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Nouvelle organisation, nouveau mode de travail, nouvelle communication et nouveau management pour aboutir à un projet commun. Avec le développement des outils collaboratifs, l’entreprise entre dans une nouvelle ère. Celle du partage de l’information et des connaissances pour lui permettre de gagner en performances grâce à la mutualisation de toutes les ressources de l’entreprise. Telle est la promesse…
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Subject proposed by Barbara Govaerts
Organization by Sibylle Lhopiteau
Format : Talkshow
Treatment : Debate
 
Speakers :
François Aubriot, DotRiver, la solution eco-innovante de vist...
Directeur commercial associé chez DotRiver. Actuel présid...
Patrick Bedigis, Axessio, directeur de la B.U. Meetings
Editeur de Meetings : solution web de rédaction & suivi d...
Pierre-Michael Micaletti, Ecole de Guerre Economique - Enseignant
Enseignant à l'Ecole de Guerre Economique sur les thémati...
Anthony Poncier, Associé Publicis Consultants
Je suis un consultant en management et en entreprise 2.0
Frédéric Bascuñana, SmartNomad - Strategic consulting
Parrhésiaste, maïeuticien, propagateur des transformation...
Nouvelle organisation, nouveau mode de travail, nouvelle communication et nouveau management pour aboutir à un projet commun. Avec le développement des outils collaboratifs, l’entreprise entre dans une nouvelle ère. Celle du partage de l’information et des connaissances pour lui permettre de gagner en performances grâce à la mutualisation de toutes les ressources de l’entreprise. Telle est la promesse…

Cependant,  de nombreux témoignages mettent en évidence qu’il existe encore un trop grand décalage entre la mise en place de tous ces outils collaboratifs dans les entreprises et l’usage qui en est fait.

Le processus d’adoption semble long.

Quels seraient les freins ? Les entreprises les auraient-elles trop vite imposés ? Formation et information sur l’objectif feraient-elles défaut ? En transformant la façon de travailler, le travail collaboratif modifie profondément le rôle et les attributions de chacun. Les collaborateurs auraient-ils des réticences à partager leur contribution au risque de voir leur travail se diluer dans un système global?

Les échanges et les relations sont perturbés entraînant des manques en termes de repère et  d’identité.

Le management aussi doit se réinventer. Comment redéfinir son rôle au sein de l’organisation pour fédérer autour du projet commun ? Est-il prêt lui aussi à partager l’information, souvent assimilée au pouvoir ? 

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  • Comment from Catherine TARAPACKI-PINTO: très vaste sujet, une évangélisation toujours nécessaire et qui, je l'espère, fait de plus en plus d'adeptes !! Comment from : Je pense que la collaboration en entreprise n'est généralement possible que de pair à pair, les structures managériales hierarchisantes ne favorise pas une collaboration active et innovante. Si l'outil technologique favorise la collaboration, c'est en permettant l'anonymat de tous contributeurs Comment from Olivier Schimpf: j'aimerais savoir si les problemes de collaboration en entreprise sont liées à la culture d'un métier, d'une entreprise, ou d'un pays? Comment from jm yoli: La collaboration au sein d'une entreprise a maintenat demarré il y a plus de 10 ans : aujourd'hui. La vraie collaboration qui nous manque est la collaboration pour conduire un projet ... ce qui implique en général une collaboration entre personnes d'entreprises différentes (clients, fournisseurs, partenaires, sous-raitants, ...)c'est l'objet du programme Tic & PME lancé par le Ministère de l'économie Comment from jm yoli: la collaboration au sein de l'entreprise, demarrée il y a plus de 10 ans est maintenant de pratique courrante : le vrai challenge est la collaboration pour la conduite de projets qui est la plupart du temps interentreprises(partenaires, fournisseurs, sous-traitantsle programme Tic & PME lancé par le ministère de l'économie veille a remédier a cette lacune Comment from Pierre DAL ZOTTO: trouve ce sujet : Excellent !Un autre de mes thèmes de recherche... Et le débat arrive ! Comment from Pierre DAL ZOTTO: par contre un lien vers l'étude dont parle le prompteur serait, à mon avis, une très bonne chose ! Comment from Nicole Turbé-Suetens: Je pense qu'il est indispensable que notre rigueur intellectuelle nous oblige à donner aux autres membres de la discussion les liens (ou accès) vers/aux documents auxquels il est fait référence dans nos propos. Sinon, il s'agit d'une information et pas d'une construction à valeur ajoutée. Répondre sur des impressions ou des expériences personnelles est certes utile et important : tenir compte d'études ou d'enquêtes qui valident (plus ou moins bien...et cela fait partie de notre travail) les éléments proposés au débat est le fondement de notre travail collaboratif sur tous les sujets pour créer de la valeur collaborative. En ce qui concerne ce sujet, la seule chose que j'ai trouvée en cherchant rapidement un dimanche d'été en ayant d'autres sujets pour occuper mon dimanche est ce lien sur le site de Avanade qui ne donne même pas accès à l'étude : http://www.avanade.com/fr/about/news/pressdetail.aspx?id=512 Comment from : Sujet très intéressant Comment from : trouve ce sujet : IntéressantUn sujet d'avenir Comment from André Loechel: "Pris d’un point de vue métier"...La collaboration entrepreneuriale de demain sera d'abord évidemment le fruit de l'intégration de nouveaux métiers et surtout des mutations des profils des métiers existants: c'est ce que nous confirment les enquêtes développées dans le cas de notre projet "Pro InterNet".Un autre enseignement ainsi obtenu de la création de notre réseau international "Métiers et formations de l'Internet" est l'extrême diversité des vecteurs de cette collaboration dans l'entreprise selon bien sûr les horizons culturels en Europe même: nous rendons-nous suffisamment compte que la grande différence de perception en la matière sera demain un élément majeur de compétitivité? Comment from Patrick Bedigis: trouve ce sujet : Excellent !La réunion est un endroit clé de la collaboration des équipes, et cependant ... En réunion les équipes devraient fonctionner comme des micro-réseaux sociaux, liées par les actions décidées en réunion... cela fait quelques années que nous y travaillons : http://blog.mymeetingsondemand.com/ Comment from : Je n'ai aucune expérience professionnel en France, uniquement en ASEAN.De l'expérience que j'ai, la collaboration n'est pas une méthode de travail répandue dans la culture Asiatique.D'ou mon commentaire ci-dessus. Comment from Vincent Berthelot: En effet le système éducatif, managérial et même familial promeut une hiérachisation très forte et nécessite que chacun joue son rôle.Cependant la collaboration est possible selon certaines configuration et là le statut "d'étranger" est un avantage car il peut échapper à une catégorisation hiérachique.J'ai animé des réunions de ce type en Thaïlande ou je leur demandai par avance de me pardonner de ma grossiéreté.Cependant là encore la présence d'un hiérachique a pour effet de geler l'ensemble des membres qui sont sous sa ligne.Avec ces précautions c'est un peu comme ouvrir le couvercle d'une cocotte minute :-) Comment from Fred C.: trouve ce sujet : IntéressantDepuis notre tendre enfance nous sommes incités à travailler de façon collaborative, mais tout comme lors de la préparation d'un exposé scolaire la contribution des différents acteurs d'une équipe peut être inégale, pourtant toute l'équipe reçoit le même mérite.Comment évaluer les efforts de chacun dans un travail de groupe ? Est-ce que l'entreprise a prévu un processus d'évaluation RH / Performances / Objectifs ... ?N'y a-t-il pas un risque que les "bons élèves" finissent par garder jalousement leur savoir / savoir faire, à l'encontre de la collaboration ? (le savoir est le pouvoir)En quoi un community manager peut faciliter le travail collaboratif au sein d'une entreprise ? Est-ce que le travail collaboratif en entreprise s'applique a tous les domaines, toutes les situations ? Par exemple : la période de crise au sein de BP, les rapprochement de groupes (GDF et Suez).   Comment from ouadah: Bonjour, L'inconvénient est que notre société et nos entreprises restent solidement attachés à des objectifs qui tournent autour du confort (réussite) personnel ou familiale, alors la prise de risque se voit diminuer d'avantage, nous pouvons observer que les grands changements proviennent toujours des minorités, des personnes qui ont des modes de fonctionnements et pensées différents et qui en général sont perçus ou comme des extras terrestre ou comme des marginaux, cependant le grand avantage inconscient est que cela amène toujours aux questionnements, nous retrouvons toujours, une majorité opérationnelle, une minorité réactionnelle (rebelle). Nous pouvons observer sur le marché actuel des jeunes créateurs d'entreprises, une tout autre dynamique dont l'objectif est l'intérêt collectif et la prise de risque et le développement de l'entreprise sont à leur maximum. Le temps et l'argent sont deux notions indissociables du phénomène entreprise, observons les motivations des créateurs d'entreprises Québécois, et leur représentation de la performance, il ressort que les objectifs financiers ne sont pas prédominants, ils ne servent qu'a préserver l'autonomie et l'indépendance, et mettent en évidence les préoccupations environnementales et besoins territoriales. Mettre au service de l'humain les moyens nécessaires, dans un état d'esprit d'entreprendre ensemble, dont les finalités sont l'intérêt partagé.Leila Ouadah Comment from Pierre DAL ZOTTO: http://www.avanade.com/fr-fr/approach/research/Pages/Accelerating-Business-Value-with-Collaboration.aspx c'est la seule étude que j'ai trouvé avec le mot clef collaboration qui corresponde, a priori, au prompteur... Je reviendrai après l'avoir lue... Comment from Benoît Duchatelet: trouve ce sujet : IntéressantGarder à l'esprit qu'il n'est de richesse que d'hommes. Comment from Marc Tirel: trouve ce sujet : Excellent !Collaboration , connections .... au coeur de la vie Comment from Gilles Satgé: trouve ce sujet : CreuxIl manque un peu de potentiel polémique, ce sujet.La collaboration en entreprise, tout le monde est pour. (même moi, alors que j'adore avoir raison contre le reste du monde).Le texte introductif ne change rien à l'affaire. