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Toute initiative collective spontanée est confrontée en dernière analyse à un dilemme : le passage de l'engouement fondateur des prémices, pas très lucratif, mais plutôt généreux, enthousiaste, à la modélisation d'une forme économique viable qui ne pourra d'ailleurs pas forcément satisfaire tous les acteurs impliqués. En toute transparence et conformément à ce que l'on peut qualifier d'ADN propre à cette web-tv, nous avons décidé de traduire en débat participatif vivant notre réflexion sur la manière dont ce support va pouvoir - et devoir - évoluer de sorte qu'il perdure au travers d'un modèle rentable. Comme beaucoup de chouettes initiatives online, TechToc.Tv est le fruit d'une surprenante alchimie humaine, mais doit évoluer pour couvrir ses coûts de fonctionnement et se montrer plus ambitieuse avec pour contrainte parfaitement assumée de ne pas perdre son indépendance, et d'échapper aux pièges de la récupération dans lequel tout medium est un jour forcément confronté. Ce sera un plateau vivant, pour un débat authentique et une réflexion dont vous pourrez nourrir vos propres réflexions d'experts sur la viabilité, en général, de tant d'initiatives dans notre écosystème.
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Sources et licence d'exploitation / diffusion exclusive de mon intervention plateau TV"
Je sponsorise mon plateau :
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1. Je souhaite faire figurer le logo de ma société, cliquable vers son site web, sur la page du plateau où figure mon intervention : x € 700,00
2. Je souhaite intégrer un logo animé de ma société (environ 4 à 7 secondes) en introduction du sujet (je vous fournis une animation existante, ou à défaut mon logo pour vous laisser faire) : x € 1 250,00
"3. Je souhaite que vous diffusiez pour moi ce sujet dans d'autres médias sociaux : Youtube, Dailymotion, Facebook (sur ma page d'entreprise), et Vimeo. Vous gérez ces aspects pour moi.
(NB : n'est possible que si l'une des deux prestations précédentes est commandée)" x € 350,00
Je récupère les fichiers vidéo non brandés pour les réutiliser / diffuser à ma convenance
Description :
quantité : Tarif unitaire : Sous-total :
4. Je souhaite récupérer l'intégralité de mon sujet video sous la forme d'un fichier (mp4 HD) - et que suis en mesure d'éditer / d'héberger par mes propres moyens par la suite. x € 1 800,00
"5. Je souhaite récupérer pour un usage interne ou privé l'intégralité de mon sujet video sous la forme d'un DVD-video pouvant être lu sur n'importe quel lecteur de salon.
(n'est possible que si l'une des prestations 1, 2 ou 4 est commandée)" x € 180,00
6. Je souhaite en profiter pour renouveler cette opération tous les mois pendant un an, grâce à la formule d'abonnement "caféine.tv" proposée par Webcastory. Dans ce cas de figure, toutes les prestations ci-dessous me sont offertes ce coup-ci. x € 2 000,00
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Toute initiative collective spontanée est confrontée en dernière analyse à un dilemme : le passage de l'engouement fondateur des prémices, pas très lucratif, mais plutôt généreux, enthousiaste, à la modélisation d'une forme économique viable qui ne pourra d'ailleurs pas forcément satisfaire tous les acteurs impliqués.
En toute transparence et conformément à ce que l'on peut qualifier d'ADN propre à cette web-tv, nous avons décidé de traduire en débat participatif vivant notre réflexion sur la manière dont ce support va pouvoir - et devoir - évoluer de sorte qu'il perdure au travers d'un modèle rentable.
Comme beaucoup de chouettes initiatives online, TechToc.Tv est le fruit d'une surprenante alchimie humaine, mais doit évoluer pour couvrir ses coûts de fonctionnement et se montrer plus ambitieuse avec pour contrainte parfaitement assumée de ne pas perdre son indépendance, et d'échapper aux pièges de la récupération dans lequel tout medium est un jour forcément confronté.
Ce sera un plateau vivant, pour un débat authentique et une réflexion dont vous pourrez nourrir vos propres réflexions d'experts sur la viabilité, en général, de tant d'initiatives dans notre écosystème.
Toute initiative collective sincère et spontanée est confrontée en dernière analyse à un inévitable dilemme.
L’optimisme caractéristique des prémices est une des nécessités du lancement.
Une initiative collective, dans ses prémices, et dans l’alchimie qui la rend spontanément possible, est certes portée par des leaders capables de la transformer en structure pensante. Ces mêmes leaders seront eux-mêmes entourés de supporters actifs, probablement tout aussi visionnaires, qui vont participer à la dynamique d’évangélisation puis à l’effort de consolidation de la logique communautaire. Néanmoins, notre observation attentive de ces effervescences participatives nous rend à cette évidence : le collectif n’aura guère eu le loisir dans toute l’énergie déployée pour lui permettre d’éclore, de se pencher longuement sur ce que pourraient être à terme la véritable logique économique, ou pour le dire plus prosaïquement, les sources de revenus des uns et des autres. Pour la bonne et simple raison qu’à l’état brut d’initiative spontanée, vulnérable et précaire, un collectif évite les sujets qui fâchent, et dévoile des trésors inconscients de diplomatie et de stratégies d’évitement dès qu’un membre commence à évoquer la question fatidique : « qu’est-ce les participants vont y gagner ? » - question évidemment contrebalancée par sa réciproque : « et qu’est-ce que ça va coûter aux autres ? ». Car dans la vie, on aura beau s’élancer dans les mille nuances qui conviennent, il y a ceux qui font le spectacle et ceux qui le consomment.
Sur la Toile l’énergie collective disponible dilue les risques mais accroît néanmoins l’importance de l’enjeu.
Ces propos servent à établir, de manière au besoin caricaturale, le contexte déjà bien connu des initiatives collectives qui sur la Toile créent spontanément ce qu’on appelle le buzz, et sont entourées d’une popularité proportionnelle à l’activisme des premiers membres combinée à l’engouement de l’audience initiale. Mais si le démarrage est généralement souriant, insouciant, la métaphore du soufflet qui retombe avec le temps est on ne peut plus appropriée lorsque les pertes et les profits (et à notre sens : pas seulement l’essoufflement de l’effet de mode) viennent miner en filigrane la poursuite du modèle. Et quand bien même prétendrait-on avoir parfaitement anticipé la réflexion sur le modèle économique, force est là aussi de constater qu’il devra rapidement évoluer au gré des obstacles rencontrés dans le développement, ainsi que des premiers retours du public, ou de l’influence de la concurrence, du contexte culturel et des structures de prescription en place.
Sur le web, les initiatives n’ont jamais été plus dynamiques ni plus massives : elles sont la somme d’un nombre plus important d’acteurs impliqués, et peuvent subsister beaucoup plus longtemps dans l’état d’esprit désintéressé ou bon enfant du commencement que n’en sont capables les initiatives limitées géographiquement. Mais en dernière analyse, l’énergie optimiste du modèle initial aura forcément dû être minée en cours de route par le même dilemme : comment définir une source de revenus qui permette à ladite initiative de perdurer sans que l’esprit qui l’animait au départ n’en soit affecté. Et c’est la dangerosité pour la philosophie du projet original de cette inévitable conversion qui se révèle anxiogène pour les fondateurs et même une partie non négligeable des premiers observateurs à s’être sentis concernés par le projet. – ne serait-ce que par leur bienveillance encourageante à son égard. La nécessité de cette rupture n’est en que plus douloureusement perçue dans l’environnement des technologies et media online actuels, puisqu’il n’a jamais été aussi facile ni plus rapide, ni plus fluide, de créer, de mobiliser, de fédérer, autour d’une idée susceptible d’être publiée et diffusée par contagion auprès d’un nombre d’individus en croissance exponentielle.
