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Stress au travail, dépression, suicides, la question de la pathologie au travail se pose de manière récurrente au travers souvent de faits divers dramatiques. Pour certains ce stress est liée à l'organisation. Pour d'autres, il relève de trajectoires personnelles. Le bien être est-il encore possible au travail ? Doit-on imaginer un nouveau contrat social ?
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Location : Dans les studios de Webcastory
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Subject proposed by Fabrice Frossard
Organization by Fabrice Frossard
Format : Talkshow
Treatment : Debate
 
Speakers :
Fabrice Frossard, Editialis TechtocTV Balises.info Gisi In...
Directeur adjoint de la rédaction Editialis - Intervenant...
Gwenole Guiomard, rédacteur en chef emploipro/groupe usine no...
Je suis journaliste spécialisé dans les questions de RH-f...

Stress au travail, dépression, suicides, la question de la pathologie au travail se pose de manière récurrente au travers souvent de faits divers dramatiques. Pour certains ce stress est liée à l'organisation. Pour d'autres, il relève de trajectoires personnelles. Le bien être est-il encore possible au travail ? Doit-on imaginer un nouveau contrat social ?


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  • Comment from Jack Maillard: La question est bien posée. Ce sont le stress au travail, les dépressions et les suicides qui posent cette question de manière récurrente.On s’aperçoit que cette « question » est apparue après les années 1970, après que nous soyons passés de l’ère économique du « Manque » à l’ère Economique de « Pléthore », telles que définies sur critiqueduliberalisme.com qui est précisément un site Internet dont la philosophie est la résistance à l’oppression en mettant en œuvre des moyens économiques CONCRETS de libération.Il n’existe pas trente six façons de considérer l’Etre Humain face à la vie. Doit-il être libre ou larbin voilà la question ! A la réponse « il doit être libre » s’opposent mille raisons pour l’objétiser aussi fausses les unes que les autres dont la récurrente actuelle vis à vis d’un terrorisme « de riposte » constaté, justifie l’envoi d’aller le sacrifier dans les pays accusés de terrorisme…, et donc pour son bien !Autant le « si vis pacem para bellum » (si tu veux la paix, prépare la guerre) mis en actes par de Gaulle, aujourd’hui abandonné avec le déclin des moyens de défense reste plus que jamais fondamental, autant le devoir humaniste est de donner aux pays les moyens d’exercer eux-mêmes leur démocratie…, plutôt que de vendre des armes aux désespérés, pour enrichir le commerce ad hoc et ceux que la guerre préventive enrichit.Cette question d’apparence anodine ouvre le débat sur le destin des Etres Humains du Monde. Si l’on réussit à délarbiniser l’esprit des Français au point qu’ils adoptent les assiettes fiscales et sociales d’inoppression Active qui supprimera Stress dépressions et suicides, prendront-il conscience qu’il est criminel de continuer à objétiser les gens du Monde. C’est un pari qui vaut le coup d’être tenté, pour soi et pour CHAQUE Etre qui peut alors, à son tour, enrichir l’humanité.Le « contrat social idéal » n’est-ce par la liberté pour chacun d’avoir les moyens concrets et simples de choisir lui-même son destin ? Comment from Guillaume Soulet: Ce sujet est intéressant car il est vague.En effet, c'est pas un sujet binaire: pas de bien ou de mal, pas de mieux ou de pire, pas de oui ou de non.Je n'irai pas critiquer les 35h, qui bien qu'étant, théoriquement, une idée géniale de partage du travail, se révèle être une cause d'intensification du travail: Faire l'équivalent de 39h en 35h, il manque 4h...Également, l'arrivée de l'informatique à crée énormément de "nouveaux" mal-être: lire ses mails des réception, et non 1h après; les open-space, où tout le monde s'observe; les GPS intégrés dans les voitures de sociétés, ou les poids lourds... La où l'être humain est capable de supporter sur de petites périodes de grandes quantités de stress, on applique de petites quantités de stress mais en permanence si bien que l'organisme ne peut suivre : ce sont les nouveaux maux de notre société.Vient ensuite la peur de discuter avec son employeur, car celui-ci peut se séparer de vous plus facilement s'il ne vous considère plus à la hauteur : il a une "armée de chômeurs" pour vous remplacer s'il le désire.Dans certaines entreprises, j'ai été témoins d'un fonctionnement interne complètement insupportable : Chaque salariés montait des dossiers contre un peu tout le monde "au cas où ils en feraient autant contre moi", et où j'ai même été sollicité pour obtenir des informations afin d'en compléter d'avantage.Enfin, je reste persuadé que si l'on donnait aux informaticiens un "devoir