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Lors de l'évènement Paris 2.0, Delphine ROLLAND, pense que les internautes sont à payer pour accéder à un contenu...et vous, êtes-vous d'accord ?
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Location : Les Collombages
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Format : Conference
Treatment : Strategic recommendation
 
Speakers :
Lors de l'évènement Paris 2.0, Delphine ROLLAND, pense que les internautes sont à payer pour accéder à un contenu...et vous, êtes-vous d'accord ?

Gratuit, payant, mixte… A l’heure où la presse papier se fragilise et où le online est de moins en moins gratuit, médias traditionnels et pure players cherchent comment (re)créer de la valeur pour les consommateurs, et pour eux-mêmes. Les problèmes sont bien connus, mais quelles sont les solutions ?

A quel prix peut-on être payant ? que faut-il investir, que faut-il vendre pour justifier la non gratuité ? contenus exclusifs, services associés, éditorialisation, niches… qui est prêt à payer pour quoi ?

Peut-on gagner de l’argent en étant gratuit ? publicité, placements produits, partenariats, vente de BDD… quelles sont les solutions de rentabilisation ?

Quid des modèles mixtes gratuit/payant ? Allons-nous vers un système médiatique à deux vitesses ?

Retrouvez les autres vidéos de Paris 2.0 ici

Pour retrouver le programme complet rendez-vous sur le site Paris 2.0

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  • PARIS 2.0     
  • Comment from : La rentrée se fait cette année sous le signe, sans doute avant-coureur, du retour du payant sur internet : deux sites, celui de Libération et celui de PC-INpact, ont annoncé leur passage au mode payant. Désormais sur ces sites, certains contenus et certains services seront réservés à des clients abonnés. Pour des sommes modiques (6 EUR par mois pour Libération et 3,5 EUR par mois pour PC-INpact), les lecteurs pourront bénéficier de services “premium”, l’information restant la même pour tous.En effet, à l’ère du numérique, toute information finira par se trouver massivement reprise et diffusée gratuitement pour tous. Partant, l’information, même monétisée par l’audience au travers de la publicité, ne peut constituer une base solide de développement d’affaires. Dans un modèle à tiers financeur qui ne fait que donner l’illusion de la gratuité, seuls arrivent à survire les supports capables de générer de très fortes audiences. Et, le jeu étant à somme nulle, cela renforce les positions dominantes dans une spirale qui n’est vertueuse que pour les leaders, précipitant les autres vers une chute inéluctable. Et ce d’autant plus que le système est loin d’être parfait : une grande part de la rémunération de la publicité en ligne s’appuie sur des taux de clics qui restent bien souvent très bas, rendant le système bancal. De plus, en période de crise, les annonceurs réduisent leurs budgets, ce qui amplifie le phénomène.C’est donc par le service qu’il faut chercher à développer de la valeur. Or la valeur est avant-tout une question de perception. Pour trouver des moyens de la matérialiser, les offres proposées par ces deux sites sont surtout enrichies de services, au premier rang desquels l’exclusivité (dans le temps tout du moins) et la reconnaissance (qui est une forme de différenciation) : les abonnés se voient offrir des services qui leur sont réservés et qui leur permettent d’être identifiés aux yeux des lecteurs non abonnés.Ce mouvement marque également le retour d’une réflexion autour de la fidélisation et de son corollaire, le ciblage. Le cercle vertueux du payant arrivera-t-il à remplacer le cercle vicieux de la gratuité ? Alors que dans le monde de la gratuité l’attrition (que les anglo-saxons appellent churn) est la règle imposée par des lecteurs toujours avides de nouveauté, poussant les diffuseurs à toujours plus d’innovation, dans le monde des services payants, c’est la fidélité du public qui est recherchée. En matière de médias sur internet, celle-ci est surtout la conséquence de la présentation et de l'organisation de l'information, plus que l'information elle-même. Passer au payant est donc une décision qui va imposer une discipline de valeur très exigeante : la pérennité du service proposé pouvant être vue comme une sorte de dérivée dans le temps de son attractivité (désolé pour cette mathématique approximative, mais cela me permet d’exprimer clairement le défi auquel le passage au payant doit faire face), les services devront évoluer et s’enrichir afin que le nombre de clients abonnés se développe.Francois DruelFrancois Druel Conseil Comment from Frédéric Bascuñana: Hmm, vous pensez qu'on pourrait demander à nos internautes de payer un accès à TechToc ?Ah, attendez, je reviens, il y a 3 personnes à la porte de mon bureau qui veulent me casser la figure déjà -Je retire ce que j'ai dit pardon !! Comment from Thibaut D.: Ou alors vendre des supports physiques ?"Intranet 2009, la compil' TechTocTV.","Marque et nouveaux médias, 12 vidéos de fond".Ou alors des approches plus grand publique :"Découvrez l'intranet avec les experts TechTocTV"Je dis n'importe quoi hein, enfin on sait jamais... ^_^Wi la question de la rétribution des intervenants, ROI en terme d'image ou de $ ?   Comment from Véronique Da Costa: Très instructif - les modèles sont encore à trouver, mais existera-t-il un modèle réplicable par secteur ? par lectorat ?...Publicité ? Placement de produit ?...Encore de longues nuits....pour les responsables de publications