging et de la diffusion de leurs offres, voire au choix des bonnes plateformes technologiques IaaS/PaaS et des bons partenaires hébergeurs/cloud.
Jeudi 5 décembre, techtoc.tv et Aspaway ont réuni plus de 40 contributeurs au tournage des 4 premiers "épisodes" de la série " SaaS Discute ", sur le thème de la conversion des éditeurs de logiciels vers le Cloud.
Tout au long de la journée, des dirigeants d'éditeurs de logiciels et d'intégrateurs ont partagé leur expérience avec leurs pairs et débattu avec des consultants et experts de l'écosystème Cloud .
Ce partage d’expérience et d’expertise a été capté au cours de 4 passionnants plateaux TV collaboratifs de type Talkshow , totalisant plus de 6 heures d’enregistrements
Retrouvez, sous forme de vidéos et de documents/commentaires associés, les questions et les réponses qui ont été débattues sur (et en dehors) de chaque plateau :
Editeurs , les Défis du Cloud pour le Business Model
Packaging d’une offre SaaS, Chemin de croix et Nirvana.
Hébergement, un choix stratégique pour les éditeurs SaaS.
Editeurs, les défis de la diffusion des solutions SaaS.
Exploitez ces vidéos, mais, surtout, commentez, donnez votre point de vue , continuez le débat et... partagez les contenus qui vous semblent intéressants auprès de vos propres réseaux.
Continuons ensemble , de manière collaborative, à explorer les défis de la migration des éditeurs vers le SaaS et le BPaaS et à réagir aux (nombreuses) questions restées encore sans réponses précises et détaillées.
Enregistrez-vous sur techtoc.tv et abonnez-vous au flux SaaS Discute pour être avertis de l’évolution des discussions et des prochains épisodes de SaaS Discute !
En bonus, voici les photos prises le 5 décembre par Loic . Elles vous donnent un aperçu de l'ambiance à la fois très conviviale et très pro de cette première journée de "tournage" en mode collaboratif.
A bientôt sur les plateaux de SaaS Discute, pieds sur terre, tête au dessus des nuages !
Loic et Fred, co-organisateurs de SaaS Discute .
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Below, I explain my motivation to the organizers:
Sources et licence d'exploitation / diffusion exclusive de mon intervention plateau TV"
Je sponsorise mon plateau :
Description :
quantité : Tarif unitaire : Sous-total :
1. Je souhaite faire figurer le logo de ma société, cliquable vers son site web, sur la page du plateau où figure mon intervention : x € 700,00
2. Je souhaite intégrer un logo animé de ma société (environ 4 à 7 secondes) en introduction du sujet (je vous fournis une animation existante, ou à défaut mon logo pour vous laisser faire) : x € 1 250,00
"3. Je souhaite que vous diffusiez pour moi ce sujet dans d'autres médias sociaux : Youtube, Dailymotion, Facebook (sur ma page d'entreprise), et Vimeo. Vous gérez ces aspects pour moi.
(NB : n'est possible que si l'une des deux prestations précédentes est commandée)" x € 350,00
Je récupère les fichiers vidéo non brandés pour les réutiliser / diffuser à ma convenance
Description :
quantité : Tarif unitaire : Sous-total :
4. Je souhaite récupérer l'intégralité de mon sujet video sous la forme d'un fichier (mp4 HD) - et que suis en mesure d'éditer / d'héberger par mes propres moyens par la suite. x € 1 800,00
"5. Je souhaite récupérer pour un usage interne ou privé l'intégralité de mon sujet video sous la forme d'un DVD-video pouvant être lu sur n'importe quel lecteur de salon.
(n'est possible que si l'une des prestations 1, 2 ou 4 est commandée)" x € 180,00
6. Je souhaite en profiter pour renouveler cette opération tous les mois pendant un an, grâce à la formule d'abonnement "caféine.tv" proposée par Webcastory. Dans ce cas de figure, toutes les prestations ci-dessous me sont offertes ce coup-ci. x € 2 000,00
Below, I explain my motivation to the organizers:
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Les éditeurs de logiciels font désormais évoluer leurs offres pour répondre à la demande exponentielle de solutions exploitant le Cloud, et plus particulièrement le SaaS (Software as a Service) et le BPaaS (Business Process as a Service).
Mais, cette conversion vers le SaaS et le BPaaS pose des défis aux éditeurs traditionnels qui proposent habituellement des licences perpétuelles, installées par le client sur leurs infrastructures propres (chez le client ou chez un hébergeur) :
De leur côté, les Pure Players du SaaS et du BPaaS se heurtent également aux difficultés du packaging et de la diffusion de leurs offres, voire au choix des bonnes plateformes technologiques IaaS/PaaS et des bons partenaires hébergeurs/cloud.
Jeudi 5 décembre, techtoc.tv et Aspaway ont réuni plus de 40 contributeurs au tournage des 4 premiers "épisodes" de la série "SaaS Discute", sur le thème de la conversion des éditeurs de logiciels vers le Cloud.
Tout au long de la journée, des dirigeants d'éditeurs de logiciels et d'intégrateurs ont partagé leur expérience avec leurs pairs et débattu avec des consultants et experts de l'écosystème Cloud.