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il n'expose pas une opinion très originale sur le sujet.De quoi vont bien pouvoir débattre les participants ? Comment from Dominique Rabeuf: Le sujet est très à la mode.Beaucoup semblent avoir oublié que «collaborer» signifie «travailler ensemble».Cela doit être difficile de dénicher des thèses prônant la «non collaboration» dans l'entreprise.Même moi, je collabore avec moi-même Comment from Anthony Poncier: oui c'est vaste la collaboration en entreprise. On est sur des trucs d'animation, sur de la gouvernance ou du management ? Et puis quel gains grâce à la collaboration, pourquoi les entreprises collaborent... Ou montrer aussi pourquoi les collaborateurs ne sont pas chauds pour collaborer. Il y a de quoi faire plusieurs plateaux sur le sujet. Ou alors on fait un tour rapide et chaque piste ouverte donnera lieu à un plateau Comment from Pierre DAL ZOTTO: Les thèse ne prône pas la non-collaboration en général, mais s'intéressent à ses modalités, voir ses "anti-modèles" par exemples théorie des contrats ou théorie de l'agence ,ou encore théorie des conventions pour parler des "grandes théories". Se dégage ensuite d'autre courant suivant la discipline des sciences de gestion. Dans le cadre de mon champ de prédilection, on parlait il y a encore peu énormément de boundary spanner (Vaast &Levina, 2005, MISQ, Emergence of boundary spanning competence in practice...) , et autre personnages clef, ces persones, s'appuyant sur des objets frontières (Anthony Hussenot, thèse,le cas note plus (de mémoire) 2008)Maintenant, on commence à s'intéresser d'avantage au client, dans des démarche de co-création, mais il s'agit aussi, de collaboration. En fait c'est un concept valise très facile à utiliser. En revanche, c'est de l'approfondissement que nait quelques connaissances, mais qui dépendent nécessairement du cadre dans lequel on s'inscrit ! (comprendre qu'un sociologue des organisations ne verra pas les mêmes choses, et c'est normal, qu'un chercheur en Système d'Information !) Comment from Pierre DAL ZOTTO: PS : je ne pourrai pas être présent, j'essaierai de suivre en direct ! Grr ! Comment from Laurent Salsé: Petit retour d"expérience : J'ai longtemps exercé comme "Consultant-Manager" sur de "grands" projets informatiques dans de "grands" groupes (le "grand" c'est pour le côté pharaonique de ces projets qu'il est difficile de retranscrire en quelques lignes).J'y ai constaté systématiquement un phénomène 'anti-collaboratif' navrant !D'abord, à cause d'un éco système de prestataires de services qui se mènent une guerre ouverte sur le projet ...Mais aussi à cause d'un vieux réflexe des Clients qui consiste à "coller" un Responsable Manager derrière chaque problème, avec un fichier Excel pour tout outil de pilotage ... On se retrouve alors avec d'interminables réunions de synchronisation improductive, où l'on parle de tout et de rien, sans aucun sens des priorités, et où chaque Manager met en avant son "Problème", celui dont il est responsable. Épuisant !Le plus troublant, c'est qu'aucun de ces grands groupes ne rechigne à payer 700 € ou plus par jour de prestation pour ces "Manager à Problèmes" mais trouvent inconcevable de débourser quelques milliers d'€uros pour des Outils Collaboratifs, permettant de Piloter Ensemble les Problèmes en temps réel ....J'ai changé de métier ;-) Comment from Nicole Turbé-Suetens: Moi j'ai mené un projet en Inde, dans un grand conglomérat, de 2006 à 2008 dans le cadre d'un projet européen de recherche. Aujourd'hui toute l'entreprise a basculé en mode collaboratif car le travail détaillé que nous avons mené en toute transparence et avec beaucoup de pédagogie a bien montré les poches de productivité grâce à la collaboration tout en améliorant les conditions de vie de nombres de personnes qui de ce fait se sont mises à télétravailler. Comment from Nicole Turbé-Suetens: Pour répondre au commentaire de Gilles qui trouve que le sujet manque de potentiel de polémique, en voici un. Je m'inscris en faux contre cette affirmation de Guillaume car ceux qui utilisent à fond les outils collaboratifs bannissent l'anonymat et la force des ces outils est justement de dépasser les frontières du "pair à pair" et les hiérarchies décadentes. Comment from Gilles Satgé: Nicole, je me suis fait exactement la même réflexion que toi en lisant le commentaire de Guillaume qui prône l'anonymat pour favoriser la collaboration. Que voilà un bon sujet : "Les outils collaboratifs en entreprise requièrent l'anonymat".Et je serais dans le même camp que toi si un tel débat avait lieu. Je défendrai le fait que l'anonymat est à bannir pour si l'on veut une réelle collaboration (en entreprise).C'est d'ailleurs la raison pour laquelle je ne réponds jamais aux contributeurs de Techtoc TV qui interviennent cachés derrière un pseudo. Comment from Gilles Satgé: Le moment est venu de mettre les pieds dans le plat.Ce sujet a été lancé en juin avec un texte d'introduction, un prompteur dans le jargon Techtoc, rédigé dans un style improbable. Une relecture attentive du prompteur permet de comprendre qu'il y est vaguement question d'une étude sur la collaboration en entreprise publiée par la société Avanade, Joint Venture entre Accenture et Microsoft.Un clic sur l'organisateur du sujet, une certaine Barbara Govaerts, nous apprend que celle-ci travaille pour Lewis PR, une agence de relations publiques mandatée par Avanade.Travaille-t-elle toujours pour Lewis PR ? On ne le sait pas. Par contre, il est probable qu'elle a été affectée à un autre client puisqu'elle n'a répondu que par un silence tout juste poli aux demandes réitérées de plusieurs intervenants de cette filière de fournir un lien vers cette fameuse étude.En fait, Barbara Govaerts s'est connectée sur Techtoc TV pour le dernière fois le 11 juin 2010 (petite digression. Le fait de pouvoir connaitre cette information illustre la qualité de la plateforme collaborative Techtoc sur le critère de "l'awareness", critère majeur pour un outil collaboratif).Un esprit mal intentionné pourrait penser que la société Avanade essaye a peu de frais (ou à grand frais, tout dépend des tarifs de Lewis PR) d'associer son nom au thème forcément populaire de la collaboration en entreprise, en prétextant d'une étude dont la substance reste encore l'objet de beaucoup de spéculation.Une telle idée ne m'a évidemment jamais traversé l'esprit (en tout cas, pas plus longtemps que le temps de rédiger le paragraphe précédent). Une JV issue de la "collaboration" de deux sociétés aussi prestigieuses que Accenture et Microsoft ne peut évidemment se livrer à ce type de comportement.L'étude en question existe certainement. Elle doit être d'un excellent niveau.Il est d'ailleurs fort probable qu'un partner d'Avande intervienne très vite sur cette filière pour nous entretenir de la vision de sa société sur ce sujet.Je le souhaite vivement. Comment from Sophie Januel: BonsoirJe propose de reprendre la discussion sans faux nez. La collaboration est relative au management mais aussi au lien juridique enserrant les personnes. Mon postulat est que plus les personnes sont sous contrainte et très encadrées moins elles peuvent s'impliquer sans crainte (répression, hiérarchie à respecter).. Or dans le management communautaire ou d'égal-à-égal, amoindrir ou effacer le lien de subordination permet de soutenir les prises d'initiatives, l'expression d'opinions différentes et de lutter contre le politiquement correct qui empêche la créativité, les débats parfois musclés et les ruptures créatrices. Comment from François Aubriot: trouve ce sujet : IntéressantL'architecture actuelle des SI engendre ce type de question. Penser différemment sa chaine de valeur informatique permet de couvrir nativement cette problématique, qui de fait n'en est plus une :-).Depuis l'arrivée des PC nous nous posons cette question de collaboration..avec la virtualisation du poste de travail (qui plus est avec de l'Open source) cette proplématique est enfin évacuée...J'espère pouvoir intervenir sur ce sujet (qui me tient à cœur) et pour lequel, le BSP (bon sens paysan) fait une nouvelle fois des miraclesa bientotfa Comment from Nicole Turbé-Suetens: Je trouve aussi anormal que Barbara qui semble avoir lancé le sujet, n'intervienne plus. Ce n'est pas sérieux et comme le dit Sophie, il faudrait repartir sur de meilleures bases. Sur le site d'Avanade, j'ai trouvé ceci : http://www.avanade.com/PublishingImages/Videos/AVA_Collaboration_Research_Webcast.wmv Comment from Catherine TARAPACKI-PINTO: démasqué !!!Merci Gilles de nous montrer toute la puissance de cette plateforme collaborative grâce à ce travail de recherche intensif, je dois reconnaître une certaine fainéantise de ma part lors du choix de ce sujet parmi tous ceux que nous souhaiterions tourner, je me suis dit tiens un sujet proposé par un nouvel entrant, on va voir sa réaction si on le propose en tournage, on va lui envoyer un message pour voir si on a des nouvelles et du coup pouvoir entamer la discussion mais tu as raison, au delà du sujet un peu bateau et effectivement standard il va falloir remonter nos manches et revoir la copie, je propose un nouvel