Mais le tâtonnement non lucratif est le seul mode opératoire viable pour une co-création.
Notre conviction est néanmoins la suivante : ce talent collectif, comme toute forme de talent, s’il est certes possible d’en structurer la production une fois qu’elle est achevée, s’exprime d’abord sous une forme chaotique, désordonnée, où la dichotomie, les va-et-vient, les contradictions temporaires ont légion. Et les conditions incontournables de l’expression d’un talent à plus forte raison dans la co-création résident dans la spontanéité et la sincérité de la démarche : en somme son caractère non prémédité. Vous ne pourrez mobiliser une communauté que sur la base d’une initiative répondant à ces critères d’authenticité. Parce que les premiers membres auront besoin d’adhérer à une histoire, une genèse crédible et rassurante par sa transparence, à une sorte de mythe fondateur. Toute immixtion d’une velléité lucrative dissimulée dans un objectif secondaire non assumé dès le départ eût été entourée, si ce n’est de suspicion, du moins d’une désaffection fatale pour le projet. Nous avons d’ailleurs déjà beaucoup échangé au sujet de ce conflit intellectuel entre business et philosophie 2.0 sur TechToc.Tv : cliquez ici pour jeter un œil sur ce plateau. Toutes sortes d’obstacles culturels, psychologiques, voire techniques rendent la chose complexe.
Première conséquence de la maturation : le dilemme culpabilisant de la conversion capitalistique.
Tant et si bien que nous pouvons légitimement parler d’un dilemme entre la vision idyllique du commencement, où la conjugaison des bonnes volontés permet à un projet collectif sur le web de voir le jour spontanément et sans lourdeur administrative ni encore moins économique, et la vision nettement plus sophistiquée, où les luttes d’influence se font jour,où des intérêts contradictoires tendent à montrer leurs vrais visages, d’un modèle dont une poignée d’individus doivent s’assurer qu’il leur permet de s’enrichir pour que leur motivation reste intacte.
Seconde conséquence : la mutation n’est possible qu’en toute transparence et concertée.
Ce qui peut, exposé ainsi, ressembler à une profonde vérité de La Palisse, n’entraîne pourtant pas moins l’apparition d’une tension entre les divers acteurs du projet, qui dans sa phase adolescente doit réfléchir à sa conversion sous forme de modèle économique viable, et ne survivra peut-être pas à cette incoercible propension aux non-dits, aux malentendus sur les intentions de chacun, à la crainte que l’engouement de la période fondatrice ne se change en rumeur montante, vers la frustration et le ressenti d’une partie des premiers acteurs du projet – au point parfois qu’une scission s’opère et que plusieurs projets concurrents ne naissent du fruit de ces ressentiments et autres luttes de pouvoir. Aucune histoire comparable n’échappe à ce nécessaire malaise, aussi subtil et habilement caché qu’il puisse être d’un projet communautaire à l’autre. La transition ne peut se révéler réussie qu’une fois l’abcès percé : mais ce n’est pas le fruit d’une géniale équation économique ni d’un modèle bien pensé (quoi que cela puisse évidemment en constituer les premières conditions sine qua non). Non, pour passer avec succès l’épreuve de cette transition vers une répartition des gains, il faut savoir entamer un dialogue avec le reste de la communauté, l’impliquer dans cette phase de transformation, lui en exposer les enjeux, et ne pas se contenter de quelques effets de manche marketing : il faut obtenir l’assentiment général par l’implication psychologique de tous les acteurs et observateurs encore présents en faisant le choix de ne pas maquiller les faits ni les enjeux.
Application au cas TechToc.Tv : nécessité d’un grand débat identitaire.
Hormis le petit clin d’œil à notre actualité politique, l’origine et la moralité de cette petite dissertation est que notre modèle de web-TV TechTocTv est confronté à cette difficile transition. L’appétence intellectuelle qui fut le moteur du lancement ne destinait ce site à n’être qu’une vitrine anecdotique de notre savoir-faire – une expérience de régulation éditoriale collective limitée à une vingtaine de contributeurs et quelques centaines de pages vues chaque mois par des experts ciblés. Mais les contributeurs sont désormais près de 400 et en octobre 2009, 345.008 pages ont été vues. Aussi ciblée soit-elle par rapport aux media dit « mainstream » (la persistance de cette expression sera bientôt abus de langage), cette web-TV n’en a pas moins découvert une nécessité : découvrir le bon modèle pour perdurer. Car l’expérience enthousiaste s’est transformée en entreprise, et pour combler les attentes de toutes les parties prenantes tout en préservant l’alchimie précieuse des débuts, il va falloir se poser un certain nombre de questions. Au nombre desquelles les suivantes :
-Comment trouver un modèle économique sans jamais laisser le support être envahi par la pub ?
-Comment accentuer la qualité des sujets et leur préparation sans que des marques n’en influencent le contenu dans leur logique de récupération parfois invasive ?
-Comment se mettre à parler d’argent sans déclencher quelques bons vieux réflexes si franco-français de suspicion éthique ?
-Comment faire comprendre aux différentes parties prenantes, en quelques mots et notions simples, la réalité des enjeux de notre liberté éditoriale et des intérêts qu’elle doit servir en toute transparence sans succomber aux tentations et travers de tant d’autres supports ?
Nous assumons la complexité de ce débat et votre nécessaire implication.
Ce que cette réflexion a de sain c’est qu’elle va nous pousser à nous montrer créatifs d’une part, voire collectivement créatifs de l’autre. Le processus de transformation en lui-même peut se révéler passionnant et en ligne avec l’ADN fondateur de cette communauté.
Si nous parvenons à impliquer le collectif, alors la solution qui s’imposera à tous sera préalablement passée au crible de la clarté, de l’explicite, de la pédagogie, et, nous l’espérons, du consensus.
Être créatifs dans ce contexte signifie par conséquent :
-Continuer à fédérer la communauté autour d’un objectif commun ;
-Décomplexer la réalité économique pour ne pas risquer d’en faire une réalité honteuse ;
-Définir des services dont la valeur ajoutée ne fasse de doute pour personne ;
-Définir la tarification la plus juste et la plus pertinente autour de ces services et de leurs options qui restent à inventer (à commencer par définir qui paye quoi) ;
-Faire en sorte de dépasser le point d’équilibre suffisamment tôt pour que le risque associé à l’investissement initial soit annulé aussi vite que la communauté aura pu en accepter les implications en termes de modèle économique ;
-Faire en sorte que les services à valeur ajoutée ainsi définis créent un engouement susceptible d’être traduit en succès commercial quasi immédiat pour préserver l’engouement fondateur ;
-Utiliser le succès et la clarté du modèle économique pour en faire les bases d’une communauté vivante, responsabilisée par son propre investissement, et pérenne.
Conclusion pragmatique de cette première étape d’annonce :
Le propos de cet exposé est de suggérer une marche à suivre, la toute première de ses étapes étant de recevoir vos réactions ici même, quitte à en assumer les écarts habituels : risques d’effets d’entraînement, longue files de « y’a qu’à », sous-entendus suspicion, et bien sûr le caractère hétéroclite et désordonné des feedbacks propres à toute communauté vivante.
Cela ne nous découragera pas.