Ce partage d’expérience et d’expertise a été capté au cours de 4 passionnants plateaux TV collaboratifs de type Talkshow, totalisant plus de 6 heures d’enregistrements
Retrouvez, sous forme de vidéos et de documents/commentaires associés, les questions et les réponses qui ont été débattues sur (et en dehors) de chaque plateau :
Exploitez ces vidéos, mais, surtout, commentez, donnez votre point de vue, continuez le débat et... partagez les contenus qui vous semblent intéressants auprès de vos propres réseaux.
Continuons ensemble, de manière collaborative, à explorer les défis de la migration des éditeurs vers le SaaS et le BPaaS et à réagir aux (nombreuses) questions restées encore sans réponses précises et détaillées.
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En bonus, voici les photos prises le 5 décembre par Loic. Elles vous donnent un aperçu de l'ambiance à la fois très conviviale et très pro de cette première journée de "tournage" en mode collaboratif.
A bientôt sur les plateaux de SaaS Discute, pieds sur terre, tête au dessus des nuages !
Loic et Fred, co-organisateurs de SaaS Discute.
éditeurs de logicielCloud,SaaS,Software as a service
SAAS DISCUTE : La conversion des éditeurs de logiciels vers le Cloud (saison 1)
Rencontre avec les éditeurs qui ont opéré leur migration et revu leur modèle (et ceux qui vont le faire)
(Proposition 5) Data center en propre ?
Thème de discussion possible avec un CTO
(Proposition 4) Sécurité et innovation
Thème de discussion possible avec un CTO
(Proposition 6) Make or buy ?
Thème de discussion possible avec un CTO
(Proposition 7) Influence des métiers
Thème de discussion possible avec un CTO
(Proposition 9) Le Système d'Information dans 10 ans
Thème de discussion possible avec un CTO
1
(Proposition 8) Impacts des reseaux sociaux
Thème de discussion possible avec un CTO
(Proposition 3) La mobilité en mouvement
Thème de discussion possible avec un CTO
(Proposition 2) Le Cloud et vous
Thème de discussion possible avec un CTO
Vitalia : le Cloud au secours des établissements de soins !
Avec Jean-Michel Culioli, DSI de Vitalia
Sylvain Moussé partage son expérience du SaaS, du Cloud, de la transformation numérique et du rôle du DSI
Sylvain Moussé, DSI et CTO de Cegid
Vitalia : le Cloud au secours des établissements de soins !
Avec Jean-Michel Culioli, DSI de Vitalia
CTO et transformation numérique des organisations : comment les responsables infrastructures impulsent l'innovation ?
(2nde saison d'enregistrements en talkshows) Retours d'expérience des CTO & DSI qui savent comment négocier la transformation du SI avec ou sans les sirènes du Cloud !
(Proposition 1) Équilibre entre fonctionnement et innovation
Thème de discussion possible avec un CTO
CTO : Retour d'expérience sur le plus imposant Cloud privé de France
Avec Sylvain Moussé, CTO de CEGID et Vincent Marc, Senior Business Development Executive chez Global Technology Services
Sujet collectif subsidiaire : quels seraient les critères de sélection du CTO de l’année ?
Thème de discussion possible avec un CTO
EDICOM : un spécialiste de l'EDI et la facture dématérialisée en pleine expansion
Portrait de son DG pour la France, Emmanuel Loury
1
Transformation numérique : où en êtes-vous ?
Mesurez votre avancement dans la transformation avec Jamespot
(Montez le son ! C'est le teaser :-) ) WEB 2 BUSINESS ROUND #3 : MY DIGITAL WORLD #web2b2016
le 12 JANVIER 2016 aux FOLIES BERGÈRES
2
Et le coût du stockage dans le Cloud Hybride...?
Un talk en compagnie de 3 DSI et le directeur technique de NetApp
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Comment assurer sa transformation numérique dans un environnement VUCA (Volatility, Uncertainty, Complexity and Ambiguity) ?
La transformation numérique, gouvernement et entreprises : sujet proposé par Serge Masliah, Directeur Général de Sage France et VP de Sage Europe.
Gestion de la Relation Clients en mode SaaS : comment Luxottica (le fabricant derrière RayBan) recrée du lien avec son écosystème clients
Ils ont testé la solution SaaS de Interactive Intelligence et partagent leur retour d'expérience
3 questions pour comprendre Openstack
Avec Etienne COINTET - consultant Cloud, HPE EMEA
Comment et pourquoi transformer son entreprise en migrant vers un cloud privé ?
En compagnie de Sylvain Moussé, CTO de CEGID et Philippe ROUX (blogueur spécialiste du Cloud et fondateur de Twin Sharks)
Transformation RH et prédiction de la performance individuelle : ils ont testé la solution Assess First et partagent leur retour d'expérience
Usagers et clients DRH répondent à nos questions
1
Gestion des actifs logiciels : Méthodes et Outils (titre provisoire)
(Experts et professionnels, rejoignez-nous : postulez pour partager et débattre du sujet en talk TV)
Comment moderniser votre politique de Ressources Humaines ?
Usagers et clients DRH répondent à nos questions
3
Gouvernance du SI : comment garder son indépendance vis-à-vis du fournisseur de Cloud ?
Un talk en compagnie de 3 DSI et du directeur technique de NetApp (Eric Antibi)
Architecture Cloud hybride : comment répartir l’infra entre interne et Cloud externe/public ?
Un talk en compagnie de 3 DSI et du directeur technique de NetApp, Eric Antibi
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SaaS' discute - Saison 3 : Comment les DSI accompagnent-ils la transformation numérique ?
