Un consensus s'est établi au sein du GIEC pour faire admettre non seulement une hypothèse, mais encore sa cause principale (le CO2) et les multiples scénarios catastrophiques en découlant.
Dans les années 1970 nous avons eu droit au « Global Cooling ». Les émissions anthropiques d'aérosols allaient déclencher un grand effet parasol.
On a jamais démontré un théorème par un vote, ni établi de lois physiques sur un consensus.
Le GIEC instance de l'ONU prend le contrepied de ces évidences.
Les laborantins avides de budgets de recherche et de reconnaissance sont venus soutenir le mouvement à la mode.
L'inculture scientifique quasi totale des politiques a fait le reste.
En France le mouvement réchauffiste et ses laboratoires climatiques sont pilotés depuis le CEA.
Remarquons que les adversaires des thèses du GIEC ont été qualifiés de «sceptiques» voire de «négationnistes», l'usage de ces qualificatifs met en évidence le caractère idéologique et non scientifique des adeptes des hypothèses du GIEC.
L'affaire du «Climat Gate» n'a été relayée que tardivement et très succinctement en France.
Le sommet de Copenhague n'a même pas accouché d'une souris.
Le
manitou Al Gore, grand affairiste investisseur dans « l'
éco-business » et dans
« l'exploitation pétrolière », a été condamné par la Haute Cour de Londres pour diffusion des fausses preuves scientifiques. le trop fameux film n'a pu être projeté dans les écoles de Grande-Bretagne sans un avertissement préalable identifiant neuf erreurs flagrantes (ceci en janvier 2007
Condamnation d’Al Gore par la justice britannique).
Des affirmations ahurissantes, émanant du GIEC, manifestement erronées ont été mises en lumière.
On peut se permettre de plus en plus de se gausser de la « courbe en crosse de hockey » sans être menacé des foudres de l'église écologiste.
Une aubaine pour les politiques français en généralEn 2007 la quasi totalité des candidats à l'élection présidentielle française a enfourché le cheval climatique de Nicolas Hulot. L'hélicologiste popularisé par TF1, largement soutenu par des marques de cosmétique et les clubs nucléaires français a hypnotisé ces politiques.
Les opportunistes du green-washing
Le bio, sans que l'on sache vraiment de quoi il s'agit, envahissait déjà les écrans et placards publicitaires.
Beaucoup de produits sont miraculeusement devenus verts, voire décarbonatés comme les déchets nucléaires classés secret défense.
Les spéculateurs financiers
La bourse carbone s'est mise en place, on y achète et vend des points carbone. A quand les produits dérivés à la mode de subprimes façon CO2 ?
Le Grenelle de l'environnement
Un théâtre de guignols mené par un ministère dont le titulaire est un dilettante de la politique et néanmoins homme d'affaires de talent.
Un centre de service de soupe au lobbies et de distribution de gadgets aux associations vertueuses.
Les mouvements fondamentalistes (l'écologisme militant)Certains sont sympathiques à priori, d'autres ont des tendances totalitaires marquées.
L'opportunité d'élargir son audience en agitant un train des menaces irrationnelles.
Une aubaine fiscale
La taxe carbone devait accroître le poids de la fiscalité sur les particuliers en privilégiant le lobby du nucléaire français.
Un rideau devant les problèmes réels de l'environnement
Déchets en tout genre
Progression de l'utilisation des pesticides
Obstruction au retrait des substances douteuses voire manifestement nocives
Bureaucratie des Plans de Prévention des Risques
Et pour rire