Nous ne désignerons pas de comité formel, celui-ci s’imposera de lui-même.
Nous nous contenterons d’animer la conversation avec une écoute plus particulière que d’habitude, nous conduisant à nous faire plus discrets que jamais.
Un plateau à ce sujet doit donc prendre place, et nous espérons que les volontaires y verront comme nous un excellent cas d’école se dessiner sous leurs yeux. Comme à notre habitude, nous le proposons aussi au titre de prétexte à un débat que nous anticipons des plus passionnants.
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Quels rôles tiennent les sphères du business, de la technologie, de l'humain et des institutions dans l'internet d'aujourd'hui ? Est-il possible et souhaitable de les concilier ?
Tariq Krim : Entrepreneur activiste sur le thème de la souveraineté numérique, fondateur du blog codeforfrance.fr (fondateur de Netvibes et de Jolicloud).
Comment from Julien Dorra: Comme pour le reste d'un projet web, l'équipe de Techtoctv devra itérer, essayer différents produits, faire des tests et mesurer l'impact...La boucle virale et la boucle d'engagement seront essentielles à peaufiner -- et je crois que sur ce point, il y a déjà une très bonne base.À ce niveau, on va rentrer dans des analyses de metrics e-commerce : conversion, stickyness des produits, etc.Du beau boulot en perspective !
Comment from Frédéric Meyer: ce n'est pas souvent que la voix est donnée aux membres d'une communauté ce qu'ils souhaitent qu'elle devienne, comment elle doit évoluer, s'améliorer, et apporter du contenu de qualité croissante... chapeau, j'ai hâte de voir ce qu'ils en pensent, puisque ce sont les premiers concernés. Apportera-t-on une réponse à la question que tout le monde se pose?
Comment from Frédéric Bascuñana: Aussi Julien, avec une brillante entrée en matière tout à fait à la mesure de ce que j'ai l'habitude de lire de toi, et qui lance merveilleusement la suite de la conversation, j'ose espérer que nous pourrons compter sur toi pour suivre ces échanges d'un oeil bienveillant (peut-être même te joindre aux plateaux ?) et de nous donner ton point de vue sur les propositions qui vont commencer à émerger !La première question de base consiste à définir le périmètre de la valeur : où se trouve-t-elle et qui est prêt à l'identifier comme telle, et comme monétisable ou du moins susceptible qu'on mette un tarif en face ? (c'est bête, mais c'est bien par là qu'il faut commencer) - Bon, sur ce point, il faudra partir de l'existant mais imaginer ce qu'on peut offrir en sus. Là où ça se corse, c'est quand il va falloir définir une mission commune qui n'abîme pas la puissance du concept, ni n'affecte son indépendance, ni ne provoque un effet déceptif à partir du moment où nous ferons l'exposé de nos budgets de fonctionnement et de nos ambitions.Car ces dernières seront à la hauteur et ce n'est pas un p'tit effet de manche : je crois qu'on peut faire un truc vraiment unique, peut-être même énorme, si on parvient tous à se mettre d'accord sur un dispositif de départ.
Comment from Frédéric Bascuñana: @Fredmeyer : merci de cet encouragement, décidément ces deux premières réactions nocturnes me comblent totalement et me semblent donner le diapason de ce qui s'annonce comme une discussion toute faite de curiosité intellectuelle et d'intérêt partagé !Oui, pour te répondre, je vais me mouiller en ce qui me concerne, et je peux dire des autres membres de l'équipe qu'ils ne sont absolument pas prêt à user d'une quelconque langue de bois. alors oui nous répondrons à la question centrale, sans dissimuler son caractère évidemment critique : "que faire ?"Notre offre de valeur sera concrète, mais les idées que nous avons actuellement ne sont qu'embryons à mesurer à l'aune de vos réactions conjuguées. je sais déjà que je serai le premier surpris de tout ce à quoi je n'ai pas pu penser, car j'ai évidemment des limites. Mais je suis persuadé d'une chose : nous avons créé de l'intelligence collective ici, selon un mode unique, impliquant, équilibré, nous sommes au travers de la production de contenus audiovisuels animés d'un objectif commun. C'est cette manière de réfléchir collectivement qui va générer des idées surprenantes.le temps est révolu où les entrepreneurs décidaient de leur business plan dans un garage et après une méticuleuse (et certes fort respectable) démarche de benchmarking et d'étude de marché : aujourd'hui le lancement d'un modèle économique peut être le fait d'une réflexion collective transparente.Tant de blogs et d'experts en parlent avec fascination et moult doctrines, j'espère quant à nous que le passage à l'acte sera perçu comme une action concrète et courageuse et pas comme un effet de style. Car je peux vous promettre que la démarche est, et restera authentique.
Comment from Julien Dorra: La question générale est peut-être : «Comment faire tourner une société de production audiovisuelle communautaire»Techtoctv fonctionne un peu comme un fablab. La valeur la plus visible est dans la mise à disposition des moyens de production. Mais la valeur la plus puissante est bien sur la communauté, les rencontres.
Comment from Frédéric Bascuñana: Encore bluffé par ta clairvoyance alors que tu n'es venu qu'une fois, et encore, en Juin dernier, sur le plateau ;) je te le dis tout net : Oui Julien c'est parfaitement ça. La valeur la plus puissante dépasse la facilitation technique et me semble à moi aussi résider dans la rencontre et le réseau en eux-mêmes.Toute la technologie environnante m'aveuglait au départ - moi le premier. J'ai avec le temps réalisé qu'elle n'était qu'une commodity, le coeur de la valeur réside dans ce que je peux appeler une alchimie en ce sens que la méthodologie du management de communauté et de la construction du réseau nous est apparue en cour de route - à quoi il faut ajouter la progressive maîtrise ou du moins compréhension de la logique éditoriale co-créative - et c'est ce qui est, et de loin, la plus chouette et la plus parfaite manière d'apprendre.
Comment from Frédéric Bascuñana: Une rude journée m'attend demain alors j'en profite pour me faire discret sachant que le relai de cette conversation sera repris dès demain avec le reste de l'équipe TechToc pour le moment dans les bras de Morphée ;) - en tout cas je suis agréablement surpris que Julien et Frédéric soient passés par là et m'aient poussé à amorcer la discussion dès maintenant ;) Je suis aussi très pressé de voir la composition du plateau TV ;)
Comment from Frédéric Meyer: @ julien: et parfois, les idées qui émanent des échanges qui ont lieu!
Comment from Vincent Berthelot: Comment grandir sans se renier ?Comment offrir de nouveaux services plus ciblés, plus orientés pour enrichir et non remplacer ce qui est le cœur de cette webtv communautaire, une indépendance de ton, une capacité à aborder des sujets pointus ou très larges, une ouverture vers une communauté qui se développe chaque jour.A mon avis il ya de nouvelles formes contractuelles à inventer avec certains membres pour rendre un service à forte valeur ajoutée tant pour celui qui passe le contrat que pour la communauté.Nous allons revenir sur la théorie de l'engagement individuel dans un collectif avec ce débat mais surtout j'espère des pistes co-construites de l'avenir de cette webtv par une assise intellectuelle et financière.
Comment from Céline Mory: belle idée d’associer votre audience et de la placer au centre du dispositif alors ceci voudrait dire que c'est le public qui va générer des nouvelles fonctionnalités à partir de ses usages ?.... j’adore ! TechtocTV se positionnerait-il comme un écosystème tagué en bio-diversité ?!Bon point : c’est ouvert et vivant déjà :) Alors idées à brûle-pourpoint pour structurer : se donner les moyens de comprendre l’évolution des comportements du public (quelles mesures des usages ?...) et animer sans diriger (comme on arrose un plant et il pousse) c’est-à-dire bien redéfinir tous les process éditoriaux tout en laissant se dérouler de « belles histoires » …beau programme non ? moi je suis partante !