En compagnie des DSI qui ont su combiner les enjeux des métiers avec ceux de l'efficience
Portraits d'insiders de la DSI
Naviguez, posez vos questions : c'est le verbatim interactif.
(2nde saison d'enregistrements en talkshows) Retours d'expérience des CTO & DSI qui savent comment négocier la transformation du SI avec ou sans les sirènes du Cloud !
Ouverture de "SILICON VALOIS" au Ministère de la Culture et de la Communication
Silicon Valois, c’est aussi une réflexion prospective pour réfléchir à des lieux dédiés à la rencontre entre la culture et le numérique
Quelle formation IT pour l’entrepreneur du Web ?
Les connaissances/compétences à maîtriser pour créer sa start-up digitale
2
Leadership et mentoring au féminin
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Censure du web français : il est temps d'ouvrir les yeux (warning daté de sept 2014)
Faut-il entrer en résistance pour faire reculer le gouvernement ?
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Constat d'échec de l'éditorial collaboratif freemium en B2B
Le retour d'expérience de techtoc.tv, cafeine.tv, HRchannel.com et tous les autres : et la fin du gratuit.
2
Assumons, puisque nous sommes tous des Charlie.
MULTIPLIONS LES CHARLIE : pour ne pas devenir des Charlots du discours libertaire qu'aucune action ne suit.
Développer ou faire développer son site Web ?
Recruter en interne ou faire appel à une agence de développeurs ?
Comment recruter sa communauté ?
Réseaux sociaux, marketing, communication : l'expérience de start-up sociales
Le numérique et la désintermédiation effet d'aubaine ou risques majeurs ?
Les métiers du numérique
Les ressources humaines critiques de l'entreprise numérique
Arts numériques : créations et état lieu
Créer sa start-up : comment je suis passée de l’idée au concret ?
Les phases et aléas de création d'une start-up digitale : année 1
Quel est le bon moment pour lever des fonds ?
Conseils pour enclencher le processus de levée de fonds
Comment réussir sa levée de fonds : retours d'expériences au féminin !
L'étape clé du financement et la recherche d'investisseurs présenté par des femmes qui entreprennent dans le digital
Recrutons animateurs de réseaux professionnels : seniors et juniors !
START-UP RECHERCHE SON FUTUR DIRECTEUR COMMERCIAL ! (et quelques apprentis aussi)
1
C'est quoi l'efficacité collective, et quelles approches possibles pour l'optimiser à l'ère des outils numériques ?
Rencontre avec des experts de l'efficience
(webinaire) Présentation d'Open-root par Louis POUZIN
Avec Louis POUZIN, inventeur du datagramme (qui a permis la fondation d'Internet) et cofondateur de OPEN-ROOT.EU
8
Géopolitique de l'Internet et conquête de la souveraineté numérique.
Avec Louis POUZIN, inventeur du datagramme (qui a permis la fondation d'Internet) et cofondateur de OPEN-ROOT.EU, et Pierre BELLANGER (fondateur de Skyrock, ayant conceptualisé la "souveraineté numérique")
2
Peut-on mesurer son degré de transformation digitale ?
Un débat pédagogique proposé par Alain GARNIER (EFEL)
Grande transformation et service public : « Le pari de la métamorphose »
Proposition de débat fondé sur une contribution de CHRISTIAN RIQUELME, chargé de la prospective auprès du directeur général des services
3 questions à un expert pour comprendre la neutralité des réseaux
Avec Louis POUZIN, inventeur du datagramme (qui a permis la fondation d'Internet) et cofondateur de OPEN-ROOT.ORG
4
Racines ouvertes : un nouveau modèle économique
Avec Louis POUZIN, inventeur du datagramme (qui a permis la fondation d'Internet) et Chantal LEBRUMENT : cofondateur sde OPEN-ROOT.EU
Noms de Domaines : hors de l’Icann, point de salut ?
Avec Louis POUZIN, inventeur du datagramme (qui a permis la fondation d'Internet) et cofondateur de OPEN-ROOT.EU
5 minutes pour comprendre les racines ouvertes et la controverse des extensions de nom de domaine
Avec Louis POUZIN, inventeur du datagramme (qui a permis la fondation d'Internet) et cofondateur de OPEN-ROOT.EU
Transition numérique : où en êtes-vous ?
Des témoignages de managers et chefs d'entreprises pour s'inspirer ou se faire une idée.
2
Les enjeux des Racines Ouvertes de l’Internet
Peut-on (et si oui, pourquoi et comment) concevoir autrement le nommage sur l’Internet ?
Terrorisme & Internet : liberté d'expression menacée en France ?
En partenariat avec ThinkerView -
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J'ai failli louper notre rencontre avec Gilles Babinet
Où nous aborderons Big Data, innovation en France, Surveillance, risques associés à la data intelligence et développerons sur des notes bien plus optimistes
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Mind-Mapping et intelligence collective
Le Mind-Mapping au service de l'organisation du travail, du lien social, de l'innovation...
La FING propose : Transitions², transition au carré
Un concept et une plateforme ambitieux présenté par Daniel KAPLAN, fondateur de la FING.
