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Posted: 23.6.2010 - 2 comment(s) [ Comment ] - 0 trackback(s) [ Trackback ]
Category: Show subjects

 A qui profite l'hypothèse du réchauffement climatique ?


Un consensus s'est établi au sein du GIEC pour faire admettre non seulement une hypothèse, mais encore sa cause principale (le CO2) et les multiples scénarios catastrophiques en découlant.

Dans les années 1970 nous avons eu droit au « Global Cooling ». Les émissions anthropiques d'aérosols allaient déclencher un grand effet parasol.

On a jamais démontré un théorème par un vote, ni établi de lois physiques sur un consensus.
Le GIEC instance de l'ONU prend le contrepied de ces évidences.
Les laborantins avides de budgets de recherche et de reconnaissance sont venus soutenir le mouvement à la mode.
L'inculture scientifique quasi totale des politiques a fait le reste.

En France le mouvement réchauffiste et ses laboratoires climatiques sont pilotés depuis le CEA.
Remarquons que les adversaires des thèses du GIEC ont été qualifiés de «sceptiques» voire de «négationnistes», l'usage de ces qualificatifs met en évidence le caractère idéologique et non scientifique des adeptes des hypothèses du GIEC.
L'affaire du «Climat Gate» n'a été relayée que tardivement et très succinctement en France.
Le sommet de Copenhague n'a même pas accouché d'une souris.

Le manitou Al Gore, grand affairiste investisseur dans « l'éco-business » et dans « l'exploitation pétrolière », a été condamné par la Haute Cour de Londres pour diffusion des fausses preuves scientifiques. le trop fameux film n'a pu être projeté dans les écoles de Grande-Bretagne sans un avertissement préalable identifiant neuf erreurs flagrantes (ceci en janvier 2007 Condamnation d’Al Gore par la justice britannique).
Des affirmations ahurissantes, émanant du GIEC, manifestement erronées ont été mises en lumière.
On peut se permettre de plus en plus de se gausser de la « courbe en crosse de hockey » sans être menacé des foudres de l'église écologiste.

Une aubaine pour les politiques français en général
En 2007 la quasi totalité des candidats à l'élection présidentielle française a enfourché le cheval climatique de Nicolas Hulot. L'hélicologiste popularisé par TF1, largement soutenu par des marques de cosmétique et les clubs nucléaires français a hypnotisé ces politiques.

Les opportunistes du green-washing
Le bio, sans que l'on sache vraiment de quoi il s'agit, envahissait déjà les écrans et placards publicitaires.
Beaucoup de produits sont miraculeusement devenus verts, voire décarbonatés comme les déchets nucléaires classés secret défense.

Les spéculateurs financiers
La bourse carbone s'est mise en place, on y achète et vend des points carbone. A quand les produits dérivés à la mode de subprimes façon CO2 ?

Le Grenelle de l'environnement
Un théâtre de guignols mené par un ministère dont le titulaire est un dilettante de la politique et néanmoins homme d'affaires de talent.
Un centre de service de soupe au lobbies et de distribution de gadgets aux associations vertueuses.

Les mouvements fondamentalistes (l'écologisme militant)
Certains sont sympathiques à priori, d'autres ont des tendances totalitaires marquées.
L'opportunité d'élargir son audience en agitant un train des menaces irrationnelles.

Une aubaine fiscale
La taxe carbone devait accroître le poids de la fiscalité sur les particuliers en privilégiant le lobby du nucléaire français.

Un rideau devant les problèmes réels de l'environnement
Déchets en tout genre
Progression de l'utilisation des pesticides
Obstruction au retrait des substances douteuses voire manifestement nocives
Bureaucratie des Plans de Prévention des Risques

Et pour rire
 
Posted: 5.3.2010 - 4 comment(s) [ Comment ] - 0 trackback(s) [ Trackback ]
Category: Show subjects

En prévision d'une future chaîne Green Vision sur TTT

Que signifie développement durable

Ce diagramme issu de Wikipédia illustre le terme de développement durable

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Une trilogie

  • Ecologie

  • Société

  • Ecomonie


Dont la zone d'équilibre serait le Développement Durable

Remarques

  • viable serait un compromis entre écologie et économie si on néglige le social  

  • équitable serait un compromis entre social et économie si on néglige l'écologie  