Comment from Dominique Rabeuf: Prémices et prémissesBeaucoup le savent ici, le langage est mon jouet favori, surtout au ras des pâquerettes.Prémices du latin prae meto : je récolte en avancePrémisses du latin prae mitteo : j'envoie en avanceLe mode moderne de développement de produits et services se fait en associant très tôt les utilisateurs.Les concepteurs, les producteurs, les fournisseurs d'innovation devront être des précurseurs en récoltant le plus tôt possible les fruits de l'expérience des utilisateurs.Les utilisateurs pourront jouer un ou plusieurs rôles, gratuitement ou non, selon les cas, associés, contributeurs, fournisseurs, spectateurs.Exactement comme dans toutes les organisations sociales à but lucratif ou non, de la simple amicale d'anciens élèves à la multinationale complexe.Dans la vieille télévision, producteurs, acteurs, invités, publicitaires, spectateurs sont enfermés dans de multiples grilles (horaires, thèmes, quotas, audimat, figures imposées, faux débats, illusion de direct, différés mal venus, rubriques démodées)La nouvelle télévision nécessitera beaucoup moins de moyens lourds et coûteux.L'expérimentation sera plus rapide, les retours plus directs, la persistance des mauvais choix plus rare.Il est naturel que les premiers venus soient en quasi totalité des personnes très proches de ce qui a un rapport avec Internet. Disons pour simplifier: des personnes plus connectées que les autres. Mais TTT ne restera pas une chaîne thématique sur Internet pour y causer d'Internet.Il y a déjà d'autres choses comme du golf, de l'humour, des débatsInternet en 2000 a donné lieu à une bulle spéculative qui a éclaté.Internet en 2010 est devenu solide, un outil définitivement incontournable.André Leroi-Gourhan avait mis en évidence que l'homme invente l'outil et certains outils ont radicalement transformé l'homme. J'espère que nous allons vivre ici une expérience ethnologique.Je cite « On ne fait pas plus de Préhistoire en ramassant des haches polies qu'on ne fait de Botanique en cueillant des salades dans son jardin. »C'est juste pour dire en plaisantant que les raseurs, radoteurs, cuistres, jocrisses, tartuffes, menteurs, manipulateurs, enfonceurs de portes ouvertes, prophètes avariés, artistes pas doués, charlatans (n'en jetez plus la cour est pleine) ne seront pas les biens venus dans la nouvelle télévision. Ils devront se contenter de la vieille télévision ou beaucoup sont invités gratuitement alors que les téléspectateurs payent souvent redevances pour que l'on puisse se payer de leur têtes de différentes façons. Le vieille télévision n'est pas encore décédée, mais se porte mal semble-t-il. Des gens qui font des conférences avec leurs utilisateursEn toute logique et technologie
Comment from Fabrice Epelboin: Arg... le 20 c'est infaisable pour moi :(
Comment from Vincent Berthelot: Le web 2.0 est-il avant tout le concept de la communauté ou du gratuit ? Débat lancé sur le blog de réflexion Brenthttp://b-r-ent.com/news/le-web-2-0-est-il-avant-tout-le-concept-de-la-communaute-ou-du-gratuit
Comment from Fabrice Epelboin: Je reviens de la conférence FutureTV, et - c'est un peu tôt pour faire une transition sur le web - l'un des intervenant rappelait que la télé payante représente 50% de la valeur crée (il parlait de CA), alors qu'elle est apparue bien après la télé gratuite... A méditer...
Comment from Gilles Misrahi: Techtoc évangélise et présente le visage des technologies. C'est le seul média audiovisuel à proposer ce type de rendez-vous réguliers de qualité. Techtoc a déjà trouvé son ton.Frédéric nous propose de participer au débat sur le développement de ce projet. J'ai envie de contribuer.J'ai déjà observé des médias indépendants aux modèles économiques vertueux. Je pense qu'ils ont obligatoirement une histoire et une culture forte. C'est pour cela qu'ils sont suivis. Il sont, bien souvent, l'émanation d'une communauté dépositaire.Si le coopératif en ligne a changé la donne des médias et permet à tous de rédiger, il n'en reste pas moins que les initiatives doivent être portées par de petits groupes humains décidés et organisés pour rejoindre l'intérêt du plus grand nombre.A mon sens, il y a de nombreux possibles.
Comment from Etienne Hayem: C'était ma question favorite, la voici servie sur un plateau.Comment, dans le secteur de l'information abondante et au coût marginal quasi-nul vivre et survivre? Partis d'un modèle gratuit, il va falloir capturer la valeur là où elle se trouve sans mettre de barrières à l'entrée trop hautes pour la communauté que vous avez déjà fidélisé. Chris Anderson dans Free propose 4 business models qui permettent de gagner de l'argent en donnant du gratuit. Il existe tout un champ de test, d'expérimentation, de pionniers, de "winner takes all", pour qui veut se placer dans le paradigme de l'abondance de l'information. Jouer à mixer ces modèles est une possibilité.Il reste la monétisation, comment créer une boucle qui transfère l'énergie, bonheur, ou valeur ajoutée de l'utilisateur, ou membre de la communauté à ses porteurs? Une monnaie libre est un bon outil pour commencer à senser ce qui plaît et ce qui vaut quelque chose.D'autre part, les services complémentaires de location du studio ou de vos services pour des sociétés ou des partenaires permet d'avoir une offre suffisamment diversifiée pour se faire plaisir et faire plaisir à la communauté d'un côté, tout en rentabilisant les infrastructures et les savoir-faires sur des prestataires externes plus classiques.Je serai ravi de pouvoir en discuter avec vous le jour du plateau.
Comment from Dominique Rabeuf: @FabriceIl n'y a jamais eu de TV gratuite (Surtout le poste)@GillesUn autre terme à la place du gospel. Ou alors préciser l'évangéliste (Par exemple Matthieu V.7.12) @EtienneRenversons les rôles, souvent certains du coté émetteur paient, rarement certains du coté récepteurs paientPour mon cas personnel, être spectateur assidu de Laurence Arabica m'inciterai à réclamer des dommages et intérêts
Comment from Olivier Schimpf: C’était l’un de mes grandes questions sur TTT, quel est le modèle économique de chaîne de TV sur internet et sans pub apparente ?Les moyens, la production et l’hébergement, j’oublie sûrement quelques points mais tout ça à un coût. La question posée par Frédéric, si je l’ai bien comprise, qu’elles sont les contraintes que nous serons capables de supporter pour continuer à suivre et à participer à cette magnifique idée de TV collaborative.Pour moi, le communautaire ne rime pas forcément gratuit ou sans contrainte.Mais à contre partie, le payant risque d’éliminer de nombreuses personnes. Une idée est peut-être, comme l’a déjà fait de nombreux sites ‘gratuits’, l’inclusion d’une séquence promotionnelle en début des webcasts ou des reportages. Bien sûr ces séquences seraient ciblées en fonctions de sujet et des intervenants (mais je ne vais rien à prendre aux spécialistes du marketing) .Une autre pourrait être le mécénat.L’important n’est de pas oublier ses fondements de base qui ont permis d’arriver au niveau atteint par TTTBon débat que j’imagine, comme habituellement riche et passionnant.