Avec Louis POUZIN, inventeur du datagramme (qui a permis la fondation d'Internet) et cofondateur de OPEN-ROOT.EU, et Pierre BELLANGER (fondateur de Skyrock, ayant conceptualisé la "souveraineté numérique")
Où nous aborderons Big Data, innovation en France, Surveillance, risques associés à la data intelligence et développerons sur des notes bien plus optimistes
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Retrouvez ci-dessous la présentation que nous avons préparée à l'attention de la quarantaine de contributeurs aux quatre plateaux qui seront enregistrés ce jeudi 5 décembre dans les studios de techtoc.tv / Webcastory :
Il s’agit donc d’utiliser le prétexte d’une journée d’enregistrements de plateaux TV dans un contexte professionnel, pour :
Présenter votre métier,
Recevoir un feedback de votre écosystème en ligne,
Se rencontrer entre pairs et networker,
Echanger sur les usages en vigueur,
Se préoccuper des grandes tendances
Amorcer un club de réflexion convivial, structurant pour l'écosystème et la recherche,
Et bien sûr générer des heures de programme TV pour toucher un public élargi en ligne : à toutes fins de promotion utile.
Nous y aborderons toutes les offres que vous nous proposerez ici même.
Car oui, les éditeurs peuvent aussi venir nous faire une démo de leur offre (du moment que l'autopromo ne nuit pas au débat) !
Le SaaS est un modèle de distribution d'un logiciel en mode locatif. Le Cloud est une solution technique indispensable pour assumer le modèle SaaS. Trop de gens confondent les mots et pour des questions de buzz marketing les utilisent n'importe comment. Alors qu'il y à là en réalité un enjeu de mise en disposition de solutions à des gens qui ne pourraient probablement pas l'acquérir s'ils devaient les acheter. Nous parlons donc ici de développement de l'humain au travers d'une nouvelle forme de distribution.
Il est là l'enjeu ! Faire comprendre aux gens, qu'au delà des messages de marketeux, nous avons là une solution pour faire émerger de nouvelles pratiques (en toute modestie) et faire bouger l'humain.
Oui, c'est même indispensable et celui qui là le mieux synthétisé c'est Louis Naugès, dans ZDNET.fr dans son article faux et usage de faux. En tout cas, c'est avec cette fassons de voir les choses que j'ai définie ces concepts en 1999 dans Linux@Business.
[...]SaaS ? il y a quatre différences majeures par rapport aux logiciels historiques et traditionnels :
- Multi-tenant : une même instance du logiciel est utilisée par tous les clients - Mono-version : à un instant donné, tous les clients utilisent la même version du logiciel - Facturation d’un service, au nombre d’utilisateurs et au temps, mois ou année le plus souvent. - Accès depuis un navigateur : tout PC, Macintosh, smartphone ou tablette équipé d’un navigateur moderne peut accéder à une application SaaS.
Une application qui ne répond pas à ces quatre règles n’est PAS SaaS, et il n’y a pas d’exception ! [...]
C'est simple et sans détours. La solution doit être imaginée, architecturée, développée et maintenue pour assumer ces 4 points. La conséquence est qu'il est techniquement difficile mais surtout dangereux de faire tourner une ancienne application en mode "SaaS Like" ! puisqu'elle n'a pas été faite pour cela.
[...] Cloud ? Un Cloud public, ce sont des ressources serveurs et de stockage que je ne gère pas et que j’utilise à la demande. Le leader actuel du Cloud public reste Amazon[...] Le client d’un Cloud public peut choisir à tout instant :
- Quels types de serveurs il peut utiliser ; chez AWS, en avril 2012, il y a dix options différentes pour EC2, Elastic Compute Cloud. - Quels systèmes d’exploitation : Linux, Unix ou Windows Server. - Quelle durée : l’unité d’œuvre est l’heure ; un client paye uniquement le nombre d’heures dont il a besoin. [...]
Ces notions étant destinées aux éditeurs de logiciels qui souhaitent utiliser cette plateforme. Pas aux utilisateurs finaux. Qui eux n'ont qui seul intérêt utiliser une solutions sans me préoccuper des contingences techniques et enfin avoir une solution pour son bénéfice d'utilisation et pas d'acquisition.
[...] Le succès immédiat des Clouds publics a semé la panique chez les fournisseurs historiques de serveurs et dans quelques équipes informatiques qui géraient des centres de calculs d’entreprise ; et si par malheur les Clouds publics allaient réduire fortement nos activités ? Ils ont donc inventé un contre-feu qui a pour nom ... Cloud privé. Cela permet de donner un coup de jeune aux solutions qui existaient depuis toujours. [...] la seule innovation réelle est celle du Cloud public, le Cloud privé, qui garde son intérêt pour certains usages, n’étant que le nouveau nom des anciennes solutions. [...]
On dirait du ripolinage comme le greenwashing.
Je sais bien que cela va déplaire à beaucoup d'acteurs qui sont payés pour prendre des parts de marché (et qui globalement s'en fichent) MAIS une réalité qui s'impose à vous. Vous ne pouvez pas la détourner pour faciliter vos ventes.
Le plus important : les questions. À vous de choisir.
Donnez-nous 5 questions ni plus ni moins qu’il est nécessaire de poser dans le contexte de ce sujet : des questions que l’animateur doit reprendre selon vous et poser aux intervenants, vous y compris si nécessaire. Pensez… « poil à gratter » quand vous y réfléchissez svp !
Aux éditeurs présents : êtes-vous full compliant avec les définitions ci-dessus dans les 4 points mentionnés ? Combien de développeurs avez-vous ? Un minimum de 3 est indispensable pour une équipe industrielle. 6 opérationnels + 1 encadrant c'est déjà beaucoup mieux. Combien ont des compétences d'administrateur de base de données ? Combien ont des compétences d'administrateur système ou d'exploitant ?