de protection de la vie privée des salariés", en signant un "accord CNIL" par exemple, l'on pourrait créer un lien de confiance entre le salarié et l'informaticien, où celui ci ne serait plus considéré (parfois à raison) comme un "Big Brother" en puissance, mais plutôt comme une personne chargée de protéger l'entreprise et les salariés. Comment from : Je ne pense pas que l'entreprise est pathogène en elle même. Cela reviendrait presque à dire que le Travail (globalement) est pathogène.Or comme le dit un très vieil adage "le travail c'est la santé".Toute la question est de vérifier de quelle santé s'inquiète t-on aujourd'hui ?S'agit-il de la santé physique et mentale du salarié ? Doit-on considérer qu'il y a une vie avant, pendant et après le travail ? Ou bien ne doit-on considérer que le cycle de vie d'un salarié, non rentable durant ses études, compétitif (en théorie) après être sorti de l'université et "dépassé" après un age limite de péremption ?S'agit-il de la santé financière de l'entreprise elle même, en fonction des fluctuation boursière si elle est côtée en bourse , ou de ses résultats financiers qui détermineront les choix budgétaires et les recrutements (ou non) à venir ?Je pense surtout que les principaux facteurs de pathologies potentielles au sein d'une entreprise résident dans l'estime et la considération apportée envers chaque salarié, et aussi du niveau de compétition interne et de la pression exercée (ou non) pour parvenir aux objectifs de résultat fixés par la direction.C'est un sujet interessant qui mérite d'être débattu dans une société comme la nôtre, ou l'externalisation des ressources est devenu prépondérante, et où le niveau de formation universitaire et apporté en interne ne correspond pas toujours aux attentes et aux résultats escomptés.  Comment from Jack Maillard: la meilleure réponse aux questions de souffrance n'est-elle pas la mise en liberté du citoyen libre de travailler ou non au prix proposé, avec le moyen de refuser d'être objétisé car suffisamment riche ? Le meilleur moyen n'est-il pas le contrat sans contrainte ? Si la réponse est oui; la solution semble bien être la mise en place des assiettes fiscales et sociales dotantes de l'Inoppression Active..., sauf preuve qu'il y a mieux encore. Comment from Vincent Berthelot: Titre provocateur mais il aurait certainement été préférable de se poser la question de ce degré de mal etre depuis le développement de l'entreprise capitaliste.Les raccourcis et amalgames sont plus pour les tabloid que de la webtv collaborative.Mode de management, toute puissance du rapport financier sur le rapport humain, eloignement des prises de décisions de plus en plus important, responsabilité sociale brandie en alibi mais peu appliquée, environnement sature d'elements stresseurs... Comment from : trouve ce webcast : IntéressantInteressant seulement car je n'ai pas tout compris. Comment from : Il faudrait peut être mettre à jour la liste des intervenants sur ce plateau, car au final il y a eu deux remplaçants à la place de Julien TREFEU Comment from Stanislas Jourdan: trouve ce webcast : Excellent !Un sujet de fond bien traité.Il pourrait être intéressant d'aller encore plus loin (notamment sur les pistes abordées en fin de plateau).merci aux intervenants ! Comment from Corinne Dangas: La surpression managériale, la surveillance excessive ou les open spaces déshumanisés, etc. sont pathogènes mais cela tombe nettement sous le sens et si cela mérite de s'y attarder je ne suis pas certaine que ce soit pour autre chose qu'évangéliser ceux qui ne l'auraient pas encore compris. Les burn-out, les suicides, etc. sont aussi souvent le fait d'employés ou cadres excellement notés, aimant leur travail, très fortement impliqués et appréciés, et pas nécessairement victimes d'un chefaillon garde-chiourne qui surveille leurs horaires d'entrée - sortie. L'entreprise est donc pathogène aussi, je pense, pour des raisons plus complexes, éminemment culturelles. Nous vivons une ère d'information, de connaissance, de culture et de communication, où comme le dit Vincent, "la responsabilité sociale est brandie en alibi, et peu appliquée". C'est certes se moquer du monde de la part de l'entreprise, mais comme elle n'était pas non plus appliquée avant, où sont les raisons objectives pour qu'il y ait un effet (de quelques décennies au plus) directement destructeur sur les salariés ? Je vois là-dedans un autre effet pernicieux, qui est l'intériorisation de cette responsabilité, constamment brandie en étendard et mise en scène. Ce n'est plus l'organisation qui a une responsabilité, c'est chacun de nous individuellement qui devient responsable. D'être éthique, collaboratif, adaptable, à l'écoute, customer-oriented, évolutif, et j'en passe. Nous sommes éduqués et formatés dans l'idée que porter et poursuivre