  • vivable serait un compromis entre social et écologie si on néglige l'économie

« un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. Deux concepts sont inhérents à cette notion : le concept de « besoins », et plus particulièrement des besoins essentiels des plus démunis à qui il convient d’accorder la plus grande priorité, et l’idée des limitations que l’état de nos techniques et de notre organisation sociale impose sur la capacité de l’environnement à répondre aux besoins actuels et à venir. »
Wikipédia

  • Il s'agit de répondre à nos besoins sans compromettre ceux des générations futures.(1)
  • Tout le monde aujourd'hui se préoccupe d'écologie, les écoles écologistes génèrent plus de prose que trente six mille Monsieur Jourdain.
  • Sommes nous dans une vaste illusion égoïste en satisfaisant nos besoins tout en prétendant préserver ceux des générations futures ?
Le label «développement durable» va t'il servir de tarte à la crème pour la promotion publicitaire, le maquillage de produits très classiques (re-looking de tromblons), l'argument massue politique et social ?
 

Le vendeur « Ce chauffe pieds a été conçu dans un souci de développement durable »
Madame Michu « Mais comment être sûre que mes arrières petis enfants ne maudiront pas mon achat ? »
Le vendeur « Nous sommes certains à 90% que votre choix restera valide dans le futur, nos experts sont formellement consensuels à ce sujet »
Madame Michu « Mais comment faites vous pour savoir tout cela ? »
Le vendeur « Ceci est un secret technologique, nous pouvons maintenant prédire l'avenir avec des certitudes statistiques améliorées et enrichies par le Web4 »
Madame Michu « Je vais aller consulter le Community Manager du Réseau Social de mon quartier »
Le vendeur (dans son for intérieur) « ... Et une vente de plus, une - Le Community Manager est commissionné... »


Les mots ont un sens, sinon les discours en auront ils ?
Ce début de définition est destiné à clarifier les termes qui seront les définitions de base pour des débats ultérieurs

 

(1) Se préoccuper des générations futures (nos successeurs, que nous ne connaîtrons pas forcément) est assez nouveau dans nos cultures et civilisations très marquées par le culte de l'ancêtre, le respect de la tradition, le devoir de mémoire et beaucoup d'autres pesanteurs. Est ce une manifestation cosmologique animée par une volonté réaliste de perpétuer notre espèce Homo Sapiens ou une façon de tenter de remettre l'irrationnel au premier plan et de relancer la prédominance des prophètes, des sectes, des églises, bref de l'idéologie ?

Posted: 4.3.2010 - 13 comment(s) [ Comment ] - 0 trackback(s) [ Trackback ]
Category: Show subjects

 

Ceci est en liaison avec le plateau du 17 mars 2010
Le Plateau

Les questions sont celles de Boris Perchat 

Qu'est-ce qui a donné lieu au passage du web 1.0 au web 2.0 et qui donne lieu actuellement au passage du web 2.0 au web 3.0 ? Quelle est la part de la technologie, celle de l'humain et celle du business ?

L'appellation Web 2.0 a été médiatisée par O'Reilly en 2004. Le Web d'avant a été par certains rétrospectivement numéroté Web 1.0. Le Web 2.0 n'a aucune base technologique particulière. Le Web 2.0 est constitué de modes et usages variés issus des pratiques des utilisateurs et des acteurs du business.


Les concepts de web temps réel, de web des données, de web sémantique et de web squared font ils référence à une approche humaine, technologique ou business de l'évolution du web ? Comment pourrions-nous définir ces concepts en une phrase pour qu'ils soient compris de tous ?

Le Web temps réel débarque, cela va être d'usage courant. Attention à ses modes de fonctionnement, nous avons assisté aux introductions un peu rapides et mal ficelées de Google Wave et Google Buzz. L'outillage technologique est disponible (XMPP) mais il n'est aisément supporté par les navigateurs.