Pour ceux qui offrent les services à la demande (donc qui administrent leur propre service) : Combien d'exploitant ? Pour combien de serveur ? Achitecure Cloud ou machines virtuelles ou serveurs autonomes ? Quelle supervision ? Combien de personnes la nuit et le week-end ?
Pour tous combien d'utilisateurs simultanés maximum par unité ?
Par ces questions on détermine assez vite si c'est une solution sérieuse ou un acteur qui veut juste surfer sur la vague des mots qui plaisent.
Et puis la dernière mais pas la moins importante : Quel est votre process de restitution des données et de transfert vers un autre acteur du marché ? ET là tout s’effondre car, en dehors de quelques acteurs qui ont compris leur rôle, vous n'avez pas de réponse car ils n'y ont jamais réfléchi ou ne servent de cela comme moyen de retenir les clients chez eux. On peut faire un parallèle simpliste avec le transfert du numéro de portable entre opérateur. Ce n'était pas faisable, puis c'est devenu difficile et enfin c'est devenu une pratique courante dans les deux sens et tout le monde s'y retrouve.
Le SaaS doit apporter un avantage de facilité de mise en oeuvre, de test....et de sortie vers une autre solution plus adaptée.
Quelles sont selon vous les idées force qui nous permettront de rebondir, de corser le sujet, d'approfondir, de susciter l'attention de l'audience ? Allez, ce n’est pas la Star Ac mais quand même : aidez-nous à définir ce qui peut créer un peu d’attrait pour l’audience de pros à laquelle nous nous adressons.
Les professionnels ont besoin de solution applicables à leur contexte. Grosso modo sur 7 domaines verticaux. Nous parlons ici de solutions suffisamment génériques pour être applicable à tous. En 1999, nous avions déterminé le besoin de base grâce au Cabinet X et créé un catalogue de 70 applications interconnectées. Toutes n'ont pas besoin d'échanger des données ensemble mais à minima de reconnaitre le même utilisateur de lui donner les droits d'utilisation que son statut lui confère. Aujourd'hui, imaginez deux minutes de devoir faire parler ensemble deux applications qui ne savent même pas qu'elles existent.
Il faut faire émerger une normalisation de dialogue générique pour que nativement les applications issues d'éditeurs différents (ou du même puisque ce n'est pas le cas aujourd'hui) soit systématiquement en capacité de dialoguer entre elles et de collaborer. A compléter
Quand on aborde ce sujet : on doit se demander pour qui il sera utile, et si possible vraiment utile de nous écouter ! On appelle ça le public cible parfois ;-)
Les Directions Générales des entreprises, Les directions fonctionnelles, Les DSI des entreprises,
L'entreprise est en pleine évolution. Doux euphémismes ! En ce moment, c'est la 4ème génération (post-guerre), celle de l'entreprise agile. Le système d'information ne doit pas être un frein à cette agilité (les développeurs encore moins). Il est un outil au service de l'entreprise. Il doit évoluer plus vite que le mise en oeuvre pour les clients et les coûts tels que nous les avons vécus jusqu'en 2005 ne sont plus admissibles. Le modèle SaaS doit apporter des solutions abordable et fonctionnelle pensées pour être suffisamment adaptables aux contextes. Le développement spécifique doit devenir l'exception. --- Les "Mono-tout-ça" des PME et TPE. En 1999, à l’émergence des premiers prestataires qui proposaient des logiciels en mode locatif, beaucoup se sont positionnés essentiellement dans cette catégorie de taille de société (A mon sens en faisant un contre sens en traduisant le Small Business des US). Alors que toutes les tailles d'entreprises sont concernées et que les plus grandes feront les plus fortes économies. --- Les utilisateurs individuels jusque Mme Michu ET ce sont de loin les plus grands utilisateurs actuels de ces modes de distribution. La question qui doit être dans ce débat pour eux, c'est : Avez-vous conscience qu'au travers des CGU vous avez donné la propriété de ce que vous produisez que ce soit vos documents ou les traces de vos passages? Ce n'est pas normal. Le coup d'utilisation est monstrueusement disproportionné pour quelque chose qui devraient au plus couter quelques centimes/an. Que toujours dans ces CGU, il n'y a aucun SLA acceptable. Que vous pouvez tout perdre instantanément sans que l'éditeur ne soit inquiété toutes vos données ? Ce n'est pas, parce que c'est gratuit, qu'il ne peut y avoir de qualité de service.
Avez-vous sur ce sujet, si c’est pertinent, des chiffres révélateurs, des études pertinentes, une histoire à raconter, une image à montrer : quoi que ce soit qui puisse nous servir à planter le décor ? Si oui lesquels ?
On a tendance à croire que le modèle locatif est un modèle émergent. Il est temps de révéler que c'est totalement faux. De grandes entreprises vivent de cela depuis 15 ou 30 ans.
Cegedim : qui opère un SI partagé pour le monde de l'industrie de la santé depuis le début des années 90 (création en 1969) d'abord en mode client/serveur pûis en SaaS (le vrai) dès 1994 http://www.cegedim.fr/finance/profil/Pages/historique.aspx Aujourd'hui c'est 911 M€ de CA dont 56% sur l'offre SaaS de base.
Ce n’est pas forcément utile, mais il se peut qu’un sujet doive être d’emblée canalisé. Autrement dit : comment cadrer ce sujet pour éviter qu’il ne parte dans une mauvaise direction ?