ces idéaux ne peut que produire des résultats positifs et, pour ainsi dire, rendre le monde quasi-parfait. Or l'orchestration de l’adhésion fusionnelle à ces idéaux sous une apparence de consentement libre est une confiscation pernicieuse, invisible, inconsciente, de la possibilité de "non adhésion", du droit à l'imperfection, au relâchement, à l'expression de l'individualité, etc.Le salarié qui intériorise ainsi l'organisation, vit son travail et les valeurs qu'il exprime comme une religion, perd la faculté de représentation consciente de la distorsion qui peut exister en lui par rapport à ces schémas. Il y a moins de soupapes de sécurité entre l'organisation et l'individu. C'est un déni de l'individu : il est mis dans une situation de double contrainte qui peut dans certains cas être très forte, face à l'échec pratique et la déconstruction de certaines de ses structures fondamentales. Tout le monde n'a pas la même adaptabilité, la même faculté de résister à l'ambiguïté qui existe en réalité entre les idéaux sociétaux et le pragmatisme quotidien, et d'y conserver sa santé et son individualité. Ce qui peut aussi poser la question du rôle qu'ont à jouer l'éducation et la formation là-dedans.        Comment from Fabrice Frossard: @Corinne. Pourquoi pas... Je pense que la réalité est plus prosaïque. Si j'adhère en partie à tes propos, toutes les questions d'éthique, de reponsabilité sociale et autres ne sont à mon sens que du bullshit venant par surcroît, un artefact de marketing social et managérial transformé en pseudo valeurs et oripeaux cachant tant bien que mal un déficit plus global. Quand aux valeurs que véhiculerait l'entreprise en tant qu'agent économique sociétalement responsable il y aurait là beaucoup à dire sur l'historique de ces notions. et le storytelling y est en tout cas pour beaucoup. Certes l'entreprise possède un rôle déterminant dans la cité, mais il faut savoir raison garder et ne pas transformer les fables de marketing sociale en réalité quotidienne. Qui est autrement plus cynique la plupart du temps -même si heureusement les choses changent peu à peu.Mais, comme nous avons tentés de l'évoquer, trop rapidement sur le plateau, je pense que l'étiologie du malaise parfois ressenti dans les entreprises est plus simplement du à une perte globale de sens et, en corollaire une absence totale de reconnaissance du travail et de celui qui l'accompli, cette antienne du management. Ce qui somme toute est assez cohérent. Du point de vue macro au micro, l'absence de vision transformé en "pragmatisme", autrement dit, le résultat financier (disons les choses), ne véhicule aucune valeur et n'en crée pas. Sans création, il n'y a pas de sens ni de reconnaissance, juste un machinisme productif antagoniste avec la plupart des aspirations de réalisation de l'humain. La meilleure adaptation concrétisée par les "personnes performantes et bien notées" évoquée, n'est jamais que le résultat d'une économie psychique mise en branle pour affronter cette situation, non pas de double contrainte, mais d'absence de congruence, de distortion cognitive pour reprendre ta terminologie.Qui se concrétise effectivement par des dysfonctionnements psychiques pouvant dans le pire des cas mener à des issues fatales. Ce que je tente d'exprimer, c'est qu'il ne faut pas confondre et amalgamer les manifestations diverses pouvant conduire à ce mal être social et ses racines. Chaque strate et symptôme pouvant sans doute trouver une réponse et un changement approprié. Comment from Dominique Rabeuf: Choucroute 2.0 La choucroute peut être pathogène ! non ?! Comment from Jack Maillard: Dans les rapports qu’ont les supérieurs vis à vis de leurs salariés l’entreprise peut être pathogène. Devant un cas d’oppression manifeste et directe, il y a la réplique qui est saine et l’absence de réplique qui conduit aux pathologies.Dans le cas d’une appropriation du devoir de résultats de l’entreprise consistant à bien servir ses clients au risque d’être renvoyé si on a failli, il y a la peur de ne plus être reconnu dans le foyer familial du débauché en portant la responsabilité d’un échec. Vis à vis des collègues et de la société il y a la peur de se constater responsable de la faillite de l’entreprise et perdre l’estime de tout le monde en étant une des causes des pertes de marchés. Face à la famille, au patron et aux collègues, il y a de quoi stresser en permanence !Comment faire pour ne pas stresser : Ne pas s’abriter sur quoi que ce soit face à des échecs auxquels personne n’échappe. Il faut par exemple prendre conscience que le diplôme qui a permis d’entrer dans l’entreprise n’a servi qu’à cela. Il n’est pas propre à garantir une exhaustivité de savoirs et un devoir de parfaits services rendus.Si l’entreprise cherche une implication de chacun c’est à dire sa responsabilité sur