Comment from Fabrice Epelboin: @dominiqueJusqu'en 84, la télé était gratuite, le fait qu'on y ai accolé une taxe est une escroquerie, cette taxe, tu dois d'aileur le savoir, ne compense même pas les coûts liés à sa collecte. Le poste n'est psa plus gratuit que ton ordi, par ailleurs, la dite taxe ne finance pas TF1 et M6, gratuit eux aussi ;-)
Comment from Dominique Rabeuf: @FabriceC'est là toute l'étrangeté des perceptions fiscales déficitaires et des perceptions de spectateurs illusionnés. Non vivons sans doute dans un monde magique. Les paroles s'envolent de plus en plus et voilà que l'on voudrait que les écrits s'effacent alors que la vraie monnaie s'imprime de moins en moins.
Comment from Dominique Rabeuf: Parmi les premiers sites rentables en France il y a eu BoursoramaLe succès est venu des forums.Des dizaines de milliers de forums (un par titre coté) Plus des forums génériques (Football, Blagues, Automobile, Politique)Des clubs s'y sont installés, tenant des tribunes ou des salons privés qui n'avaient pas grand chose à voir avec la Bourse. Il suffisait de squatter le forum d'un titre au second marché d'une place boursière quasi inconnue et le tour était joué.Des personnes ont tenu des sortes de blogs.La publicité a rapidement été payante, mais il y avait toujours des moyens pour empêcher son affichage pour ceux que cela gênait (Ce n'était pas toujours au goût du Web Master)La censure a fait et semble toujours faire toujours rageDes invités venaient un par un causer avec les Internautes, rapidement un système très strict de filtrage a été mis en place. Il n'était pas admis que certaines questions trop pertinentes aillent agresser un bon débat d'actualité concernant une société coté ou une causerie avec un grand maître des rouages économiques.Il est bien possible que ceux qui détiennent les cordons de la bourse ne soient pas encore assez motivés par ceux qui ici viennent au nom d'une entreprise. Entreprises qui par ailleurs ont leurs propres plans de communication réalisés avec le soutien de spécialistes de la place dont certains retardent le plus possible le passage à d'autres formes de publicités alors que d'autres sont carrément hostiles à Internet.La publicité n'est pas une maladie honteuse. Elle est devenue plus accessible et sera plus efficace si ceux qui la produise accepte le dialogue autour de cette publicité. Peut on vendre plus de Yaourt au algues vitaminées via une WebTV ?Peut être, mais en l'état des choses: pas encore (pas à moi toujours)Les personnes qui fréquentent TTT du coté des spectateurs ne sont sans doute pas prêts à payer pour suivre les séries, elle ne peuvent pas toujours payer des abonnementsL'audience de TTT doit sûrement compter des personnes qui même sans se manifester ont un certain poids lorsque des produits et services font l'objet d'une décision d'achat Du coté des marques représentées sur TTT on ferait de se poser des questions d'opportunité de tester de nouveaux modes de communication surtout pour ceux dont une partie de l'activité est dans la mouvance InternetConsultez la valeur boursière des vieux médias de publicité, en quelques années certains ont vu leur cours divisé par plus de dix. Ne me dites pas que l'argent, la bourse c'est mal. Ma réponse est prête.Il y a ici aussi des petits groupes de francs tireurs de différents horizons métiers et de compétences variées qui peuvent devenir redoutablement efficaces en collaborant sur des demandes précises tout en ne s'associant pas nécessairement au sens du droit des affaires: bref des réseaux d'entreprises.Saviez vous de quoi vivait la presse gratuite d'annoncesLes payeurs (très chers)AutomobileImmobilierSuper MarchéRencontresPlus d'autres annonceurs, plus ou moins payants selon les casLes professionnels sont partis en masse vers d'autres supports: site Internet en propre ou site portails.Ne restent que les Super Marchés (Tous leurs clients ne se connectent pas régulièrement à Internet)Récemment je me suis rendus dans un Brico Truc pour acheter des bricoles. J'ai plusieurs fois vu des personnes demander des explications à des employés quand aux différences qui apparaissaient entre contenu des rayons et catalogue vu sur Internet. Les employés étaient juste en train de regarnir les rayons, Ils ne remettent pas le site à jour, d'autant plus que certains produits ne sont disponibles que dans certains dépôts C'est juste un exemple connexe mais de contenu commercial réél
Comment from Vincent Berthelot: En effet je rejoins Dominique ce n'est pas tant au spectateur que doit s'adresser le développement de l'offre de TTT mais à ceux qui veulent en devenir les producteurs !TTT est dans un univers envahi de Youtube, dailymotion et plateformes sociales proposant accès à des milliers de vidéos plus ou moins intéressantes mais toutes gratuites au visionnage. Youtube commence à mettre de la pub Dans les vidéos pour se financer.Pour moi les personnes qui viennent sur TTT apportent déjà leur confiance et leur temps qui sont des actifs permettant de valider la plus value de TT auprès des contributeurs. Autoproduire pour s'adresser au vide n'est guère excitant !En revanche construire une offre pour ceux qui souhaitent intervenir afin de présenter leur expertise, savoir faire, leur offrir des services complémentaires voila a mon avis l'axe de travail.
Comment from Gilles Misrahi: Avant d'être capable de faire une proposition sur tableau excel, il me semble qu'il faut ouvrir très largement le sujet. Un domaine où il n'y a pas de réussite monétisée connue, à ce jour, demande beaucoup de propositions et d'humilité. TTT peut créer un précédent. Quels est le schéma de création de valeur pour TTT ? Uniquement centré autour de l'audiovisuel et de l'Internet ? Qu'est-ce que vous avez envie d'y mettre ? Moi je sais. @Dominique Raboeuf : Mes métaphores sont très tranquilles et sans clocher.
Comment from Dominique Rabeuf: @Gilles MisrahiLes clochers servent de repères au touriste qui n'adhère pas forcément à une chapelle.Les clochers servent de repaire aux corneilles qui sont très bruyantes et farceuses.Les métaphores ne dérangent que ceux qui les interprètent. Je fais des choix comme tout le monde en fait, et peux très vite réorienter mes choix.Je suis né critique et demeure critique, surtout dans des domaines très techniques.Il m"arrive de tenir des propos qui vexent mes interlocuteurs ou ceux qui lisent ce que j'écris. Je réponds en général à toute objection dont je comprends le contenu.On peut parfaitement collaborer sur un sujet précis à but lucratif ou non entre personnes ne partageant les mêmes préférences du moment que ces différences ne nuisent pas à l'objet de la collaboration.Mais qu'évoque donc ce terme de clocher ? Souvenirs d'un collègue qui faisait du MarketingLes promesses n'engagent que ceux qui les écoutent.Il s'adressait à des commerciaux qui promettaient plus que ce que le fournisseur pouvait raisonnablement fournir en termes économiques.
Comment from Gilles Misrahi: @Dominique Raboeuf : Tu ne me vexes pas ;) et enchanté d'ailleurs.Tu me reprends sur le terme d'évangélisation que j'employais car je crois qu'il s'agît d'une assez bonne image pour exprimer qu'on va devoir convaincre. Ca s'arrête là.J'ai envie d'aider un peu Techtoc TV, ça me semble être le seul sujet intéressant mais oui, oui je coopère avec plein de gens avec qui je ne partage pas toutes les opinions ou toutes les valeurs.