Il va falloir limiter le sujet au monde professionnel car ce sujet est vaste et y inclure les utilisations personnelle, notamment dans le jeux, augmente le périmètre mais en même temps ouvre sur des justifications de faible niveau de SLA du fait même du faible impact des pertes que cela peut générer. Vous perdez une session de jeu en ligne ou 30' de streaming, cela n'a aucun impact sur votre vie. Cela devient moins vrai lorsqu'il s'agit de votre carnet d'adresses en ligne, de votre agenda ou de votre réflexion sur une nouvelle idée - mais tout ceci pourrait s'apparenter aux besoins professionnels.
Vous perdez vos données d'entreprise et vous entrez dans la case des 80% des entreprises qui disparaissent dans les deux ans après avoir perdu leurs données.
Y a-t-il un risque quelconque : de malentendu, d’incomplétude, de polémique. Un sujet peut parfois en cacher un autre, ou peut même déranger, sait-on jamais. C’est le moment de le dire avant de se faire des ennemis ou d’exciter une quelconque Cassandre.
Le modèle locatif est dérangeant car il impose de réaliser un chiffre d'affaire moindre au début et de le lisser sur 10 ou 15 ans. Le temps nécessaire pour qu'il y ai suffisamment d'utilisateurs pour compenser. C'est pour cela que souvent une partie des coûts sont payés initialement (ou lors de tout changement significatif) les technical fees et que les contrats sont plutôt long 3 ou 5 ans. Mais c'est normal. La transformation en chiffre d'affaire récurrent compense cette difficulté initiale. Encore faut-il avoir les reins suffisamment solides pour tenir le délais.
Pour palier à ces coûts, certains acteurs du marché ont contourné les différents points que nous avons cités et peignent leur applications en "SaaS Like" pour ne pas perdre leur clients et occuper le terrain. En septembre 2000, j'ai identifié 400 acteurs qui disaient faire du locatif en réalité, ils étaient moins de dix à être opérationnels. Les autres attendaient d'avoir des clients pour adapter leur solution chose qui est simplement impossible. On ne peut pas adapter. Il faut repenser toute la solution. malheureusement, le fait d'être un nouvel acteur n'est pas le gage d'avoir une bonne plateforme pensée pour assumer les charges et la sécurité indispensable à ce commerce.
C'est l'exemple typique d'un grand éditeur du monde de la compta qui au lieu d'avoir réécrit son logiciel au milieu des années 90, vendait un pure mono-poste et par une entourloupe applicative créait un faux multi-utilisateurs 4 postes max au mois jusqu'au milieu de la dernière décennie et le nommait client/serveur. Par ailleurs, et afin d'occuper le terrain, dès 2000, il annonçait une solution locative qui à ma connaissance n'est toujours pas disponible (J'ai un peu revendu leur solution pendant quelques mois).
Au-delà de l'application, il y a l'hébergement. Trop de sociétés éditrices ont des compétences d'exploitant médiocre, voire inexistantes. Ils louent des serveurs, les administre à la vas-y que je te pousse en espérant que cela tienne tout seul. Ne font aucune supervision. Jusqu'au jour où il y a un problème. Et là on prie pour que la sauvegarde fonctionne et on cache aux utilisateurs qu'il y a un fragment de temps qui a été perdu. MAIS tout va bien dans le meilleur des monde puisqu'au final le client est globalement satisfait. Les hébergeurs font payer à prix d'or leurs services qui rendent ces prestations très peu accessibles. Ils utilisent beaucoup de stagiaires pour administrer leur service ce qui est de nature à compliquer la tâche et génère un risque de rupture de service.
Les marges ayant disparu, à quelques rares exceptions, dans l'informatique (matériel, logiciel comme service) c'est toute l'activité qu'il faudrait revoir. Alors oui, nous allons certainement nous faire des ennemis puisque nous osons dire la vérité.
On quitte le spécifique pour aller vers une solution généraliste. Beaucoup d'entreprises considèrent que leur solution informatique est obligatoirement calquée sur leur activité. Pour ma part, je pense qu'elles sont "faussement" calquée.
Mais le SaaS a l'image de solution totalement générique ... presque insipide. Comme si cela ne pouvait s'adresser qu'à un traitement de texte ou une solution bureautique. Ceci est totalement faux.
Qu’est-ce qui dans ce sujet peut constituer un levier de discussion ? Où se trouve le point adversatif qu’il nous est nécessaire d’opposer à la thèse ci-dessus pour que l’enjeu du sujet soit mieux défini et mis en lumière.
Ce sujet est important car il offre directement la possibilité à tous d'utiliser des service qui par le passé était limité à un petit nombre. C'est donner la possibilité à une nouvelle génération de société d'émerger sans devoir investir des sommes folles pour avoir le niveau technique indispensable.
Ex : dans les années 90, il fallait investir au moins 100K€ pour acquérir une solution de gestion des données qui permet de visualiser sur une carte des positionnements de statistiques. Puis acquérir les données de base à prix d'or. Enfin embaucher des statisticiens pour faire émerger des informations utilisables à positionner sur une carte pour avoir une vision d'un marché. Depuis de le début des années 2000; quelques sociétés ont acquis les données de base et offre à moindre coût de visualiser ces données sous diverses perspectives sur base de modèles pré-fabriqués à un coût entre 1000 et 10 000€. Cela à changé la donne.