(XMPP n'est pas qu'une façon de faire de la messagerie temps réel, c'est un protocole plus solide, plus sécurisé, permettant des dizaines de milliers de connexions sur un serveur de la puissance d'un PC récent. Reste à refondre complètement les sites Web)

Le Web² est une étape du bon vieux (déjà) Web 2.0
 
Le Web 3.0 désigne par convention le Web Sémantique. Sémantique et Ontologie n'ont pas attendu le Web. Le lien entre le Web et la sémantique vient tout simplement du fait que la formalisation logique moderne a été réalisée par le W3C. C'est le renouveau de l'intelligence artificielle et des outils d'explorations de données facilitant les travaux non seulement de chercheurs en sciences exactes et expérimentales mais aussi les travaux d'historiens, de juristes, médecins, sociologues. Les théories existent depuis longtemps mais la mise en pratique a nécessité une vingtaine d'années de formalisation standardisée et bien sûr ceci est possible grâce aux évolutions technologiques et baisses de coût de la puissance de calcul et de l'espace de stockage.
Pour illustrer: imaginez que dans votre moteur de recherche vous tapiez votre requête et vous avez en retour une dizaine de réponses tout en étant quasi assuré que ce sont les seules pertinentes répondant à votre demande.
 

Comment pourrions-nous décrire l'évolution du web pour qu'elle soit comprise de tous ?

Avant tout, évitons les confusions entre Réseaux, Internet, Web, Mobiles.
Le Web tend à fusionner et rendre accessible sur un support unique du côté de l'utilisateur: téléphonie, cinéma, radio, télévision, jeu, livres, outils bureautiques, messageries, presse, services administratifs/commerciaux/informations (bien d'autres choses encore, mais ne compliquons pas, la barque est suffisamment chargée)


Quelles sont les valeurs humaines montantes sur le web ? Pourquoi ?

Au delà des valeurs tous les comportements humains, à bonne ou mauvaise notation, sont présents. C'est un très bon espace pour le jeu, la curiosité, la convoitise.
Ce que le Web apporte de vraiment nouveau c'est l'ubiquité, l'affranchissement des barrières géographiques dans la communication.
Notons que le Web met en danger la souveraineté des états dans leur rôle de gardien territorial et de médiateur social et culturel.
L'homme invente l'outil, certains outils transforment l'homme.

Nos outils collaboratifs sont-ils le signe que nous avons adoptés un véritable esprit collaboratif ?

Le Web facilite la tâche de ceux qui collaborent. L'être humain ne collabore efficacement que s'il y trouve un intérêt. En dehors du Net il y a eu (1965 - 1985) des modes participatives en entreprise et des communautés en tous genres ont proliféré, tous ces mouvements se sont quasiment éteints.
Néanmoins la mise à disposition d'outils attractifs peut susciter des comportements collaboratifs.

Pourquoi sommes-nous prêts sur les réseaux sociaux à exposer aux yeux des autres nos pensées et nos états d'âme ?

Les utilisateurs du Web ne s'expriment pas tous, loin de là. Très peu d'utilisateurs sont inscrits dans des réseaux sociaux et la plupart de ceux qui sont inscrits ne s'expriment que très peu. Les utilisateurs du Net sont dans leur grande majorité à la recherche de contenus. C'est dans la nature des choses que les consommateurs soient plus nombreux que les fournisseurs et les spectateurs plus nombreux que les acteurs (imaginez un peu l'inverse !). 


Les entreprises et les marques parviennent-elles à asseoir leur présences sur les réseaux sociaux ou sont-elles hors jeu ? Les valeurs du business peuvent-elles s'y épanouir ?

C'est une obligation pour les entreprises et le commerce d'être présents sur le Net. La difficulté à établir une image, une attraction, pour une marque ou une entreprise est beaucoup plus importante du fait de la multiplication des supports sur lesquels une présence pourrait lui être utile. La stratégie de présence au sein des réseaux sociaux est délicate si l'on tient à se distinguer des pratiques envahissantes voir carrément intrusives.
Les pistes à explorer sont le sponsoring et surtout le mode apparu aux US: User Conference qui va au delà de la promotion et du service client.


Le community manager peut-il parvenir à réconcilier les valeurs technologiques, les valeurs humaines et les valeurs du business ?

Le trop fameux « Community Manager » est apparu. Les contours de la fonction sont très contextuels. C'est un administrateur au sens premier du terme: il apporte son soutien, il gouverne (tient le gouvernail) et exerce une autorité naturelle. C'est avant tout quelqu'un qui a compris que les facettes des comportements sociaux humains sont très complexes et surtout que l'être humain n'est pas un animal social facile.

Pour plus de clarté j'ai publié ici mes réflexions au sujet du plateau
 

 

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