axe de discussion : on y travail et on revient vers vous.... Comment from Catherine TARAPACKI-PINTO: voilà qui est fait...cela vous semble t'il plus dans la veine de techtoc...?? Comment from Sibylle Lhopiteau: Collaboration en entreprise : les usages sont-ils à la hauteur des outils ? Comment from François Aubriot: ou l'inverse.... et c'est justement l'objet de mon post 10/10 :-) Je ne voulais pas faire de pub, mais si nous travaillons tous, avec les mêmes outils, les mêmes versions des logiciels, les mêmes données... c'est nativement collaboratif. ( cf www.dotriver.eu pour ceux que ça intéresse). Et là pour le coup, pas besoin de développement complexes, d'outils couteux, ( par exemple les ENT [espaces numériques de travail], si chères [$$$] à nos collectivités)Sltsfa Comment from Jm Yolin: il me semble que nous mélangeons souvent deux choses de nature tres différente@ les processus visant a la preparation de la décision qui visent a rassembler le maximum d'intelligences (au sens français et anglo-saxon du terme) et qui relève totalement de processus collaboratifs, donc horizontaux et sans souci de la hierarchie) : dans ce domaine il est clair que les processus dits "2.0" font merveille@ les processus décisionnels lui-même sur lesquels il faut trancher et donc engager sa responsabilité : certes la recherche du consensus est souvent souhaitable, mais en faire un principe de gouvernance (on a essayé avec certaines scoop a certains moments de leur existence) est sans doute tout à fait irréalisteOn a vu cette différence majeure éclater au plein jour à l'arrivée d'internet avec le fameux "circuit des parapheurs", circuit adapté au processus hierarchique de la prise de décision avec definition des responsabilités:Autant ce second processus implique un circuit ascendant parfaitement formalisé autant une telle contrainte etait stérilisante et synonyme de perte d'efficacité pour le premierC'est en cela que l'internet a provoqué de sourdes mais tres efficaces réactions de rejet dans une société comme la notre, tres étroitement hierarchisée ou la valeur dominante est la fidélité et non la compétence comme dans les pays du Nord : Chez nous les circuits ne respectant pas les "frontière" tracées par les organigrammes étaient perçus comme potentiellement destabilisants par l'encadrement (mot qui n'existe pas dans la culture anglosaxonne ou l'on parle de management et non d'"encadrement" et c'est là plus qu'un symbole anecdotique) et sont donc largement verrouillés sous couvert de confidentialité Comment from Jm Yolin: il me semble que nous mélangeons souvent deux choses de nature tres différente@ les processus visant a la preparation de la décision qui visent a rassembler le maximum d'intelligences (au sens français et anglo-saxon du terme) et qui relève totalement de processus collaboratifs, donc horizontaux et sans souci de la hierarchie) : dans ce domaine il est clair que les processus dits "2.0" font merveille@ les processus décisionnels lui-même sur lesquels il faut trancher et donc engager sa responsabilité : certes la recherche du consensus est souvent souhaitable, mais en faire un principe de gouvernance (on a essayé avec certaines scoop a certains moments de leur existence) est sans doute tout à fait irréalisteOn a vu cette différence majeure éclater au plein jour à l'arrivée d'internet avec le fameux "circuit des parapheurs", circuit adapté au processus hierarchique de la prise de décision avec definition des responsabilités:Autant ce second processus implique un circuit ascendant parfaitement formalisé autant une telle contrainte etait stérilisante et synonyme de perte d'efficacité pour le premierC'est en cela que l'internet a provoqué de sourdes mais tres efficaces réactions de rejet dans une société comme la notre, tres étroitement hierarchisée ou la valeur dominante est la fidélité et non la compétence comme dans les pays du Nord : Chez nous les circuits ne respectant pas les "frontière" tracées par les organigrammes étaient perçus comme potentiellement destabilisants par l'encadrement (mot qui n'existe pas dans la culture anglosaxonne ou l'on parle de management et non d'"encadrement" et c'est là plus qu'un symbole anecdotique) et sont donc largement verrouillés sous couvert de confidentialité Comment from Sibylle Lhopiteau: Effectivement. Mais pour aller plus loin, essayons de faire du collaboratif en direct et d'échanger sur ce sujet ... Comment from Gilles Satgé: Le prompteur initial faisait référence aux experts en "community management" d'Avanade.Moi, en conséquence, j'aurais bien fait dériver le sujet en "s'introduire dans une communauté sans se faire trop remarquer pour y faire du business".On aurait pu alors demander aux experts d'Avanade de venir témoigner !   Comment from Nicole Turbé-Suetens: Ceci revient à dire qu'il ne faut pas mélanger travail collaboratif avec développement d'intelligence collective et workflow. Le circuit du parapheur relève du workflow lorsqu'il y a dématérialisation du processus. Pour le reste, je ne peux que confirmer que l'angoisse quotidienne des managers français (mais d'autres aussi) est le "contrôle" dès que l'on parle de faire évoluer les méthodes de travail et de stimuler la collaboration. Comme si le management était synonyme de contrôle et de présence quand le manager est là ! Quelle erreur et quelle pauvreté de management génératrice de mal-être au travail. Comment from Gilles Satgé: Les galériens collaborent entre eux pour faire avancer leur galère, mais ce n'est probablement dans ce sens qu'il faut prendre le terme collaboration qui figure dans le titre de cette discussion.Il semble donc en effet utile d'introduire un peu de structure dans ce débat sur la collaboration pour préciser d'abord de quoi on parle.Tu indiques que le terme collaboration peut prendre deux sens différents. Certains auteurs qui s'intéressent aux outils permettant de supporter la collaboration (les groupware) donnent même 3 sens différents à ce terme, ils parlent de la classification des 3 C.Dans leur vision, la collaboration peut donc avoir une dimension essentiellement de Communication. Ce sont alors des échanges non structurés. Les outils adaptés sont bien entendus les forums (comme ici), les blogs, les wikis, les chats, twitter, etc.La collaboration peut également avoir une dimension de Coordination. L'outil typique supportant ce type d'interactions est l'agenda partagé, mais aussi les outils de gestion de projet.Enfin, la troisième catégorie est la Coopération qui réunit les deux premières dimensions dans l'accomplissement d'un objectif bien précis. Les outils qui rentrent dans cette dernière catégorie sont les outils de workflow.Il est bien certain que c'est le premier sens du mot collaboration qui fait le plus de buzz.Je ne suis pas certain par contre que c'est dans ce domaine que les entreprises ont le plus de besoins (pour te faire une confidence, je suis même certain du contraire).  Comment from Nicole Turbé-Suetens: Gilles, je pense que la définition que tu donnes et qui est classique des 3G est celle que nous avons tous connus jusqu'à l'arrivée de véritables outils collaboratifs assez intégrés comme les outils Google. C'est quand même la première fois qu'il est réellement possible de collaborer à plusieurs, à distance, pour écrire un texte par exemple ou travailler sur une feuille de calcul en temps réel. Cela change complètement la relation et permet une réelle co-création qui était impossible en synchrone avec les outils précédents. Et l'on communique en même temps puisque pendant qu'on écrit on peut commenter ou chatter sur le document ou la feuille. Moi qui suis une vétérante des outils collaboratifs je vois une réelle différence. C'est d'une efficacité redoutable. Comment from François Aubriot: Nicole, il est effectivement important de donner une définition, un glossaire et que toutes et tous nous ayons une base commune de façon à pouvoir en débattre.La définition donnée du "travail collaboratif" sur wikipedia peut etre une bonne base. Elle commence ainsi "Le travail est souvent naturellement collectif et collaboratif" :-) (http://fr.wikipedia.org/wiki/Travail_collaboratif )Avis aux amateurs pour contribuer, sur wikipedia qui est en soit un bon exemple d'outil collaboratif.Je vous invite vivement, Nicole, à venir tester un bureau virtuel DotRiver, et vous verrez que si l'architecture actuelle du poste de travail est complètement changée (et ce grâce à leur grand nombre et la disponibilité des connexions de partout, il en faut aussi pour aller sur google), il est ultra simple de travailler dans un environnement informatique poste de travail nativement collaboratif. Même les outils, qui à la base ne sont pas fait du tout développés pour être collaboratif, le deviennent. slts Comment from Jm Yolin: cher Gilles,bien d'accord sur les 3 C et les abus de langage sur le collaboratifBien entendu ma remarque sur la différence fondamentale entre la phase "preparation de la décision" qui n'engage que peu la responsabilité des protagonistes et le workflow de prise de décision qui engage la responsabilité du décideur hierarchique ne concerne que ta "troisième catégorie", les deux premières, évidemment utiles, ne posant guère de problèmes "existentiels" a nos organisationsvoir : l'Internet vient-il du Froid : http://www.yolin.net/nord.doc Comment from Sibylle Lhopiteau: @Gilles, @Nicole : A votre avis quel est le plus important, la communication d'information, le buzz du collaboratif selon Gilles, ou la co-création comme l'évoque Nicole ? Comment from Sibylle Lhopiteau: Bonjour à tous, Le sujet intéresse beaucoup d'entre vous mais les axes sont parfois très différents. Faire un seul plateau général avec vous tous sur le sujet risque finalement de ne pas apporter de véritables réponses. Ce serait décevant face à tant d'attentes. Il serait peut-être plus judicieux de scinder ce sujet en trois parties/ 3 plateaux différents à une semaine d'intervalle : éditeurs/RH/utilisateurs. 