Je mets un bémol à cela avec l'initiative Open Data qui est censé améliorer la situation. les données brutes sont gratuites, mais ne sont pas utilisables telles quelles. J'attends de voir les offres proposées pas les intermédiaires pour constater si on va vers une plus grande mise à disposition ou au contraire vers une concentration qui refermerai cette porte.
Et c'est le risque avec tous les acteurs. Alors qu'au début, il y a une volonté d'ouverture et de mise à disposition du plus grand nombre on n'est jamais à d’abris qu'un mastodonte du marché applique de telle pratique que cela représente un retour en arrière.
Thèse, Antithèse et Foutaises ! Pour se moquer un peu de l’approche scolaire il est bon de rappeler où sont les éventuelles pires bêtises qu’on pourrait dire sur ce sujet, et les (éventuels ?) paradoxes qu’il peut se révéler utile de rappeler : essayons de provoquer et surprendre pour sortir de la logique binaire, notamment du pour et du contre.
Et d’ailleurs, si vous intervenez parfois auprès d’autres professionnels sur ce thème : quelles sont les pires foutaises, ou les pires poncifs ou idées reçues que vous entendez parfois et dont vous aimeriez qu’on arrête de vous bassiner avec ?
Que le cloud public n'ai pas coûteux. Le modèle est fait pour que vous deveniez accros à ces plateformes. Vous utilisez le maximum de leur framework, vous testez et avec peu de volume cela ne coute quasiment rien. Mais avec une véritable utilisation opérationnelle cela devient hors de prix.
Que le cloud public est sécurisé. Je me contente de cette partie car le cloud privé qui n'est qu'un hébergement privatif est de la responsabilité du client. Donc le cloud public est sécurisé... Et bien en réalité, je n'en sais rien. Le premier rôle d'un pure player en mode locatif est d'être un tiers de confiance. Dans le meilleur des monde. Encore faut-il qu'il le sache. Que les serveurs puissent être localisé. Qu'ils soient dans des pays n'ayant pas la volonté patriotique de regarder dans le contenu du serveur. Que les gens soient fondamentalement honnêtes et que lorsqu'ils mettent en ligne un réseau social, et c'est encore plus vrai lorsque l'on parle de réseau social d'entreprise, ce ne soit pas en réalité pour constituer une base de données des membres.....et de leur agissements !!
Bottom line, quels sont les messages que vous souhaitez faire passer sur ce sujet. Vos meilleurs arguments. Ce que vous espérez que l’on retienne de votre position sur ce thème et qui justifie que vous fassiez le déplacement pardi !
Le SaaS, et l'architecture qui va avec, est une solution disruptive à plus d'un titre. MAIS le corollaire de toute nouvelle solution ce sont les tentative d’appropriation des modèles par des acteurs peu scrupuleux qui détournent à leur seul profit c'est avancées.
J'ai modestement participé en 1999 à la définition de ce nouveau courant de diffusion des logicielles. Je suis convaincu qu'à moyen terme toute la filiare sera principalement diffusé en location parce que c'est revenir à l'intérêt de l'utilisation et non de l'acquisition qui n'a pas de sens.
Chaque sujet mérite investissement ! Les gens qui veulent utiliser ces solution ne doivent pas se laisser envahir par les Cassandres qui vous promettent monts et merveilles. TOUT A TOUJOURS UN COUT !
Il faut juste découvrir quel est le vrai et quel est le retour réel obtenu. ROI
Sur quels thèmes professionnels récurrents, en prise directe avec ce sujet, prenez-vous le plus souvent la parole dans les médias sociaux ? (Indiquez-nous où !)
Vous arrive-t-il, sur ce sujet, d’avoir lu des propos un peu provocateurs, ou de les avoir vous-mêmes écrits ou proférés ? C’est le moment d’éveiller l’empêcheur de tourner en rond qui sommeille en vous s’il n’est pas déjà sur le pont. Vous pouvez faire bouger ce débat, voire l’écosystème qui l’entour, en nous montrant votre côté rebelle ou en citant d’autres rebelles.
Qui d’autre aimeriez-vous voir intervenir sur un sujet comme celui-là ? Qui peut polémiquer face à qui ? Vos idées nous intéressent : non, malgré les apparences nous ne connaissons pas tout le monde...
Chut, ne le répétez à personne… Mais nous ne sommes pas supposés savoir à l’avance comment se termine un sujet de débat… mais on a le droit de le souhaiter ‼ Selon, vous, quelle serait la bonne conclusion vers laquelle il serait souhaitable d’orienter le débat : disons, celle qui vous ravirait le plus ? Attention, ça ne veut pas dire qu’il ira dans ce sens, mais si vous avez une « envie » en la matière, ou un objectif, c’est toujours bon de le savoir ne serait-ce que pour comparer.
CO2track
Manager et enseignant. COO et Co-Founder dans une société internationale.
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Politique
Mise de l'humain au centre du débat.
Intelligence Economique, locat→ Read more...
Dirigeant/fondateur de Marketor/SaaS Guru
Je suis dirigeant de Marketor, conseil en stratégie et marketing IT et analyste SaaS Cloud pour SaaS Guru
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Centers of interest: Aider les Editeurs à optimiser et développer leur business model autour du SaaS
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Responsabilités de développement, innovation et gestion globale pour des grands groupes (Capgemini, IBM, EDS) fondateur d’ACCIOD® Jeune Entreprise Innovante spécialisée dans le « Coût à Objectif IT »
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Comment from asma khanfir: trouve ce sujet : Excellent !Répond à mes attentes
Comment from Didier Debons: trouve ce sujet : Excellent !Les éditeurs semblent encore réticents à cette migration, surtout dans le domaine des médias et des images numériques. Je vous invite à participer à la commission de réflexion du Paris ACM siggraph sur LinkedIn.