Comment from Dominique Rabeuf: @GillesC'était une expression de salutation en forme humoristique
Comment from Vincent Berthelot: Belle alliance messieurs :-)
Comment from Frédéric Bascuñana: Le moins qu'on puisse dire est que le sujet ne doit en effet pas passer à côté de sa propre complexité et ni de son incontournable richesse : j'ai moi-même des idées, mais je réalise en vous lisant que j'aurais pu en oublier et que si je me précipitais pour en énumérer les prémisses qui me passent par la tête, je risquerais de trop orienter la discussion dans un sens plutôt que l'autre. Or, mine de rien, l'intelligence collective, c'est pas juste un concept alibi ;) ! De la libre friction de tous nos points de vue va surgir un consensus, une réalité, des engagements forcément plus lucides.Quand on parle avec des financiers et des entrepreneurs réputés avisés, ce qui me frappe c'est leur capacité à simplifier les problèmes dans un effort de synthèse qui ne perd pas de vue la nécessité d'un pitch final, vendeur, clair, objectif, inébranlable. Mais pour tout projet de ce type il existe forcément une phase de réflexion cachée sur laquelle on ne peut capitaliser que quand on a déjà beaucoup d'expérience, ce qui n'est pas mon cas. Cette phase de réfléxion sera ici exposée à la connaissance de tous pour des raisons de cohérence avec le concept et l'essence même de la plateforme collective, et pour tout simplement gagner du temps grâce aux expériences croisées de chacun.Je propose que l'on jette les idées et les pistes sur un tableau blanc pendant l'enregistrement. Il faut déjà que notre attention puisse se poser sur une première structure de possibilités faciles à visualiser, de sorte que les pistes possibles soient clairement envisagées. On voit déjà poindre dans vos commentaires l'incoercible débat tarte à la crème sur "qui doit payer ?" (les abonnés ou les producteurs / sponsors etc.). Typique - et nécessaire of course.Je vous avoue quelque chose qui me surprend moi-même : le simple fait de lancer cette réflexion m'a voué aux affres de ce que le titre même du sujet laissait présager (mais en pire) : celui des plus cruels dilemmes ! J'ai donc totalement et sincèrement intériorisé les alternatives posées par ce débat, au point d'en être presque perdu. Mais c'est cela qui est sain - précisément. J'ai l'impression qu'on ne choisira pas le meilleur système... mais juste le moins pire.J'ai d'ailleurs été un peu silencieux en ce début de semaine après avoir lancé ce sujet, non seulement pour pouvoir observer vos premières réactions et prendre du recul, mais aussi parce que TechTocTv était, fort ironiquement, partenaire d'une série de conférences intitulées futuretv2009.org - pendant lesquelles les modèles économiques de la TV de demain ont été discutés dans une atmosphère tantôt visionnaire, tantôt poisseuse, le plus souvent convenue (je suis le seul intervenant à avoir parlé de TV collaborative / communautaire / participative / etc., c'est dire pour une série de conférences supposées faire un peu de prospective sur la TV de demain, non ?). Ce que j'en retiens c'est qu'il est inifiniment plus porteur de se trouver du côté des producteurs et propriétaires de contenus que du côté des diffuseurs par les temps qui courent, croyez-moi sur parole.Et cela va beaucoup influencer mes propositions telles que je les formulerai lors de nos échanges : produire, c'est impliquer des contributeurs de sorte qu'ils ne soient pas simplement "exploités", "récupérés", etc. : c'est les impliquer dans ce débat sur la valeur qui, où que je regarde, est toujours entouré de secret. Mettre les cartes sur la table, en assumer toutes le conséquences, jouer le jeu de la transparence, s'exposer aux attaques et appétits en tous genres qui iront peut-être de pair avec, qui sait, quoiqu'il en soit, telle sera la base de notre mise à plat fondatrice.
Comment from Thierry Cappe De Baillon: Plein de beaux échanges... Notamment, comme le dit Frédéric, sur la dimension économique du débat. Mais, avant de parler de business model, il serait peut-être intéressant de parler du modèle lui-même, et de son évolution possible:- communauté ouverte ou communauté fermée ?- des plateaux au service d'une communauté ou une communauté au service de plateaux ?
Comment from Frédéric Bascuñana: entièrement d'accord sur ce point fon-da-men-tal Thierry !je n'osais le reconnaître, mais cette question à elle seule... est un débat en soi ;)
Comment from Gilles Misrahi: @Thierry Cappe De Baillon :Ces questions sont en effet sûrement essentielles au départ. Merci donc. La qualité d'une communauté dépend de sa capacité concrète à recruter, motiver, coopérer.Frédéric ouvre grandement le débat et autant lui faire plein de propositions.Dans ce champ des possibles, des réalités concrètes se font jour et permettent d'éviter le sophistiqué.Un projet comme Techtoc TV ne me semble pouvoir être qu'une communauté ouverte, au départ, dont l'un des objets principaux est la motivation de membres actifs.Après, il faut y mettre des vrais morceaux de valeurs, de désir et de réalisations dedans. Qu'est-ce qu'on a, très spontanément envie d'y apporter ? Est-ce que ça aide l'ensemble ? Est-ce que ça trouve un écho à l'extérieur ?A mon avis Tech Toc TV doit donner toute sa part à l'agilité http://tinyurl.com/yh8aeyp et si Frédéric souhaite que ce soit un projet à de multiples mains, permettre à un grand nombre de participer à des débats, intervenir sur un événement, couvrir un sujet, faire des recherches, créer une émission et plein d'autres choses...Le creuset peut être tellement beau que certaines sources de revenu semblent évidentes. En tout cas, j'aurais plaisir à en discuter et à participer à la richesse des échanges.Bon week-end à tous.
Comment from François DENIEUL: Je découvre petit à petit TTT et je trouve particulièrement remarquable le texte initial de Frédéric sur l'avenir de TTT - sur la forme, c'est très bien écrit à la fois précis et enlevé, et sur le fonds, - les questions me semblent extrêmement pertinentes. Elles évoquent une problématique générale, partagée également par les start-ups qui ont déjà démarrés et se sont développées, celle du franchissement du fossé qui sépare une entreprise tournée vers ses "early adopters" forcément peu nombreux et pas toujours rentables de la même entreprise qui a mûri pour se tourner vers des clients plus "mainstream" beaucoup plus nombreux et plus rentables, au prix d'un énorme effort de restructuration et d'évolution culturelle. Geoffrey Moore a écrit là dessus un classique : "Crossing the Chasm, Marketing and Selling High-Tech Products to Mainstream Customers" que je vous recommande.
