Oui, j'ai un problème avec certains coaches !
De même que j'ai un problème avec certains vendeurs, certains marketeurs, certains docteurs : je ne suis pas dérangé par une profession, mais par l'usage douteux que certains en font quand ils la dévoient.
Voilà pourquoi je compte interviewer et valoriser les convictions des plus énergétiques d'entre les coaches - de façon, je l'avoue, totalement subjective. Parce que je fais confiance à mes coups de cœur. Vos retours, même critiques, pourront de plus nourrir notre rapport à ce métier potentiellement si inspirant.
Je ne suis en tout cas ni coach, ni n'aspire à l'être : mais nous avons besoin que cette profession soit représentée par les meilleurs.
Je suis littéralement fan de Christophe BOURGOIS-COSTANTINI (pardon d'ailleurs, Christophe, si je prononce mal ton nom en intro, oups) : parce qu'il incarne vraiment ce qu'il met en avant.
"Ayant réglé la problématique de l'abandon : je peux t'aider à mon tour"
"C'est celui qui dit qui est" ! (pas si trivial que ça vous verrez !)
Dans cet entretien, vous trouverez entre autres :
- Les dégâts du cogito ergo sum" cartésien (et le passage à l'exo-darwinisme)
- L'occasion de bien faire la différence entre conseil/mentoring et coaching
- Un rappel des trouvailles d'Antonio Damasio (auteur de "l'erreur de Descartes"): "l'émotion précède la raison"
- Un autre rappel salutaire : "la bonne nouvelle c'est que lorsqu'on se pose une question c'est que la réponse n'est pas très loin en soi"
- Une petite surprise : vous comprendrez peut-être aussi pour quoi il existe des coaches, et Christophe en fait partie, qui ne croient pas au "coaching d'équipe"
Et puis j'ai aussi beaucoup apprécié :
"Trouver son grand style grâce au lâcher-prise"
Bref, je suis volontairement énigmatique et fractionné : pour vous laisser découvrir par vous-mêmes ces propos inspirants.