son chiffre d’affaires, c’est bien chacun des employés appelés à être responsable, qui doit l’être jusqu’au bout, y compris et je dirais même d’abord avec sa propre personne. Pour ce faire, intérioriser sa responsabilité n’est acceptable que dans le cadre de la stratégie productiviste qu’on impose à soi-même. Il est parallèlement nécessaire d’extérioriser ses questionnements et exposer ses manques pour que d’autres, s’il en existe de capables y répondent. Comme c’est rarement le cas, il y a de quoi positiver en relativisant sa propre responsabilité au niveau de ses capacités, et ne plus être accablé par de normales méconnaissances.L’apparence de consentement au devoir pré appréhendé comme inquiétant, n’est dû qu’au manque de communication. Voyez chez Google, les ères de décompressions et les rencontres non programmées selon les besoins, enlèvent radicalement le stress de ceux qui ont compris que personne n’est parfait (à qui on l’a dit en entrant, c’est vrai !). Il ne s’agit pas d’un droit à l’imperfection, car tout le monde est imparfait. Il ne s’agit pas d’un droit au relâchement car personne ne peut se priver de repos…, à son rythme …, et qu’il ne faut donc plus horrairiser.Le déni de l’individu, c’est l’individu formaté à sa propre objétisation et à l’objétisation des autres depuis le jardin d’enfants qui se l’impose à lui même.Etre pragmatique ce n’est pas seulement ne pas accepter les contraintes environnementales apprises à l’école, c’est œuvrer pour que ça change.et…, revenant à mes premières amours ci-avant exprimées, ça commence par la libération de l’individu, dès l’école. C’est politique !B….l de B….l de M…. comme le disait JP Marielle en son langage peu châtié, exprimant ainsi la façon qu’avait son personnage de s’exprimer sans risque de culture du stress. Comment from Corinne Dangas: "Le déni de l’individu, c’est l’individu formaté à sa propre objétisation et à l’objétisation des autres depuis le jardin d’enfants qui se l’impose à lui même.Être pragmatique ce n’est pas seulement ne pas accepter les contraintes environnementales apprises à l’école, c’est œuvrer pour que ça change.et…, revenant à mes premières amours ci-avant exprimées, ça commence par la libération de l’individu, dès l’école. "Je suis assez d'accord avec ton propos, c'est ce que j'ai cherché à exprimer juste au-dessus, en appelant au rôle de l'école et de la formation. L'école et plus largement notre culture donneuse de sens, peuvent (dans certains cas) produire à terme un effet inverse de celui "libératoire" que, précisément, ils visent donner. Parce que conférer un "abus" de sens "sociétal" à l'individu qui va l'intérioriser, peut ni plus, ni moins, revenir à du bourrage de crâne de l'ordre du religieux. (Il n'y a pas tjrs besoin de faire entrer les choses au marteau piqueur !) Cela étant, je pense qu'il ne faut pas jeter le bébé avec l'eau du bain. Le "déni de l'individu qu'il finit par s'imposer à lui-même", tel que tu le décris, ne concerne pas tous les individus également. Parce que cette action structurante de l'école et de l'environnement culturel, n'aura pas "formaté" toute personne, tous les enfants, par nature tous différents, de la même façon. Autrement dit, l'égalité visée par l'école passe à mon sens par des différences d'action... or jusqu'ici elle a plutôt tendance à faire le contraire. On nivelle tout (par le bas dans certains quartiers, par le haut dans d'autres), et Dieu reconnaîtra les siens.    Comment from Jack Maillard: Autrement dit, l'égalité visée par l'école passe à mon sens par des différences d'action... or jusqu'ici elle a plutôt tendance à faire le contraire. On nivelle tout (par le bas dans certains quartiers, par le haut dans d'autres), Tout à fait d’accord ! « on » (c’est nous !) nivelle au lieu de prendre en compte les différences pour faire fleurir les potentialités. Alors, quand est-ce qu’« on » change tout çà ?et Dieu reconnaîtra les siens C’est pour moi chacun de nous, qui en appelle à l’invisible Esprit, mystère créatif dont nous sommes issus et que nous constituons, avec lequel nous pouvons agir pourvu que nous le décidions, pour peu que nous ayons été en mesure de l’appeler.Alors, on commence quand ? Comment from Corinne Dangas: Oui "on" c'est bien "nous". J'espère que l'on a déjà commencé, à nos âges.Par contre je crois que si l'on a bien pointé du doigt certaines causes (aux risques pathogènes de l'entreprise) en montrant le rôle des (ou du) systèmes d'éducation, on commence ici à friser le hors sujet ! Pourquoi ne pas créer un sujet sur ce que peut et devrait changer l'école, et ce que peuvent faire les TIC pour l'y aider ? Pour personnaliser la mission éducative et mieux respecter les individualités. Je n'ai pas l'impression qu'on a une chaîne Éducation 2.0 sur TT, si ? Où d'après vous le sujet peut trouver place ?