Comment from Loic Simon: trouve ce sujet : Excellent !100% des AUTRES éditeurs (ceux qui n'ont pas encore opéré leur migration et revu leur modèle, mais doivent/veulent le faire... c'est à dire tous!) seront intéressés par le partage d'expérience et d'expertise de leurs pairs et des experts du sujet !
Comment from Loic Simon: se porte volontaire pour participerC'est tout simplement LE sujet qui me passionne depuis plusieurs années (2007...) et pour lequel j'ai un point de vue ainsi qu'une expérience (au travers du Club Alliances) et une expertise à partager.
Comment from Joana Carvalho: se porte volontaire pour participerLa fin de mes études approche, je trouve se genre de débat très intéressant pour mon avenir professionnel. Je souhaite voir quel sont les tendances dans le monde de l'entreprise, et partager ma vision des choses en tant qu'étudiante.
Comment from Frédéric BASCUNANA: nos partenaires ZDnet publient une excellente ressource sur le sujet :http://www.zdnet.fr/actualites/saas-les-avantages-les-inconvenients-et-les-principaux-fournisseurs-39794160.htm
Comment from Pedro ABRANTES: En septembre 2000, j'ai recensé 450 éditeurs qui annonçaient avoir une offre locative. Cela tombait bien, je cherchais 70 applications pour un catalogue. Malheureusement, entre le marketing et la réalité, il y a un gouffre. Le chemin à parcourir n'est pas le même pour tous les éditeurs, au-delà de la démarche technique à franchir il ya le gap intellectuelle pour changer de modèle économique.Commençons par ce dernier. D'un côté nous avons un éditeur qui vend sa solution X, auquel, il convient d'ajouter Y tous les ans de maintenance. X couvre l'effort de recherche et développement sur une période donnée, divisé par le nombre de clients attendus pour couvrir les frais tout en ayant un tarif acceptable par les clients. Y couvre les frais annuels du service maintenance divisé par le nombre de contrats envisagés. X et Y, étaient souvent hors de portée des prospects du périmètre maximal. Passé en mode SaaS s'apparente souvent à avoir la fusion du cout d'achat et du cout annuel du service associé pour toutes les années d'utilisation, souvent cela revient à avoir le même revenu mais sur une période plus longue (entre 10 et 20 ans).Côté technique, il faut souvent passer d'une application monoposte (Au mieux client/serveur) à une application gérant les utilisateurs en ligne (A minima) et/ou plusieurs sociétés sur la même base logiciel ainsi que l'intégrité et la sécurité de l'ensemble puisque accessible via internet. Ce n'est plus la même difficulté technique. Il est impossible de gérer cela simplement avec de l'habillage. Les premières tentatives ont-étés catastrophiques et le coût de redéveloppement intégral pour mettre la solution à l'état de l'art est souvent très couteux (Env 3 fois la somme initialement budgétée). A nouvelles contraintes, nouvelles réponses techniques.Cela fini par faire beaucoup de contraintes à gérer pour offrir un modèle locatif qui rapporte sur le volume global. Alors je comprend les éditeurs qui y vont doucement – Mais il est certain que ce modèle répond mieux aux attentes des clients. On est disposé à payer pour un service rendu, plus que pour la "possession" de la même solution.
Comment from Antoine Dorin: trouve ce sujet : Excellent !C'est une initiative très heureuse. Le Saas s'imposera comme une évidence dans les années à venir et les entreprises s'y préparent. Il faut que tous, pure players et éditeurs traditionnel migrant vers le Saas, mettent en place un véritable travail d'évangélisation pour les accompagner.
Comment from Pierre-Henri Amalric: trouve ce sujet : Excellent !En tant qu'éditeur, la passage en mode SaaS est très structurant a court ou moyen terme
Comment from Francesco Serra: souhaite assister à ce tournage- enjeux et opportunités pour la conversion vers le Cloud- éducation du marché aux solutions d'optimisation et d'accélération des applications métiers en SaaS
Comment from Olivier Murat: L'aspect relation client avec tous les enjeux pédagogiques et d'accompagnement sera un point aussi à aborder dans le débat. Comme Antoine Dorin le dit plus haut, "l'évangélisation" est à faire à tous les niveaux.
Comment from Cyril Margnat: se porte volontaire pour participerinvitation de votre part et de celle d'aspaway a y participer
Comment from Julien Carlier: se porte volontaire pour participerIl y a 3 points de motivations :- en tant qu'éditeur Saas nous sommes particulièrement concernés- parce que 30% de nos clients sont des editeurs Saas- parce que les outils digitaux sont des leviers de création de valeur pour notre société et qu'ils ne sont pas assez connus
Comment from Julien Carlier: Je découvre aussi le processus participatif, c'est très smart ! Et plutôt intuitif d'utilisation. Au plaisir de se rencontrer :-)Julien
Comment from Frédéric BASCUNANA: avec très grand plaisir Julienen attendant n'hésitez pas à vous inscrire pour une interview que nous réaliserons avec plaisir sur http://techtoc.tv/portraits