1/ Un 1er plateau le 20 octobre avec une présentation des solutions collaboratives pour bien redéfinir le périmètres, les offres des éditeurs... Et en quoi les outils améliorent la collaboration en entreprise... 2/ Un 2è plateau, une semaine plus tard, le 27 octobre, ou l'on pourrait aborder tout l'aspect RH. 3/ le dernier volet de cette discussion pourrait avoir lieu le 4 novembre et serait axé sur l'utilisateur. Les salariés eux-mêmes avec les usages. Comment utilisent-ils et perçoivent-ils ces outils ? Qu'en pensez-vous ? J'attends vos points de vue sur cette proposition et bien sûr des contributeurs pour chacun des groupes... Mentionnez bien le groupe auquel vous souhaitez participer en répondant et... en route pour de nouvelles propositions et discussions !A très vite, Sibylle Comment from Anthony Poncier: Bonjour,je dois être là pour au moins un autre plateau le 20 sur le SCRM et sans doute un autre sur les chartes de medias sociaux, donc je peux être là (surtout que mon cabinet USEO a publié une étude importante sur les réseaux sociaux en entreprise)Même si le 27 m'intéresse je suis à Frankfort au 2.0 summit pour intervenir sur le management de la collaboration et des communautés, donc sans moiLe 4, il faut que je vois, mais pourquoi pas Comment from Vincent Berthelot: A vrai dire la collaboration en entreprise c'est la base essentielle , si on ne collabore pas un minimum tout va de travers c'est ce qu'avait montré Crozier avec le pouvoir des zones d'incertitude.C'est donc un très vieux débat avec de vieux outils que l'on essaie de remettre au goût du 2.0.La collaboration c'est avant tout entre les deux oreilles que cela se passe! Comment from Catherine TARAPACKI-PINTO: bon ben on fait plus de plateaux alors....merci Vincent au revoir Comment from Sibylle Lhopiteau: @Anthony. Bienvenue Anthony et merci beaucoup. Sibylle Comment from Jm Yolin: faut-il commencer par les outils?c'est souvent un refuge pour éviter de parler des vrais sujets : quels objectifs? quelles remise en cause des organisations?debattre des outils c'est plus facile, on renvoie a un objectif technique ... ça permet de "gagner du temsps" et les éditeurs adorent : ils fourguent leus "solutions" et ça finit dans l'oubli par pertes et profitsLes entreprises ont deja tous les outils pour faire 80% du job, et c'est quand on arrive aux limites que l'on sait quels sont les outils nécessaires pour aller plus loinD'autre part les vraies collaboration ne sont pas purement internes a l'entreprise : elles impliquent clients fournisseurs et partenaires qui n'ont pas forcement le statut de salarié!!Un des premiers pas déterminants est de tuer les intranets (qui bien souvent ne permettent même pas de communiquer en nomade ou depuis son domicile et de passer a de vrais extranets sécurisés avec gestion des droits d'acces stricts dossiers par dossiers : ne confondons pas les demarches collaborative avec les bisounours type facebook (l'horreur de l'horreur pour enfants atardés) !!!jm Comment from Sibylle Lhopiteau: @jm : commencer par les outils permettrait à mon avis de refaire un point justement sur ce qui est utilisé ou non. Je suis d'accord avec vous. Beaucoup d'entreprises ont ces outils mais ils ne sont pas encore exploités totalement par tous. D'où une notion de collaboratif "partiel". Comment from Vincent Berthelot: Catherine ;-) , on a en effet un problème de rédaction de ce sujet et preuve en ai le découpage en nouvelles tranches dans une approche très analytique qui va disséquer toutes les parties sans saisir au final ce qui fait ou non la réussite de la collaboration en entreprise.Je suis 100% d'accord avec Jm Yolin à penser que l'approche outil est une erreur fondamentale sauf si on a un sponsor pour ce sujet :-)La collaboration c'est aussi à voir sous l'angle interculturel, managérial donc de quoi faire des sujets passionnants! Comment from Fabrice Frossard: L'approche structuraliste est sans doute la plus pragmatique pour aborder le sujet à défaut d'être la plus verbeuse. Pour passionant que soit le sujet dans son approche managèriale, l'outil conditionne en grande partie le mode collaboratif. Que les grands éditeurs s'inspirent de Facebook (sharepoint, Chatter...) pour réaliser un intranet en dit long sur l'approche nécessaire pour faire adhérer un public interne à l'échange et à la collaboration. L'outil est bien sûr une condition nécessaire, mais pas suffisante. Le managementse doit d'accompagner etfinalement, de modérer, les collaborations sur ce type d'outils. On peut donc poser la question autrement dans un plateau 2 : le rôle du manager est-il celui de modérateur ? Dans un temps trois, il est aisé d'aller vers la collaboration telle qu'évoquée par JM, en évoluant finalement vers des extranets collaboratifs et pourquoi pas aller vers l'open-innovation. Autant de sujets par vous évoqués dans ce fil qui seront chacun l'objet d'un plateau... Comment from Gilles Satgé: Je suis 100% d'accord avec Jm Yolin à penser que l'approche outil est une erreur fondamentale sauf si on a un sponsor pour ce sujet :-)Je suis prêt à le sponsoriser. J'adore parler de soft ! Et François Aubriot qui nous parle de son logiciel à chacun de ses posts (www.dotriver.eu) ne pourra pas refuser d'en faire autant. C'est Frédéric qui va être content.D'autant plus que la façon dont Sibylle propose de titrer le nouveau sujet "Les usages sont ils à la hauteur des outils ?" est tout de même assez valorisant pour les éditeurs....Je suis sûr que tu adores, Vincent !Plus sérieusement, parler des outils c'est concret. Parler de la collaboration de façon trop générale, entraine le risque de tomber dans une approche trop théorique (et la théorie, quand on sort du domaine de l'écrit, ça devient très vite pénible).Mieux vaut orienter le débat sur des échanges d'expériences collaboratives concrètes et des outils qui les ont supportées (en bien ou en mal).Et surtout, éviter comme la peste le chef de projet qui vient présenter le projet collaboratif qu'il a mis en place la semaine précédente et qui, évidemment, fait des miracles (comme si on pouvait imaginer trois secondes qu'il nous explique que ce sur quoi il travaille comme un damné depuis 10 mois et qui a couté un oeil à sa boite s'avérait être un échec total). L'idéal, serait de ré-inviter ceux qui ont témoigné ici et ailleurs voici un an, et de faire un nouveau bilan de leur expérience.Parce que là, on pourra vraiment parler "d'expérience".     Comment from Sophie Januel: Non la collaborationn'est pas évacuée car les différentes facettes évoquées plus bas sont toujours présentes.Mais à quelle proportion ? Le SI est construit en mode contrôle/vérification calibrage. La collaboration n'est pas la supervision le contrôle. L'informatique ne résoud : rien certains outils facilitent un mode d'inter-activité. Ce n'est pas l'outil qui engendre la collaboration mais l'esprit, la philosophie d'une démarche ouverte à défaut d'égalitaire. Comment from Sophie Januel: Votre argumentation est recevable toutefois je discuterai d'un point : la forme scoop n'est pas de l'utopie. Retenir un caractère"irréaliste" est , mon avis personnel et relatif abusif car vous oubliez le contexte et l'élément de "taille" : une scoop d'un million de personnes non mais 50 100 voire 200 personnes et plus en scoop n'entraînent pas nécessairement une paralysie ou un échec. Pour aller plus loin, sur les formats de collaboration les Labs sont des lieux d'expérimentations tout à fait crédibles et pertinents. Encore un point à ajouter : de la modélisation de la collaboration par les formats pertinents et ouverts des structures (labs tech,éco ou scientifiques, communautés éphémères ou institutionnelles..).Je discuterai aussi votre propos "mais tres efficaces réactions de rejet dans une société comme la notre.." votre terme est bien trop empirique. Dans mes éco-systèmes Internet n'est pas du tout rejeté mais assimilé avec des usages divers qui feront frémir la classe politique en raison de l'extrême liberté (remodélisation des libertés publiques, revendications d'identités, des multi-collaboration communautaires). De plus,seulement sur le plan éco et statistiques la France est un des pays européen le mieux connecté (peut mieux faire sur le très haut débit), un taux d'usages des forums et blogs. Il n'y a pas que du Minitel 2.0 mais bon. D'ailleurs, si les usagesà titre privé n'étaient pas si étendus les entreprises n'auraient pas peur de ses nouvelles moeurs! Quelle est donc la "société" dont vous voulez parler ? La politique ? Certains lobbies éco ? Comment from Sophie Januel: @Gilles S. vous énoncez "Dans leur vision, la collaboration peut donc avoir une dimension essentiellement de Communication. Ce sont alors des échanges non structurés. Les outils adaptés sont bien entendus les forums (comme ici), les blogs, les wikis, les chats, twitter, etc."Avez-vous jamais déployé et animer des forums et des wiki? Parce que déclarer que le wiki c'est de la comm' ce ne pas avoir compris l'usage( ou votre phrase est maladroite) mais s'il ya bien un outil collaboratif horizontal c'est le wiki par ontologie mais bon ;) Le workflow n'est que le flux de démat en rien de la coopération ni le résultat de la collaboration. Comment from Patrick Bedigis: Bonjour, Certes, ce n'est pas l'outil qui fait le changement... Mais peut-on dire que les outils ne contribuent pas fortement au changement ? L'humain, confronté à de nouvelles expériences ( à de nouveaux outils) ne va- t-il pas explorer et adopter de nouvelles possibilités d'agir (de travailler ) ? Allez, c'est un vrai et intéressant débat, et commencer ou finir par les outils, je ne perçois pas d'enjeu si majeur que cela ;-)Aborder un sujet par un zoom