Comment from Gilles Misrahi: Voilà le classique en question. http://www.parkerhill.com/Summary%20of%20Crossing%20the%20Chasm.pdf En ajoutant tout de même qu'il y a un grand appel à inventer de la part du porteur de projet en faisant appel à l'intelligence collective d'une façon très ouverte. Composante non anecdotique et originale de la démarche de conception ;)
Comment from Dominique Rabeuf: Depuis un certain temps cela se nommait en mauvais françaisBreak throughRien à voir avoir un passage au travers d'un mur (Heu; mais si)
Comment from Frédéric Bascuñana: @Gilles : ton texte est dense et pertinent, la réflexion semble t'inspirer à un point tel que j'en suis moi-même encore plus stimulé : sincèrement je suis moi-même surpris de voir à quel point la discussion est de qualité ici, et je ne peux que vous envoyer à tous un très banal merci ! ce qui sera moins banal, ce sont les vrais feedbacks que je compte vous donner en plateau : parce que vous avez déjà tous nourri de vraies propositions de mon côté.Je me permets d'ailleurs de mettre en avant le mode opératoire suivant : étant donné que nous savons lire des slides sur le plateau, je suggère que vous me fassiez parvenir un ou deux slides - même super, super basiques !!! - que je puisse afficher pendant le débat. J'aurais les miens. Des slides évidemment qui n'auront d'autre vocation que provoquer l'échange et non pas de le figer avec des propositions altières ;) - j'aurais d'ailleurs le PC devant moi et ça servira de tableau blanc pour tous. Vos slides si vous en proposez peuvent se résumer à un simple titre, un screen shot qui fasse réfléchir, peu importe ;)
Comment from Dominique Rabeuf: On va t'en faire des slides
Comment from Frédéric Bascuñana: @François alors là vous me comblez ;) Surtout que je suis très touché par votre intérêt pour le texte que j'ai publié ;) (ah c'est donc vous qui l'avez lu en entier ;) ) Plus sérieusement, cette problématique m'a en effet semblé non seulement critique, mais dans un environnement où la diffusion et ses technologies associées deviennent des "commodities", les créateurs de contenus ont maintenant une carte à jouer pour les prochaines années (je faisais déjà référence aux débats suivis sur les conférences futureTV2009.org auxquelles j'ai participé en début de semaine passée et dont les vidéos seront en exclu sur TTT dans les prochains jours ;) ): ce sont eux, ces producteurs de contenus, qui seront les perles rares à vrai dire tant il y a peu de contenus qualitatifs (à plus forte raison dans les écosystèmes B2B) - il suffit de relever l'indigence des programmations TV (même sur les chaînes info ciblées CSP++ il faut dire qu'il y a très peu d'innovation sur les contenus et je suis gentil !), les chaînes de la TNT qui souvent recyclent les mêmes séries à l'infini etc. Quiconque saura tirer son épingle du jeu avec intelligence et surtout avec le bon modèle pourra donner la bonne marche à suivre pour ce que j'estime être tout un nouvel écosystème - c'est aussi pour cela que je n'ai aucune cachoterie à faire vis-à-vis de mes concurrents : mon objectif est qu'ils réussissent ! Je veux éviter le syndrome "canalweb" qui en se plantant il y a dix ans a fait un mal fou à la crédibilité de notre écosphère. Mon objectif c'est qu'un modèle économique consensuel et exemplaire émerge, et que pendant cette période nous fonctionnions en mode "coopétition", ensuite nous aurons tout le temps de nous tirer la bourre, le marché et ses possibilités seront encore immenses !
Comment from Frédéric Bascuñana: @Dominique : merci ;)
Comment from Vincent Berthelot: Intéressant le virage de Twitter sur le principe du fremium: http://www.atelier.fr/reseaux/10/19112009/twitter-business-model-payant-entreprise-service-reseau-social-facebook-38997-.html
Comment from Dominique Rabeuf: Une pageTTT 2010
Comment from Dominique Rabeuf: @OlivierLe vieux marketing va rester avec sa vieille télévision, les réclames avec hauts parleurs, le spam de télécopie et, bien sûr, les incontournables flyers derrières les essuies glaces.J'avais une grand-mère qui disait encore de la réclame pour les pompiers de la Lune
Comment from Etienne Hayem: Time for Abundance de Douglas Rushkoff. Il dit beaucoup mieux que moi tout ce que je pense, et ajoute la proposition que je n'ai pas eu l'occasion de développer à la fin du talk: lancer une monnaie libre d'échange de richesse intra TTT : http://www.zoupic.com/2009/11/22/time-for-abundance/Si nous voulons vraiment innover et être dans l'ère du temps, je crois que ça passe définitivement par là. L'échange et le partage de la richesse, et non sa simple extraction.
Comment from Frédéric Bascuñana: A propos des confrontations nouveaux modèles VS anciens, on m'a appris aujourd'hui que les journalistes de rue89 étaient les mieux payés de la profession en moyenne; qu'un journaliste au Monde commence au smic et n'évolue guère mieux.La presse est sinistrée, et il va arriver la même chose aux chaîne TV : TF1 est désormais dans le rouge et ne redressa jamais cette situation, devenue structurelle.Sans quelques temps, un responsable de gouvernement injectera de l'argent dans le secteur de la TV comme Sarkozy l'a fait pour sauver la presse : je crois que la première chose que les anciens modèles vont cambrioler, c'est le portefeuille du contribuable.Ensuite seront-ils en mesure d'intégrer les nouveaux usages ? - je pense que oui, et que ce sont eux au contraire qui vont d'abord tenter de nous hacker, puis auront les premiers le moyen d'intégrer les nouveaux savoir-faire en achetant quelques sociétés.Parce que je ne crois pas que les explorateurs du nouvel écosystème vont s'enrichir : au contraire, ils vont être complètement débordé par leur propre atomisation dans le contexte d'une surdose d'initiatives individuelles. quand un Google, un Mozilla, un Worpress s'imposent, ils préemptent un marché sur lequel tout autre acteur reste minoritaire à moins de proposer LA nouvelle techno disruptive, mais ce sera un écosystème à l'arrivée n'appartenant qu'à quelques happy few : c'est tout (domination) ou rien (initiative 2.0 atomisée).
Comment from Dominique Rabeuf: Exact. Il faut agir comme dans le logiciel: par destruction de la valeur de l'adversaire ou du pique assiette.La phase deux était une transition courte certes mais une transition
Comment from Christian Jegourel: @fred Il faut être prudent avec Rue89 car le modèle n'est pas pérenne. Les revenus du site en ligne ne couvrent pas les coûts. Ce sont les "produits dérivés" : formation, contenus à marque blanche etc ... qui comblent. Pas évident qu'avec de nouvelles baisses des tarifs publicitaires le modèle perdure. D'autant que la formation de journaliste vaut tant qu'il reste encore des médias pour les embaucher. Si l'on accepte qu'internet est une technologie disruptive (long débat enregistré avec Fabrice), les médias traditionnels sont exposés à la perte de l'exclusivité de la collecte et de la distribution de l'information. Il faut s'attendre à des pressions tarifaires publicitaires encore plus fortes car les moyens d'atteindre les consommateurs, pour les annonceurs, se multiplient mais les coûts sont très inférieurs à ceux des médias traditionnels. Je compare la situation à celle de l'arrivée de l'automobile dans la chaîne de valeur du transport. Il y a eu disparition massive des maréchaux-ferrants et des relais de poste. Un peu de lecture sur ce sujet : http://www.tech.youvox.fr/La-presse-peut-elle-survivre-a-la.html
Comment from Gilles Misrahi: J'espère que cette rencontre aura été utile pour Tech Toc. Oui, je pense que nous avons encore beaucoup de choses à inventer, dans le web social. Aidons Tech Toc à être un vrai exemple durable, ouvert d'esprit et en phase avec les attentes.
Comment from Frédéric Bascuñana: Qui est disponible pour débriefer ce plateau épique de vendredi dernier dès lundi midi au Musée Dapper (16ème) - je vous y ferai alors un exposé de mes propositions concrètes pour faire évoluer l'offre. Tout sera dit alors !sur place, déjeuner possible dans un cadre très agréable : http://www.dapper.com.fr/cafe-dapper.php le choix du lieu n'est pas innocent pour la suite des festivités puisque le Musée dispose d'un magnifique auditorium - dont je vous exposerai l'usage !Répondez-moi vite, au pire on fera évoluer cette date si trop d'entre vous ne peuvent être présents !
Comment from Gilles Misrahi: OK pour moi. C'est noté.
Comment from Thomas Andrieu: Ok for me :)
Comment from Dominique Rabeuf: Possible mais à distance.Via Google Talk ou tout système compatible.De toutes façons Fédéric connait mes réflexions sur le sujet.Mise en route d'autres thèmes Présentation de synthèseAgoraJ'ai repris ce thème parce qu'il désignait en grès à la fois le marché (celui des échanges des produits et services) et le forum (espace d'échanges d'informations, tribunes, débats et aussi enseignement)Ceci n'est pas une simple évocationL'histoire relate l'activité de Socrate et ce lui est advenu en raison de ses activités considérées comme subversives.Il n'y a pas de preuves de l'existence de Socrate.En tout état de cause cet épisode marque la fin d'un courant philosophique qui gênait les structures sociales en placePlaton a alors établi la République et les fondements des Idéaux en faisant barrage au Réalisme. Le libre débat à propos des Choses de la Nature est alors passé sous le contrôles du monde des Idées. De là sont nés nos chers monothéismes et les organisations sociales contrôlant les accès au savoir. et les modes de relations entre individusL'impasse de la transpositionLa télévision, la presse, l'édition tentent de canaliser Internet tout en essayant de transposer leur modèle économique sur Internet. Ils n'y arrivent pas, les résultats sont là. Le modèle n'est pas adaptable à Internet.Le nouveau modèle ne va pas s'inventer il va émergerLes braves gens, entreprises comprises, ne peuvent pas payer deux fois la même chose: l'ancien et le nouveau.Certains resteront dans l'ancien encore très longtemps.Les acteurs réels du nouveau doivent réellement investir et ne pas ce contenter d'enfoncer des portes ouvertes, d'enfiler des perles de niaiseries, d'encombrer les nouveaux espaces avec leurs pancartes dignes des réclames d'autrefois.Pour émerger il faut aussi tuer le business de l'autre, c'est ce qui a été fait par les éditeurs de logiciel: Tu veux vendre ton truc - J'en fais un gratuit) et je me rattrape sur les services ou avec de réels nouveaux produits. (Le logiciel libre n'est pas aussi angélique que cela)Le dilemme d'une initiative collective vient du fait que l'initiative est au départ un idéal (une lumière que la collectivité a vue). Tant que la communauté ne fait que partager la lumière tout va bien. Lorsqu'il s'agit de concrétiser la collectivité va se diviser, des désaccords se manifestent lorsque vient le temps de réaliser c'est à dire d'abandonner le rêve et le fourmillement d'idées. DilemmeEn logique, un dilemme (du grec δί-λημμα ou dilemma « double proposition ») est un raisonnement comprenant deux prémisses contradictoires, mais menant à une même conclusion, laquelle par conséquent s'impose.Wikipédia - DilemmeExtraitMais on peut affirmer qu'en cas de conflit, l'obligation n'est pas conjonctive, mais disjonctive (si on a l'obligation de sauver A et de sauver B, mais qu'on ne peut sauver A et B en même temps, on peut dire qu'on a en fait l'obligation de sauver soit A, soit B).
Comment from Remy Pecot: OK pour moi je serai là bien sûr !
Comment from Thierry Cappe De Baillon: Lundi, pas de problème, je suis avec vous !
Comment from Vincent Berthelot: Je vais essayer par fidélité et engagement, tiens faut que je vérifie ça sent bon la devis d'un corps d'armée ça :-))
Comment from Dominique Rabeuf: @VincentCorps d'armée, amusant.J'aurais bien exécuté mon service, mais l'armée m'a fait comprendre d'aller jouer ailleurs, je n'étais pas vraiment bienvenu.Néanmoins ils ne sont pas très rancuniers C'était il y a longtemps
Comment from Vincent Berthelot: Je ne raconterai pas mes vieux souvenirs mais parfois j'ai encore des chants de marche qui reviennent me hanter :-)
Comment from Dominique Rabeuf: J'ai beaucoup apprécié la marche, la randonnée, les difficultés en d'altitude, les techniques très concrètes de contact, les opérations de terrain comme celles d'observation. Tombé dans la marmite trop petit sans doute. Les exploits physiques à contre emploi ont coûté cher à ceux qui m'ont réparé. Je n'ai jamais marqué de but avec la main, trop orgueilleux et maladroit pour le faire, mais les bonnes occasions font les bons larrons du moment que le loup n'y est pas. D'ailleurs, pourquoi avoir peur des loups qui sont finalement plus prévisibles et fiables que les chiens. En fait les chiens on en fait ce que l'on veut, mais les chats sont différents. J'ai mis du temps à me faire à la coexistence avec un chat. C'est juste par empathie avec des proches que je peux coexister avec un chat. Imaginons un chat de 40 à 80 kilos; comme certains chiens. celui qui vit chez moi je l'ai nommé Raymond Maurice Ahmadinejad ( محمود احمدی نژا)
Comment from Frédéric Bascuñana: et moi, si je n'avais feint de graves problèmes psy jamais je n'aurais pu continuer à développer ma première boîte (un job board revendu à mobster WorldWide). en somme si j'avais fait l'armée, TechToc n'existerait pas et nous ne serions pas potes.Et vous ne pourriez pas avoir cette conversation sur l'armée.Ni venir lundi.Dominique, tu viens ?
Comment from Youssef Rahoui: OK pour moi, avec plaisir :)
Comment from Christian Jegourel: Désolé de ne pas avoir répondu plus tôt, un peu surbooké mais c'est OK pour lundiAu passage je partage totalement les remarque de Dominique Rabeuf sur l'impossibilité de transposer les modèles économiques des médias sur internet et nous sommes bien dans une phase de transition où les acteurs traditionnels captent encore l'essentiel de la valeur et freinent le développement de nouveaux acteurs même si ceux ci ont souvent du mal à imaginer de nouveaux modes organisationnels qui tiennent compte de l'interaction possible avec les consommateurs. Il suffit pour s'en convaincre de voir comment sont organisés les "nouveaux médias" pour comprendre que la plupart n'ont fait que de réduire les coûts mais n'ont pas changé structurellement leur mode de production de contenus. http://www.tech.youvox.fr/Face-a-la-deferlante-de-l.htmlhttp://www.tech.youvox.fr/La-presse-peut-elle-survivre-a-la.html++CJ
Comment from Josselyn Dubroca: @FrédéricBonjour... si l'invitation tient toujours, et qu'il reste une place dispo, je serai de la partie avec grand plaisir ;-)
Comment from Alexandre Lachaut: Josselyn, on vous attend avec plaisir :-)
Comment from Frédéric DOMON: J'attends avec impatience le débrief de tout ce socialstormingMerci à Gilles pour la qualité de ses réflexions. Enfin, comme Thierry, j'aurais aimé en savoir un peu plus sur le modèle avant de débattre du business model.Dominique, j'aime bien ta TTT Phase 3. A quand la version beta ?
Comment from Vincent Rostaing: TTT vers du crowd funding à la my major company ???Une autre hypothèse serait peut être aussi d'augmenter la lisibilité et de réusiner les contenus en post prod , de manière à pouvoir y intéresser des chaines traditionnelles, orientées information (type BFM, etc...) , qui n'ont pas forcément ce type d'émissions remues méninges" , et qui pourraient s'en servir pour remplir quelques cases ...
Comment from Jean Fréor: voilà une géniale idée !