avant (un exemple, du concret) ou arrière (un concept, une idée) , c'est toujours commencer... pourvu que l'on ne perde pas la vision globale.En ce qui me concerne, je suis toujours ok pour le 20/10. L'angle que j'aimerai aborder est celui de mon dernier post : http://blog.mymeetingsondemand.com/conduite-du-changement/la-reunion-c-est-un-sport-collectif-trop-souvent-pratiquee-comme-un-sport-individuel.htmlParfois, disposer d'un outil ad'hoc... ça peut faire la différence !bonne journée à toutes et tous Comment from Sibylle Lhopiteau: @Gilles : Merci pour le message. Tout l'enjeu de ce débat complexe et qui intéresse beaucoup de monde est d'apporter des réponses. L'ordre n'est qu'un prétexte pour le structurer et faire en sorte qu'au final chacun puisse apporter sa contribution - c'est ça l'essentiel - pour permettre à tous de trouver des réponses à ses besoins. Comment from : Fred C a écrit : "N'y a-t-il pas un risque que les "bons élèves" finissent par garder jalousement leur savoir / savoir faire, à l'encontre de la collaboration ? (le savoir est le pouvoir)"En effet, une entreprise qui "presserait" ses cadres à transmettre leur savoir / savoir faire à ses pairs sans contrepartie réelle court le risque, inévitablement, de voir ses "bons éléments" aller chercher ailleurs la reconnaissance de leurs suppléments d'efforts !Tout-à-fait d'accord avec JM Yolin et Vincent Berthelot.Débattre des outils est un alibi avant de s'attaquer au problème de fond.1) Abandonner les intranets pour des extranets sécurisés me semble pertinent (mon constat de la réalité du fonctionnement au sein des entreprises est très éloigné du modèle théorique vendu par les éditeurs de software...).2) Les outils de type facebook ne peuvent en aucun cas s'adapter à la démarche collaborative en entreprise (sauf à envisager une entreprise communiste où tous les employés seraient au même niveau de rémunération et au même niveau de responsabilité). Comment from Fabrice Frossard: Le problème de fond est toujours le même me semble-t-il , la collaboration n'est pas une tendance naturelle dans l'entreprise. ON pourrait en lister les raisons à l'envi : individualisme, peur de la perte de pouvoir, peur tout court. Je ne rejoins pas du tout l'avis d'Agnes sur un outil Facebook, Viadeo like. Les réseaux sociaux sont ontologiquement collaboratif parce que valorisant l'individualité au sein d'une communauté. En s'inspirant de l'ergonomie des plateformes sociales, les éditeurs ne font que jouer avec la familiarité de l'IHM afin d'accélérer les tentatives de collaboration par porosité. Bien sûr il ya plein d'autres modèles plus ou moins aboutis, l'enfer des wikis et des docs partagés sans versioning, nous l'avons tous connus.Concerntant les extranets, de nombreuses entreprises l'utilisent pour des besoins spécifiques. Typiquement quand les bureaux d'études doivent travailler avec les ingénieurs répartis sur n sites, ça fonctionne très bien.Par ailleurs je n'ai pas bien compris ce que le communisme venait faire ici. :-)) Je me suis sans doute mal exprimé. Les outils ont, pour la plupart, des gestions d'accès selon les privilèges. Comment from : C'est moi qui me suis sans doute mal exprimée ! si Fabrice Frossard me fait une remarque sur une plateforme collaborative, je peux lui répondre relativement sincèrement (voire même utiliser l'humour) n'étant pas dans une relation hiérarchique vis à vis de lui. Si FF me fait une remarque et qu'il est mon supérieur hiérarchique, je crois que je réfléchirais 2 ou 3 jours afin d'avoir envisagé les implications de ma réponse collaborative, et je censurerai toute forme d'ironie ou de deuxième degré même si je voyais un smiley dans sa remarque (c'est juste un exemple, bien sûr !). Comment from Dominique Rabeuf: Et à votre avis, comment fonctionnent les groupes de travail du W3C ?Tout simplement par email sans aucune fioriture.Vieille règle qui veut que chacun puisse y accéder sans disposer d'un équipement sophistiqué fusse un terminal rudimentaire.Néanmoins souvent des débats très vifs, avec de temps en temps des noms d'oiseaux qui sont proférés.La collaboration est comme l'a dit Vincent «entre les oreilles», elle a été en usage courant avant la charrue et la brouette.J'attends que l'on évoque «l'intelligence collective» et je sors le «T72» de mon garage. Comment from : Le document cité date de 2002. Les chiffres évoqués sont-ils toujours justes ? les tendances n'ont-elles pas évoluées depuis ? Comment from Gilles Satgé: Parce que déclarer que le wiki c'est de la comm' ce ne pas avoir compris l'usage( ou votre phrase est maladroite)Mea maxima culpa, le wiki n'est évidemment pas à classer dans la catégorie Communication, mais dans la rubrique Coopération.Le workflow n'est que le flux de démat en rien de la coopération ni le résultat de la collaboration.Par contre, je persiste et signe concernant le workflow. Comment from Fabrice Frossard: Pour nourrir le débat, un article de l'atelier :La collaboration en ligne peut s’avérer plus efficace que la coopération bien réelle, estime Piet Kommers, chercheur à l’université de Twente, aux Pays-Bas. Spécialiste des solutions de réalité virtuelle et de m-learning, il publie une étude dans laquelle il met en avant plusieurs avantages clés des outils collaboratifs. "Les plates-formes en ligne permettent aux équipes de travail de se concentrer sur la nature réelle des problèmes à résoudre, dans la mesure où les solutions mises à leur disposition ont une finalité qui peut être définie au préalable", explique ainsi le chercheur à L’Atelier. Et d'ajouter que pour gagner en efficacité, ces outils doivent toutefois intégrer plusieurs principes fondamentaux. Comme la réciprocité : "les communautés en ligne devraient s’appuyer sur une logique pragmatique", souligne le scientifique.La suite : http://bit.ly/b39FYE Comment from Jm Yolin: les chiffres ont bien entendu évolué mais pas les tendances "millenaires" : en terme d'organisation les sociétés du "clu med" restent radicalement différentes des sociétés du Nord Comment from Nicole Turbé-Suetens: Chers tous,J'essaye de suivre les échanges et je n'ai malheureusement pas le temps en ce moment de répondre de manière détaillée chaque fois que je le souhaiterais. Toutefois, je voudrais faire un commentaire général qui revient à la question de la poule et de l'œuf entre les outils et les pratiques/usages.Pour avoir une longue pratique de la chose (depuis le début de Lotus Notes jusqu'au outils 2.0), je peux vous affirmer que tant qu'une personne ne s'est pas frottée à utiliser une espace collaboratif avec les personnes avec lesquelles elle collabore, elle parle dans le vide avec soit des idées reçues, soit à partir de bases théoriques que nous pouvons trouver dans les bouquins et articles académiques. Or, je n'ai pas cru comprendre que l'objet de ce plateau n'était pas un débat académique sur les théories de la collaboration.Si l'on veut apporter quelque chose d'utile aux sceptiques, il faut avoir l'expérience de la collaboration en ligne en étant parfaitement conscient que ce n'est effectivement pas un mouvement naturel et que la courbe d'apprentissage prends du temps et qu'il y a des moments sensibles (risque de rejet ou d'abandon) pendant la période d'apprentissage et d'appropriation de l'usage. C'est un sujet que nous avons étudié dans le détail pendant un an dans le cadre d'un projet européen et je vous propose de regarder le rapport dans lequel nous avons consigné tout ce parcours : http://esangathan-d043.netcipia.net/xwiki/bin/view/reports-papers/d031-CWE Comment from Nicole Turbé-Suetens: Quelqu'un est-il abonné à : International Journal of Web Based Communities pour avoir l'article auquel Fabrice fait référence? http://inderscience.metapress.com/app/home/contribution.asp?referrer=parent&backto=issue,6,6;journal,1,24;linkingpublicationresults,1:112382,1 Comment from : Le projet esangathan concernait les travailleurs de plus de 55 ans (Plus de 50 ans uniquement en Inde, c'est bien ça ?), ayant une expérience ou non des outils collaboratifs (type wiki, forums, dossiers partagés, versionning, etc.).Auprès de la génération Y, Z ou les suivantes AA, AB, AC, ;-), l'adoption d'outils de partage en ligne a des chances de recevoir un accueil moins farouche... La lutte pour le pouvoir, au sein d'une entreprise, existe avec ou sans les outils collaboratifs : malgré ces outils, on apprend incidemment telle promotion totalement inattendue, tel autre regroupement de département ce qui laisse présager des luttes intestines, untel qui démissionne (mais "vu ses cernes, on s'y attendait"), tel autre qui est remercié ("M. Bidule nous a aidé à opérer des changements important. Il a décidé de nous quitter pour devenir consultant, bon il n'a pas encore de client, mais..."). J'exagère ? Comment from Nicole Turbé-Suetens: C'est vrai que le projet eSangathan se focalisait sur l'emploi des seniors (et c'est bien pourquoi la Commission européenne a financé puisqu'à l'époque cela faisait partie des objectifs stratégiques...il faut s'appeler France pour ne pas l'avoir compris) pour la simple raison que "théoriquement" c'était la population la plus difficile à rallier à ces nouvelles pratiques. Vos arguments ne tiennent pas; ce que vous racontez a existé de tous temps et nous sommes "des" générations a avoir dû y faire face et tant que l'Homme sera ce qu'il est, il y a peu de chances que cela change. Ce qui peut changer, ce sont de nouvelles solidarités qui se nouent à travers la collaboration vers des objectifs communs et partagés avec les méthodes communément adoptées. Et si vous vous penchiez un peu plus sur la génération Y que vous mentionnez...et probablement les suivantes, vous sauriez que leur attitude par rapport au collectif est assez différente de ce que les générations précédentes ont pu connaître. Pour la plupart d'entre eux, malgré un marché du travail difficile, ils ont le courage d'être plus fidèles à eux-mêmes et à leurs idées pour ne pas dire idéaux qu'ils ont ont moins la volonté de mettre en œuvre au titre de la qualité de vie qui est essentielle pour eux ! Comment from Miguel Membrado: Je ne pourrai malheureusement me joindre à ce plateau car non disponible le 20, mais j'ai lu avec attention vos différents commentaires, et je peux apporter quelques éléments de contribution après une quinzaine d'années passées tous les jours à déployer des outils collaboratifs dans les entreprises et à essayer de faire évoluer les habitudes de travail des utilisateurs :1- penser que dans les entreprise on ne collabore pas est bien entendu aberrant. Tout le monde dans l'entreprise collabore, d'une façon ou d'une autre, bien ou mal, mais l'entreprise n'est faite que de collaboration entre ses employés et avec l'extérieur de l'entreprise2- depuis une vingtaine d'années, l'outil essentiel de collaboration est devenu l'email et les fichiers attachés aux emails. La messagerie électronique est l'outil de collaboration le plus utilisé. Mais le paradoxe est que ce n'est pas un outil de collaboration... Cela fonctionnait bien jusqu'à il y a une dizaine d'années, mais depuis qu'on reçoit tous les jours un nombre d'emails supérieurs à ceux qu'un être humain est capable de traiter dans sa journée normale de travail, ce n'est plus gérable. C'est donc un facteur de stress et de désorganisation de l'entreprise et donc du travail collaboratif. 3- depuis 1976, de très nombreux outils de collaboration (autres que l'email) ont vu le jour, avec plus ou moins de succès, et plutôt moins que plus jusqu'à ces dernières années. En fait ces outils tentaient de dupliquer les organisations traditionnelles de l'entreprise, hiérarchiques, et représentaient dans beaucoup de situations plutôt des freins à la collaboration que des facilitateurs4- depuis la nouvelle génération des services en ligne, ce que l'on appelle le Web 2.0 pour faire court, de nouveaux outils de collaboration, nativement collaboratifs, sont apparus, permettant une liberté d'action bien plus importante. Leur déploiement sur le terrain depuis plus de 5 ans montre qu'à l'inverse de leurs prédécesseurs, ils ne sont plus des freins, mais de réels facilitateurs.5- mais comme tout le monde le sait et le dit, l'outil n'est pas tout. Mais il est l'origine de tout. Sans outil, nous en serions encore à l'âge de pierre. Ce n'est donc qu'en adoptant les bons outils que l'on peut enfin passer à une nouvelle étape en matière de processus de collaboration. Mais pour que les entreprises adoptent ces outils, il ne suffit pas de les installer, il faut changer les habitudes de travail. Et c'est bien toujours la partie la plus difficile.6- néanmoins les résultats n'ont plus rien à voir avec le passé, et encore une fois tous les projets sur lesquels nous travaillons au quotidien depuis quelques années, aussi bien chez de très grands-comptes que chez des PME-PMI démontrent tous les jours que ceux qui franchissent le pas, et ils sont de plus en plus nombreux, changent de dimension en matière d'efficacité et de productivité individuelle et collective. J'insiste bien sur les deux dimensions : la nouvelle génération d'outils de travail collaboratif améliorent drastiquement la productivité à la fois individuelle et collective. Et toute personne, toute équipe, toute entreprise qui a franchi le pas, ne revient plus en arrière.7- je terminerai pour ne pas être trop long en précisant qu'actuellement il règne une grande confusion entre réseaux sociaux et collaboratif. Or il faut absolument distinguer les "réseaux sociaux d'entreprise" des "environnements de travail collaboratif". Ce sont deux dimensions différentes. La première est people-centric, la seconde est information-centric. Les deux sont absolument nécessaires à l'entreprise. Certains outils ne font que l'un ou que l'autre, d'autres prétendent faire les deux. Mais dans la réalité aucun outil/service ne couvre à ce jour les deux niveaux de besoins de manière satisfaisante. Par contre il en existe d'excellents dans chacun des domaines, très facile à déployer, peu chers, y compris pour des dizaines de milliers d'employés, et qui moyennant le travail nécessaire de transformation des usages et des processus, permettent de faire entrer ces organisations dans le nouvel âge du travail efficace, celui où les gens ne perdent presque plus de temps inutile dans leurs journée et sont capables de produire une réelle valeur en collaborant nativement les uns avec les autres. Comment from Jm Yolin: merci de cette tres interessante contribution qui provient de surcrois d'un vrai praticienPour aller plus loin te serait-il possible de décrire un cas précis de succes avec la demarche suivie, les obstacles rencontrés, la façon dont ils ont été surpassés, la nature du succes final?cordialementjm Comment from Sibylle Lhopiteau: Un pas vient d'être franchi en faisant bien la distinction entre RSE et environnements collaboratifs... Comment from : ;-)Ah bon ? vous êtes sûre que c'est moi qui n'aie rien compris ? Comment from Miguel Membrado: @jmyolin ce serait un peu long de décrire tout cela ici je pense. Mais pour rebondir sur le projet eSangathan dont parlait Nicole un peu plus haut, c'est un exemple d'un tel succès, avec une démarche d'adoption progressive car il aurait été impossible de faire adopter tous ces nouveaux usages d'un coup. Voici un schéma illustrant les différentes étapes, il a fallu 18 mois pour que tout soit assimilé. Nous nous sommes confronté les 3 mois premiers mois à des réticences extrêmement fortes de certains groupes de personnes, ne voulant pas changer leurs habitudes de travail, alors que d'autres adoptaient facilement. C'est souvent un problème, la disparité extrêmement forte qu'il peut exister au sein de populations travaillant ensemble. Je dis souvent que la vraie fracture numérique se situe à ce niveau-là actuellement, entre ceux qui ont appris/adopté ces nouveaux usages et ce qui n'ont pas compris. Et c'est valable que l'on soit jeune ou pas, même si depuis un peu plus d'un an ça devient vraiment plus évident pour les jeunes.En tout cas le plus important est d'anticiper les obstacles, donc de savoir qu'ils peuvent se poser, de les identifier, et de mener les actions préventives nécessaires. Une recommandation majeure est de systématiquement aller chercher les processus informels utilisés tout au long de la journée par chaque personne. Donc travailler sur des tâches critiques en fait du travail quotidien de la personne. Et de s'attaquer à ces processus pour les transformer avec les nouveaux outils, pour le bénéfice de la personne d'abord et de ses collègues indirectement ensuite. Il faut remplacer (et pas ajouter) une façon de travailler par une autre qui nécessite globalement moins de temps pour réaliser la même tâche et offre plus de gains. Une fois que les personnes découvrent le temps qu'ils perdaient avant à faire telle et telle chose et comment ils peuvent changer cela, ils deviennent les meilleurs ambassadeurs et vous pouvez également vous appuyer sur eux pour faciliter la dissémination.Une autre dimension qui donne des résultats extraordinaires c'est la collaboration temps-réel. Google Apps est l'exemple typique de cela. Pouvoir par exemple travailler simultanément à plusieurs, sans conflit, avec gestion de version automatique, dans des google docs (documents ou spreadsheets), transforme totalement la façon de voir les choses, et une fois qu'une personne y a goûté, il ne peut plus s'en passer, le réutilise de lui-même pour plein d'autres choses, etc...Il faut donc souvent faire un travail minutieux de réapprentissage des méthodes de travail pour effacer 20 ans d'habitudes dépassées, bien entendu des méthodes très pragmatiques existent pour garantir le succès à un niveau personnel et collectif, et c'est comme cela que l'on peut faire progresser une organisation dans son ensemble pour mieux travailler, en s'appuyant bien entendu sur les bons outils. Comment from Sibylle Lhopiteau: Bonjour !Pour revenir sur ce sujet qui a fait couler beaucoup d'encre : le premier plateau sur "les outils" est bouclé. Il aura lieu le 20 octobre à 17 heures. Pour poursuivre sur ce thème, je vous propose de reprendre la discussion pour définir de manière collaborative l'angle du 2è plateau qui sera tourné le 20 octobre à 18 heures.A bientôt... Comment from Stanislas Jourdan: Ahah, c'est très tranché mais tellement vrai en même temps :)Ce plateau est en tout cas introduit de façon bien trop large. Dommage car la discussion y est à la fois intense et de qualité. Il faudrait reprendre chaque intervention pour en dégager les vraies questions.Tout en sachant que ce thème a déjà été abordé sur techtoc à de multiples reprises... Comment from Jm Yolin: a-t-on à l'inverse, par simple soucis d'hygiène analysé comment des beaux outils, en obligeant a une formalisation, mémorisation, archivage ont tué des collaborations qui se nourrissaient de confiance, d'informel, de "non-écrit", ...jm Comment from Dominique Rabeuf: Le fonctionnement en « symbiose » confiance, compréhension par demi-mots, micro culture spécifique d'équipe permet de gagner du temps et donne l'illusion de la performance.Ce genre de fonctionnement est bon en mode « commando/startup » et désastreux sur le moyen terme car incapable d'intégrer des nouveaux venus ni de transmettre les acquis. Comment from Fabrice Frossard: Le rôle du middle management pourrait sans doute faire l’objet du second débat. Cette strate intermédiaire est en effet prise dans une contradiction interne : son rôle est d’organiser, animer et fédérer le travail collaboration alors qu’intimement, il est souvent persuadé que le travail collaboratif lui fait perdre de son pouvoir, voir l’amènera à disparaître. Souvenez-vous des récents débats sur la disparition du middle-management, censée être palliée par les outils 2.0 et l’effacement des intermédiaires entre la « base » et la direction. Comment from Laurent Salsé: Hier soir, dans une "soirée mondaine", on m'expliquait - très sérieusement - qu'il était indispensable de trainer quelques heures chaque jour à la Machine à Café histoire de croiser ses collègues et de se tenir informé(e) ... Je n'ai pas pris ses coordonnées (manque de réflexe :-( ; dommage car son témoignage aurait enrichi avantageusement ce 'petit débat' Comment from Sophie Januel: Bonsoir, Les nouveaux outils peuvent être vus sous les angles d'ergonomie de convivialité mais il me semble que le sujet le plus significatif est la définition et le sens de la collaboration. Quels sont les meilleurs environnements et règles ou usages managériaux pour réussir la collaboration en ligne ou en IRL. Comment from Gilles Satgé: Sophie,Sans tomber dans une intellectualisation excessive, il me semble néanmoins que cette opposition entre la collaboration et les outils qui la supportent est assez vaine, surtout dans un contexte comme Techtoc TV.En effet, je ne pense pas beaucoup me tromper en faisant l'hypothèse que le "tech" dans Techtoc fait référence à la technologie.Par ailleurs, Techtoc TV n'est pas fréquentée par des geeks pour qui la technologie est une fin en soi (je caricature - que les geeks ne le prennent pas mal, j'adore les geeks).Bref, si nous parlons des outils dans cette filière, c'est uniquement pour leur capacité à créer les conditions d'une amélioration de la collaboration.Certains, comme Vincent ou Dominique, disent que cette capacité (de la technologie à générer de la collaboration) est illusoire.Je ne le pense pas.L'existence de la présente filière en est le meilleur contre-exemple. Comment from Nicole Turbé-Suetens: Entièrement d'accord avec Gilles et cela rejoint ce que j'ai dit à un autre moment de cet échange : il faut avoir pratiqué pour pouvoir en parler. Et, pratiquer veut dire avoir utilisé des outils puisqu'il s'agit de collaboration interactive (technology supported) et pas de la théorie de la collaboration ou de la collaboration vue d'une manière absolue dans le collectif de travail. Comment from Gilles Satgé: Je dirai même plus, Nicole, il faut s'être planté ! On ne peut parler d'outils collaboratifs que quand on a été confronté à un échec.Et, en matière de déploiement d'outils collaboratifs, les échecs sont la norme.Mais je ne veux pas déflorer ce que je vais raconter lors du tournage... Comment from Nicole Turbé-Suetens: Mais, en fait, c'est probablement le titre du plateau qui est mal choisi car il est très large et ne précise pas du tout qu'il s'agisse de collaboration à l'aide de technologies. Étant donné la richesse des échanges qui ont eu lieu et la proximité du plateau il serait peut-être judicieux que la personne responsable du sujet procède à un recentrage pour que tout cela devienne clair pour nous tous. Comment from Gilles Satgé: Nous sommes tous d'accord que le titre du plateau est particulièrement mal choisi, mais par rapport à ce qui était prévu initialement, je crois comprendre qu'il va y avoir plusieurs plateaux.J'ai été convié à participer au premier - sur les outils (le thème : les usages sont-ils à la hauteur des outils ? - j'adore ce titre !).Tu peux voir que 3 éditeurs participeront (dont moi), ainsi que Jacques Froissant, acteur bien connu du Web 2.0 et Frédéric Bascunana, en tant qu'animateur, j'imagine.Voilà, tu en sais autant que moi.  Comment from Sibylle Lhopiteau: Bonjour à tous,Concernant le sujet du premier plateau, les outils ne sont bien sûr qu’un prétexte pour évoquer la façon de mettre en place le travail collaboratif. Et inversement sur le second plateau. A ce titre, puisque cette plateforme est collaborative : c’est aussi à vous de participer à la définition de l’angle du second plateau. Pour l’heure, difficile de tirer un titre de cette conversation, au demeurant passionnante…NB : pour info, chaque plateau dure 30mn… Comment from Vincent Berthelot: Je trouve ce titre bien révélateur du syndrome de l'ingénieur ! les usages sont-ils à la hauteur des outils ? en clair nos outils sont bons c'est vous qui ne savez pas les utiliser...TOUTES les enquêtes sur l'usage des outils informatiques montrent au moins une chose, les utilisateurs n'utilisent que 10% de ces outils. La question est donc de savoir, veulent-ils utiliser les 90% qui restent, en ont-ils besoin ou au contraire faire des applications plus simples permettraient d'augmenter l'utilisabilité de ces outils.Qui n'a pas vu ces plateformes collaboratives qui débordent de plug-ins, alertes, multiples zones de lecture, de saisie...Un cahier des charges construit avec les utilisateurs finaux permet de réduire cet écart, faciliter la prise en main et donc améliorer l'accès à ces outils pour une meilleure collaboration. Comment from Catherine TARAPACKI-PINTO: j'ai cru comprendre que l'être humain n'utilisait que 10% des capacités de son cerveau !!  Comment from Jean Fréor: @Catherine (qui dit "j'ai cru comprendre que l'être humain n'utilisait que 10% des capacité de son cerveau !! ")Eh oui Catherine ! Si on en utilisait ne serait-ce que 15%, tu aurais déjà mis un "s" à "capacité" ;-) Comment from : N'est-il pas fréquent d'avoir un outil surdimensionné par rapport à ses besoins ? n'est-il pas préférable d'avoir un outil surdimensionné plutôt que sous-dimensionné ?sans aller chercher des outils très extravagants, combien de vos connaissances (tous niveaux hiérarchiques confondus) utilisent ce célèbre tableur E...L au délà des 10 % qui permettent de faire un tableau et des totaux en colonne ?Je suis bien d'accord avec vous cependant : élaborer le cahier des charges et les spec en prenant en compte les besoins de l'utilisateur final ... donne des bons résultats quant à la satisfaction de l'utilisateur final (j'ai vu assez souvent des investissements faits sur des outils sous-dimensionnés, ou déjà obsolètes techniquement, ... ) Comment from Sophie Januel: Il ne faut pas non plus adopter une posture rigide ! Prétendre à la légitimité sur l'experience exclusive de l'échec c'est un peu court. ertaines plateformes certaines sont intrinsèquement mal faites mais sans avoir préparer le terrain entre les hommes pour la collaboration l'échec est assuré.Sans tomber dans le discours académique il me semble plus logique de parler méthodo avant d'outils. Mais si le plateau est orienté "éditeurs" de solutions... A vos mécano Comment from Dominique Rabeuf: Reste néanmoins qu'ouvrir une boîte de sardines avec un couteau suisse comporte des risques.Dans le cas de la toile cela reste numérique et virtuel, pas de sang sur la table. Comment from Vincent Berthelot: excellent et encore une fois Dominique fait appel a notre cerveau gauche pour nous permettre de comprendre l'inadequation de l'offre et du besoin.On me parle collaboration et je pense a management, confiance, culture, accompagnement RH et puis l'outil vient ensuite. Un outil frustre, peu cher, un outil kleenex que vous jeterez une fois compris ses limites pour choisir ou developper celui qui repondra a votre environnement.Je pourrai reprendre l'exemple des outils de veille pour illustrer cette demarche, arreter de penser a l'outil magique ou alibi. Comment from Dominique Rabeuf: A propos de cerveauExcellent site canadien Le cerveau à tous les niveauxRécréatif, instructif et bien structuré avec ses différents niveaux de lecture.Exemples:«SIC»1. Comment je peux dire autant de conneries quand je suis saoul ?2. Pourquoi je me rends malade au lieu d'étrangler mon patron ?3. Pourquoi je peux me rappeler exactement ce que je faisais le matin du 11 septembre 2001 (ou bien le jour de l'assassinat de JFK) ?Plus sérieusement un état des lieux très complet sur la structure de la mémoire et des processus cognitifs.A voir aussi le N° 40 de « La Recherche » (août 2010) consacré au cerveau.Entre autres:Comment concevoir un environnement enrichi.Expériences réalisées avec des rats, mettant en évidence qu'une «sorte de réalité augmentée» est favorable au développement de processus moteurs, sensoriels, cognitifs et sociaux.On attend avec impatience des résultats d'expériences réalisées avec des humains cette fois.Peut être dans un labo de TTT ?  Comment from Gilles Satgé: Je n’ai pas pu participer au plateau sur la collaboration en entreprise. Je le regrette. Ça sera pour le prochain plateau auquel Sibylle m’a cordialement convié.D’ici là, j’aimerais partager avec vous quelques nouvelles considérations sur le thème de cette filière.Ma première intervention consistait à dire que le sujet était tout a fait creux.Le nombre et la qualité des interventions m’ont contredit. Le sujet intéresse.Pourtant, on pourrait penser qu’accoler les termes collaboration et entreprise n’a pas beaucoup de potentiel dialectique puisque la collaboration, c’est travailler ensemble dans un but commun, et que l’entreprise, justement,... c’est pareil.Cette évidence ne semble pas aller de soi, puisque nous en discutons encore..Il est donc probable que chacun, implicitement, donne un sens aux termes collaboration et entreprise qui n’est pas celui que j’ai indiqué. Il n’est donc pas inutile de rendre explicites les hypothèses implicites des différents intervenants de cette filière.En relisant la filière, on s’aperçoit que l’opposition entre collaboration et entreprise, peut se reformuler en une opposition entre d’un coté: innovation, créativité, intérêt collectif, prise de risques, et de l’autre : hiérarchie, pouvoir, objectifs financiers, contraintes, encadrement (choisis ton camp, camarade !)On voit donc bien que, dans cette filière, les termes collaboration et entreprise ne sont pas pris dans leur sens habituel, mais dans un sens très restrictif. Pour la collaboration, on ne parle plus de travailler ensemble, mais d’un processus créatif entre pairs.Le terme collaboration se retrouve finalement chargé d’un contenu idéologique très fort qui semble devenir une finalité en soi (une sorte de programme politique).Ce type de collaboration est supposé être forcément positif pour l’entreprise, ce qui est loin d’être évident. Il faut donc changer l’entreprise pour l’atteindre (c’est le Graal indiscutable de l’entreprise 2.0).Et si changer le management ne suffit pas pour cela, alors il faudra faire de même avec les collaborateurs qui se doivent d’être à la hauteur de ce sublime objectif.On voit bien que de ce point de vue, outre son absurdité quand elle est systématique, l’apologie de la collaboration va à l’encontre des nobles principes qu’elle pense défendre (Nous afons les moyens de fous faire collaborer !).  Comment from Vincent Berthelot: La collaboration c'est la vision pour chaque collaborateur de pouvoir travailler en équipe, de ne pas voir en chaque collégue un concurrent à son déroulement de carrière mais un collégue avec lequel un rapport gagnant gangant est possible.Pour le dirigeant c'est une entreprise dont le climat social est meilleur et dont l'énergie est mieux utilisée.Je fait court mais ces quelques arguments interrogent sur l'incapacité à mettre en place ce type d'organisation et de fonctionnement basés sur ce que l'on pouvait trouver comme ciment des sociétés agraires....solidarité, complémentarité, bénéfices partagés... Comment from Gilles Satgé: Tu devrais faire long, alors, Vincent. J'adorerais te lire sur la collaboration dans les sociétés agraires et ce que l'on peut en apprendre pour la collaboration en entreprise. Comment from Dominique Rabeuf: Social WashingLa collaboration… une fumisterie ?Excellent remise de pendules à l'heure par Thierry de Baillon Comment from Gilles Satgé: A vrai dire, Dominique, je ne vois pas bien quelle est la remise à l'heure dont tu parles.On retrouve dans le billet que tu as mis en lien toutes les idées reçues sur l'entreprise 2.0 que je dénonçais dans mon message du 26/10/2010 :1 - La réduction de la collaboration à une dimension de communication passionnelle2 - Un manichéisme un peu naïf : la hiérarchie, c'est mal3 - Le postulat non discutable qu'il est du plus grand intérêt des entreprises des changer pour adopter la collaboration telle qu'elle est définie plus haut4 - La nécessité pour les collaborateurs des entreprises d'adopter cette nouvelle religion.Le billet en question est baptisé dans sa version anglaise: Is Collaboration a Crock? ça m'a fait penser à un autre billet publié par Dennis Howlet sur ZD net sous un titre ressemblant Entreprise 2.0 : what a crock, mais dont le point de vue sur le sujet est tout a fait à l'opposé de celui défendu par Thierry de Baillon.Quand celui-ci écrit : "l’entreprise réellement collaborative est sans l’ombre d’un doute le modèle organisationnel le mieux adapté pour faire face à la complexité grandissante de nos environnements économiques" (c'est moi qui souligne ), Dennis Howlet, lui, termine son article par cette question : "Can someone explain to me the problem Enterprise 2.0 is trying to solve?".Si tu veux vraiment une remise des pendules à l'heure, c'est cet article que tu dois lire.   Comment from Dominique Rabeuf: En effet plus incisif.De manière générale un «Truc 2.0» ne fait que compliquer le «Truc» sans corriger les bugs du «Truc 1.0» ou en améliorer les fonctionnalités ( c'est l'inverse du logiciel, du moins de certains )  Comment from Gilles Satgé: Oui, mais Terminator 2.0 était incontestablement meilleur que Terminator 1.0 !C'est le cas aussi du concept d'Entreprise 2.0, surtout si on veut bien mettre de coté la dimension collaborative qui colle trop à ce concept.Jeff Clavier propose une définition intéressante de l'Entreprise 2.0. Dans ce post de son blog "Sans accent", il donne trois dimensions à l'Entreprise 2.0, ces trois dimensions étant toutes 3 issues du web 2.0 :1 – La collaboration : Le salarié devient « acteur ». En « collaborant » au sein d’une « communauté », il « participe » à la création de valeur (blogs, wikis, workspace, et autre social software…)2 – L’ergonomie : Les interfaces utilisateurs deviennent plus riches et plus simples à utiliser à l'image des applications grand public proposées par Google et consorts (AJAX, etc.)3 – L'architecture. Les nouvelles normes du web (flux RSS, webservice,...) permettent d’aggréger des informations et de créer des applications composites (les fameux mashups).On voit que les deux dernières dimensions sont technologiques. Ce sont celles qui, de mon point de vue, sont les plus intéressantes.Par contre, la première dimension, la collaboration, est à la fois celle dont on parle le plus et celle qui a le moins de potentiel "disruptif" - au sein d'une entreprise, je m'empresse de préciser.Pour argumenter cette position iconoclaste, je vais faire référence, dans le message suivant, aux théories de Steve Blank, un autre blogger qui a beaucoup de choses intéressantes à dire sur les start-up.   Comment from Gilles Satgé: Steve Blank a beaucoup réfléchi sur les start-up. Son analyse permet de mieux comprendre dans quel contexte la collaboration (au sens ou on l'entend dans cette filière : créativité, brainstorm, etc.) peut être utile à une entreprise.Steve Blank définit une start-up comme une entreprise qui cherche son business modèle, et qui fait de multiples itérations entre l'idée d'un produit et la réception de ce produit par le marché. La start-up réussit quand à l'issue d'une des multiples itérations, elle trouve le bon product/market fit.Ce post Why Accountants Don't Run Startups? est peut être celui qui résume le mieux sa pensée (en tout cas, c'est celui qui m'a le plus marqué, peut-être parce que j'ai une formation de comptable !).Une fois que le business modèle est trouvé, Steve Blank insiste sur le fait que la start-up doit se transformer et changer son mode de fonctionnement. Il ne doit plus être orienté sur la recherche, mais sur l'exécution et sur les process. Ce n'est qu'à cette condition que la start-up peut devenir une entreprise à part entière.Et si dans la première phase, celle de la recherche, point n'est besoin d'insister sur l'intérêt d'une collaboration débridée, autant dans la phase suivante, celle de la croissance et de la mise en oeuvre de la stratégie, il n'y a plus de place pour la collaboration au sens ou on l'entend quand on parle d'Entreprise 2.0. Il Fini la discussion, il faut maintenant exécuter.Et là, les 2 autres dimensions de l'Entreprise 2.0 évoquées par Jeff Clavier (ergonomie et surtout architecture) prennent tout leur sens.Donc pour résumer, dans l'Entreprise 2.0, la dimension collaborative n'a de réelle importance stratégique que pour les start-up (1% des sociétés, grand maximum), alors que les autres dimensions (ergonomique et architecturale) sont pertinentes pour toutes les autres sociétés.    Comment from Mathieu COLIN: trouve ce webcast : IntéressantProblématiques outil vs. acceptation par les hommes du changement (technique vs. fonctionnel) : c'est toute la problématique que l'on rencontre sur chaque projet traité, dans n'importe quelle entreprise. Comment from Mathieu COLIN: Et en fait, je me dis que la problématique ne devrait pas être "les comportements sont-ils à la hauteur des outils", mais bien "les outils sont-ils à la hauteur des comportements"... Je suis plutôt d'accord avec le consultant (excuse moi j'ai mâché ton nom), qui indique clairement qu'il faut plutôt mettre l'accent sur le facteur humain, même si évidemment il n'est pas évident pour un éditeur de créer un outil parfaitement adapté à chaque projet...En fait, les consultants sont souvent taxés de "vendeurs de vent", il y en a même qui changent de métier, mais en fait, ce sont bien les consultants qui accompagnent les clients lors de leur définition des besoins fonctionnels, et qui par là même, au gré des projets, des clients, des spécificités secteurs, sont le plus à même de préconiser les attentes les plus importantes des utilisateurs!Exemple sur les softs collaboratifs permettant de gérer le développement des nouveaux produits (on travaille pas mal sur ces sujets là) : les éditeurs sous-estiment systématiquement les difficultés liées à la "dé-validation" d'étape déjà "validées"... et du coup, plus rien ne fonctionne... OK, tous les utilisateurs jurent qu'ils ont bien compris qu'une fois une étape validée, on a signé avec son sang et qu'il n'y a pas de retour en arrière... n'empêche, dans la vraie vie, il se passe toujours un truc pas prévu ou pas prévisible qui fait que.Par contre, il y a également tout un tas de fonctionnalités de type "bidule" qui n'apportent pas grand chose et ne sont pas utilisées... alors qu'elles peuvent être très complexes à développer.Du coup, les vendeurs de vent peuvent permettre aux éditeurs de mieux cerner les attentes utilisateurs, et pas simplement sur le projet en cours et d'éviter des budgets liés aux développements de "bidules".Voilà, ça vaut ce que ça vaut ;) Et j'ai posté mon premier commentaire, et Toc ;)Mat. Comment from P Le R: J'ai bien aime l'intervention d'un des participants disant qu'un des points sur lequel deux personnes (dont l'animateur) semblaient ne pas s'entendre etaient finalement les deux faces d'une meme piece de monnaie. L'image etait suffisamment parlante (et vraie) pour que la discussion cesse.Les outils ne sont pas parfaits, les usages jamais vraiment clairement definis pour qu'il y ait une regle absolue de commencer par l'un ou par l'autre. Comment from Tobias: Bien bonjour à tous ! Je me suis rendu compte que même sans avoir souscrit de compte chez vous, on pouvait télécharger l'émission en entier et la visionner, et ce, simplement en utilisant des outils de téléchargement de flux, sur mozzila firefox.